Meurtre à Noël (Partie 6)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

Meurtre à Noël (Partie 6)
Partie 6 : En route pour l’entreprise de Monsieur Rose Saint Pierre
https://pixabay.com/fr/photos/l-architecture-bleu-b%C3%A2timent-22039/

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Avec les informations que nous avions eues, on se dirigea avec le commissaire vers l’entreprise de chaussure de luxe chez Monsieur Rose Saint Pierre afin d’interroger Monsieur Sarmate à propos de la victime.

Roger Rose Saint Pierre : - Monsieur le commissaire ? Que faite vous donc ici ?

Commissaire Renaud Boulange : - Je ne fais que mon travaille pour trouver l’assassin de votre fille. Pourquoi cette question ?

Roger Rose Saint Pierre : - Je vous demande car votre inspecteur est déjà ici avec un détective entrain d’interroger mon associer, Léo-Paul Déglant.

Commissaire Renaud Boulange : - Ah, c’est vrai qu’il est votre associer. Nous sommes ici pour interroger ceux qui travaillent avec vous en particulier Monsieur Sarmate.

Roger Rose Saint Pierre : - Pourquoi ? Vous pensez que c’est quelqu’un qui travail pour moi le coupable ? Pourquoi une chose pareil ?

Liliane : - Nous avons cru comprendre qu’il y avait pu avoir certaine tension entre votre personnel et votre fille. De plus, peut être que la cible était vous ! On doit vérifier toute les pistes !

Roger Rose Saint Pierre : - Ma fille était quelqu’un de très exigeant ! Je ne vois pas en quoi cela est un crime ! Il y a eu certes des tensions, mais cela s’est toujours résolut ! Quant à moi, je ne vois pas pourquoi on voudrait ma mort !

Liliane : - Vous savez, il ne faut parfois pas grand-chose pour que la graine du crime ne naisse en une personne.

Roger Rose Saint Pierre : - Hum, si vous le dites ! Faite votre travail. Mais ne dérangé pas trop longtemps mes employés ! Il y a encore beaucoup de chose à faire.

Liliane : - Ça arrive souvent que vous fassiez travailler vos employer le jour de Noël ?

Roger Rose Saint Pierre : - Non, c’est exceptionnel ! Nous avons des délai très juste pour honorer une très importante commande ! Mais ne vous en faites pas, ils sont payés quatre fois plus qu’un jour normal et ils auront tous la saint sylvestre de repos.

Commissaire Renaud Boulange : - Puisque vous êtes là, puis-je vous demander si vous avez entendu ou remarqué quelque chose d’étrange avant la découverte du corps.

Roger Rose Saint Pierre : - Non, rien. J’étais dans ma chambre à essayer de me changer. Mais c’était difficile à cause de ma jambe. C’est pour ça que ma femme m’aidé. J’ai juste remarqué un soudain silence qui m’a inquiété. Je suis descendu sans avoir finit de me changer lorsque j’ai appris.

Liliane : - Rien d’autre ? Même un détaille insignifiant !

Roger Rose Saint Pierre : - Non, je ne vois pas… Ha si ! Je me souviens avoir vu du mouvement dans le jardin. Mais il faisait noir, je n’ai pas fait plus attention que ça. J’ai cru que c’était un animal. On ne pouvait vraiment rien voir. Vous pensez que c’est important ?

Liliane : - Tout est important ! Ce n’était peut-être qu’un animal ou le meurtrier ! Par ou partait cette ombre que vous avez aperçut ?

Roger Rose Saint Pierre : - Vers un mur, du côté ou il y a eu un éboulement.

Commissaire Renaud Boulange : - Donc possible à franchir pour un humain ?

Roger Rose Saint Pierre : - Oui, tout à fait. Je n’y avais pas pensé !

Liliane : - C’est normal, le cerveau fait un trie de ce qu’il voit comme important. Merci d’avoir répondu à nos questions.

Après ses réponses, nous le laissâmes tranquille et on alla interroger le personnel. On apprit que la victime était une femme très exigeante. Elle pouvait balancer tout un travail fait par un ouvrier pour un tout petit défaut. Beaucoup ne semblait pas tellement apprécier la jeune femme dans l’entreprise. Ce fut au tour de Monsieur Sarmate et sa fille de se faire interroger.

