🔞La maison des enfers (Partie 4 : Mon père)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

🔞La maison des enfers (Partie 4 : Mon père)

Information :

🔞  Histoire interdite au moins de 18 ans

Attention 🔺: Cette histoire est une histoire d'horreur ou certain passage peuvent être dure. Alors si vous avez moins de 18 ans, celle-ci vous est interdite ou dumoins, fortement déconseiller ! 

Si vous avez l'age mais que vous êtes sensible, je vous conseille de zapper cette histoire !

Je préfére vous prévenir.

https://pixabay.com/fr/illustrations/chien-cat-mal-d%C3%A9mon-silhouette-4266512/

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Partie 4 : Mon père 

 

- Tu peux sortir ma fille, tu ne risques plus rien mon amour.

- Papa !?

- Allé, sort de ton sanctuaire. Tu n’as plus rien à craindre.

- Tu peux me voir ? Demandais-je très inquiète.

- Bien sûr, tu es ma fille. Je peux te voir. Je ne suis pas ta poupée ou ton frère. Mon amour pour toi est très grand. Cependant, il serait bien que tu viennes à moi. Même si je peux te voir, je ne peux entrer dans celui-ci. Allé viens ma fille que je te montre tout mon amour !

- Non ! Dis-je fermement.

- Non ?

Mon père, mon pire cauchemar. Il était là, devant moi. Oh, bien sûr, il n’avait plus une apparence humaine. Mais je savais que c’était lui. Son odeur, son parfum, comment aurais-je pu oublier ça ? Aujourd’hui encore, ça me donne la nausée. Mon père a toujours eu beaucoup d’affection pour moi. En fait, il en a trop eu. Lorsque j’étais petite, tout se passait bien. J’étais ça petite princesse. Mais lorsque j’eus cinq ans, cela changea. Son regard sur moi changea. Il décida que ça petite princesse devait avoir son prince charmant. Il décida qu’il serait mon prince charmant. Son amour pour moi n’était pas celui que devrait avoir un père pour sa fille.

Tout cela commença par des visites nocturne dans ma chambre. Il me prenait dans ses bras et me caressé tendrement mon corps. Au début, c’était gentil. Mais rapidement, il me déshabillait afin que je sois nu devant lui et il continuait les caresse de mon corps puis, un jour, ce sont mes parties intime qu’il me caressait. Il me disait que c’était normal, que c’était ce que faisait les gens qui s’aime. Mais rien de cela n’était normal. Il venait dans ma chambre de façon très régulière quand il ne m’emmenait dans sa chambre ou dans une des deux chambres d’amis qu’il y avait dans la maison. Malheureusement pour moi, les caresses lui fut insuffisant. Alors, certain jour, je sentais un doigt ou plus entrer dans mon intimité. Et quand il ne faisait pas ça, il léchait celle-ci. Ce n’était pas des plus agréable. Pourtant, ne comprenant pas, je laissais faire. Même si je savais que ce n’était pas normal. Il m’a demandé par la suite de toucher et caresser son membre, qu’il ne fallait pas que j’en ai peur, qu’il fallait que j’y goutte. Oui, il m’a obligé à le lui lécher comme une glace. Je n’aimais pas ça, mais je le faisais quand même. Je ne voulais pas contrarier mon père. Il me faisait peur quand il se mettait en colère parce que je ne faisais pas ce qu’il voulait, parce que je ne lui faisais pas plaisir. Je n’osais en parler à personne, de peur des représailles.