Commissaire Renaud Boulange : - Monsieur Sarmate, on voudrait vous poser quelque question sur Mademoiselle Anna Rose Saint Pierre. Quel était vos relation à vous et votre fille par rapport à elle ?

Artur Sarmate : - La relation que peut avoir un employé avec son supérieur.

Magalie Sarmate : - Ce que veut dire mon père, c’est que les relation pouvait être parfois tendu !

Liliane : - Que voulez-vous dire par tendu ?

Magalie Sarmate : - Cette fille pouvait être insupportable ! Elle inventait des défaut imaginaire et détruisait notre travail comme prise de folie. Chaque paire que l’on fait prend plusieurs heures de travail ! Alors quand on voit ça se faire détruire pour rien, ça fou les boules !

Commissaire Renaud Boulange : - Vous ne semblez pas trop l’aimer !

Magalie Sarmate : - Pas vraiment non ! Le fait qu’elle se soit fait assassiner me fait rien. C’était couru d’avance de toute façon au vu de son mauvais caractère !

Artur Sarmate : - Magalie ! Voyons ! Mademoiselle Rose Saint Pierre était certes dure, mais pas au point de vouloir la tuer.

Magalie Sarmate : - Moi, ça ne m’aurait pas dérangé de la tuer. Elle s’acharnait sur mon travail pour rien ! Cette femme semblait avoir quelque chose contre moi !

Liliane : - Vous la détestiez ?

Magalie Sarmate : - Oui, mon père a même eu des mots avec elle par rapport à ça !

Artur Sarmate : - C’est vrai, je ne comprenais pas pourquoi elle s’acharnait sur ma fille comme ça. D’après elle, mon amour pour ma fille m’aveuglé au point de ne voir le mauvais travail qu’elle faisait.

Commissaire Renaud Boulange : - Si votre travail était si mauvais, pourquoi ne vous a-t-elle pas virer ?

Magalie Sarmate : - Parce qu’elle savait que je faisais du bon travail ! Cette fille avait juste un déni de sale gueule sur ma personne ! Je ne sais pas comment Patrick Déglant à put aimer cette fille et se fiancer avec !

Liliane : - Patrick Déglant, le fils de Léo-Paul et Nila Déglant, était fiancé avec la victime ?

Artur Sarmate : - Oui, depuis peu. Pourquoi cette question ? Vous ne le saviez pas ?

Liliane : - C’est étrange, il n’était pas à la fête. Pourquoi n’était-il pas avec sa fiancé ?

Commissaire Renaud Boulange : - Je ne sais pas. Il faudra lui poser la question. Et vous deux, vous étiez ou hier entre vingt-trois heure et une heure du matin.

Artur Sarmate : - On finissait de fêter Noël en famille chez mes parents. Il y a une dizaine de personne qui pourra vous le confirmer.

Commissaire Renaud Boulange : - Bien, on vérifiera. Merci de nous avoir répondu.

Liliane : - Ah oui, j’allais oublier, qui pourrait en vouloir à votre patron, monsieur Roger Rose Saint Pierre ?

Magalie Sarmate : - Je ne sais pas, mais surement pas les employés. Il est très apprécié par tout le monde ici, contrairement à sa fille.

Artur Sarmate : - Pourquoi cette question ? C’est sa fille qui est morte ! Pas lui.

Commissaire Renaud Boulange : - On pense qu’il y a put avoir erreur et que c’est lui qui était viser.

Magalie Sarmate : - Vous devriez chercher alors du côté de sa femme. Elle ferait tout pour de l’argent.

Liliane : - Madame Rose Saint Pierre a un alibi !

Magalie Sarmate : - Elle a pu engager un tueur à gage. Elle pique assez d’argent à son mari pour le faire.

Liliane : - Nous vérifierons ça. Mais ça me semble étrange étant donné qu’elle était avec son mari au moment du meurtre.

Magalie Sarmate : - Des pas doué sa existe vous savez !

Liliane : - Oui, sans doute. Merci.

On se dirigea avec le commissaire vers la sortie lorsque l’on croisa en route mes deux frère Batiste et Barnabé.

Batiste : - Commissaire, Liliane !? Que faites-vous là ?

Liliane : - Comme vous je suppose. On interroge des suspects ! Vous avez appris des choses intéressante ?

Barnabé : - Non, rien de très fou.

Commissaire Renaud Boulange : - Allons au commissariat pour que vous nous racontiez tout ça.

Publié dans Longue histoires

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