Mais un jour, c’est allé encore plus loin. Mon père ne voulait ni plus ni moins que me faire l’amour comme si j’étais sa femme, sa chose. Mais je n’étais que sa fille. Je me souviens de ce jour-là. J’étais seule avec lui dans la maison. Il m’emmena dans sa chambre et me mis rapidement nue. Il se déshabilla, lui aussi, assez rapidement. Je pouvais voir par son entre jambe qu’il était déjà très excité. Il me caressa et me lécha mon intimité comme il en avait l’habitude puis m’obligea à lui faire une fellation. Quand il fut des plus excité il me plaqua sur le lit en se mettant au-dessus de moi. Il se plaça entre mes jambes et me pénétra avec violence et puissance. Je ne sais pas si s’était par pur plaisir ou si son excitation était trop grande pour y aller plus doucement, moi tout ce que je sais, c’est que j’ai hurlé de douleur. Ça me faisait tellement mal ! Ses va et viens était toujours plus rapide, toujours plus puissant. Je crois avoir perdu connaissance. Mais, ça ne la pas arrêté pour autant. Quand j’ai ouvert de nouveau les yeux, il me violait toujours. Il répétait qu’il ne faisait que me montrer son amour. Cela a duré des heures, dans des position différente. Depuis ce jour-là, les viols était quotidien. Je faisais tout pour le fuir. Mais ma mère me renvoyait toujours vers lui. Je n’osais rien dire par peur. Je ne faisais que subir et souffrir, à me construire une carapace pour ne pas craquer.

Le jour ou Lucas et ma mère moururent, cela fut pire. Pour mon père, cela n’était que des preuve d’amour. Pour moi, ce n’était que souffrance. Un jour, à mes treize ans, je réussis néanmoins à porter plainte contre lui. Je fus examiné et mon père interrogé. Ils retrouvèrent chez lui des vidéos de mon père me violant et moi lui suppliant d’arrêter, en vain. Je ne savais même pas qu’il nous filmait. Cela m’avait choqué. Il fut arrêté, et moi placé. Mon père mourut peu de temps après sa condamnation. Les prisonniers ou il était incarcéré ne supportèrent pas qu’il est violé une enfant et le tabassèrent à mort. J’étais soulagé ce jour-là, car il ne pourrait plus me faire de mal. Du moins, c’est ce que je pensais. Mais dans ce cauchemar, je n’en suis pas sûr.

- Je te hais de tout mon cœur !

- Quoi !? Pourquoi ?

- Pourquoi ? Tu demandes pourquoi ! Tu as brisé mon enfance, mon innocence !

- Mais de quoi tu parles, je t’ai toujours aimé, mon ange. Dit-il en s’énervant quelque peu.

- Tu as abusé de moi et de mon innocence ! Tu m’as violé ! Un père aimant n’aurait jamais fait ça à sa fille !

- Quoi !? Intervint ma mère choqué, toujours bloqué dans son miroir. Ne me dis pas que ce qu’elle vient de dire est vrai ! Tu as violé notre fille !

- Elle ment, je ne l’ai pas violé ! Je lui ai juste montré l’ampleur de mon amour pour elle !

- Et puis-je savoir comment tu lui as montré l’ampleur de ton amour ?

- De la même façon qu’à toi ?

- Moi ? Tu parles de ta femme que tu as délaissée ?

- S’il te plait, arrête. Tu n’es qu’une folle pour ce que tu as fait à notre fils !

- Et toi, tu as fait l’amour à notre fille !?

- Oui, et alors ! Je lui montrais que je l’aime, et j’y ai pris beaucoup de plaisir ! Vieille folle !

- Ah ! Ah ! Ah ! Et après, c’est moi le monstre ? Tu as violé notre fille !

- Tais-toi !

- Tu l’as fait souffrir !

- Ferme là, je t’ai dit !

- Entre nous, tu es aussi fou que moi ! Voir, même plus ! Tu es un monstre ! Tout comme moi !

- Ta gueule ! Et toi, sort de se putain de sanctuaire !

Sur ses mots, mon père fonça sur moi. Il sauta pour pouvoir pénétrer le sanctuaire. Un champ de force apparut essayant de le repousser. Mais ce monstre commençait à parvenir de le traverser. Ce qui augmenta mon angoisse. Le champ de force le repoussa avec puissance contre un mur. Il semblait sérieusement blessé.

- Tu ne perds rien pour attendre ! Reste ici si tu veux ! Je vais trouver un moyen de briser ta protection ! Et crois-moi, lorsque je t’aurais attrapé, je ferrais en sorte que tu m’obéisses bien sagement. Tu es à moi ! À moi, et rien qu’à moi ! Tu m’appartiens pour toujours !

Mon père partie en direction de son bureau en boitant fortement. Son bureau se trouvant dans la bibliothèque, je me doutais qu’il ne mettrait que peu de temps avant de revenir et de m’avoir.

- Je suis désolé ma fille. Je ne savais pas ce qu’il te faisait !

- Tu ne savais pas ? Ou tu ne voulais pas savoir ?

- Un peu des deux, sans doute. Pour moi, tu avais volé mon mari, alors que c’est lui qui a complétement vrillait ! Laisse-moi t’aider !

- Te laisser m’aider ? Je te rappel que tu as essayé de me tuer !

- Je sais ! Et si je trouve un moyen de sortir de ce miroir, j’essaierais de nouveau ! Je suis toujours en colère contre toi. Mais, si tu dois mourir, ce sera par mes mains !

- Je vois. Je suppose que je n’ai pas le choix ?

- Pas vraiment si tu veux t’en sortir.

- Je t’écoute, que dois-je faire ?

- Dans le grenier, dans une petite boite bleu avec des dessins dorée dessus, se trouve une pierre rouge comme le sang et une autre noir comme l’ébène. Trouve les et réduits en une partie en poussière. Une fois fait, dispose cette poussière sur tout le cercle extérieur. Celui-ci sera renforcé. Si ton père fait bien ce que je pense, cela pourra même le tuer ! Mais fait vite ! Ton père n’en a sens doute pas pour très longtemps !

J’acquiesçais afin de lui faire comprendre que j’avais bien compris. Je ne savais pas si je pouvais lui faire confiance, mais je n’avais pas le choix. Je me dirigeai alors en direction du grenier. Arrivé là-haut, je sus tout de suite qu’il serait difficile de trouver la fameuse boite. J’aurais dû demander à maman plus de détail sur son emplacement. Alors que je commençais à fouiller en hâte, des objets se mirent à voler et à me foncer dessus. Il fallait que je trouve cette fameuse boite tout en esquivant les projectile plus ou moins gros. Soudain, c’est la boite en question qui me fonça dessus. Je ne pus l’éviter et me là suis prise en pleine poire. Je saignais de la tête, mais j’avais trouvé la boite. Je l’ouvris, et vis bien les deux pierres. Je descendis en quatrième vitesse vers la cuisine afin de mettre en poussière ses deux pierres. Je me faisais toujours attaquer par des objets dans la maison, quand je n’avais pas l’impression que c’était mon père en face de moi près à me sauter dessus. Certaine ombre fond vraiment flipper. Je trouvai un marteau et pus mettre en poussière les deux pierres que je mis et mélangea dans une écuelle. Mon travaille avait fait beaucoup de bruit et j’entendais mon père râler et sortir de son bureau. Je retournai rapidement au sanctuaire du salon pour mettre, en toute hâte, cette poudre sur le cercle extérieur du sanctuaire. Je fis en sorte que mon père ne le remarque pas. J’eu à peine fini que mon père entra dans la pièce.

- Tu es toujours là mon cœur ? Tu ne vas pas rester longtemps dans ton sanctuaire !

Mon père brillait, il était fluoresçant. Je me doutais que c’était le moyen qu’il avait trouvait pour pénétrer dans le sanctuaire. Il se mit en position afin de franchir rapidement le champ de force. Alors qu’il toucha celui-ci, une lumière bleu vif apparut à l’endroit de l’impact. Mon père commença à s’embraser d’un feu bleu.

- Quoi !? Non ! Impossible ! Comment ? C’est toi sorcière !

- Désolé chérie, mais c’est moi qui tuerais notre fille !

- Tu n’es qu’un monstre ! Aaaaaaaaaah !

- Tout comme toi.

Mon père s’était reculé du sanctuaire. Il brûlait vif. Rapidement, il ne devint qu’une carcasse fumante. On ne voyait pratiquement plus que les os. Ma mère ne m’avait pas menti. Cela avait marché. Sans un regard vers elle, je me précipitai vers l’entrer. Ça y était, je pouvais enfin sortir de cette endroits cauchemardesque. J’étais dehors et vivante. C’était finit.

Publié dans Longue histoires

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