Le royaume du livre sans nom (chapitre 6)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

Chapitre 6 : La forêt des peurs

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L’entrée de la forêt semblé sombre, impénétrable. Celle-ci était tellement épaisse qu’on ne pouvait savoir par ou passer. En effet, le groupe semblé être arrivé devant un mur végétal. Il était impossible de se glisser entre deux arbres, ou bien alors une fourmi peut être.

 

Inspecteur GRANTIER : - Bien que faisons-nous maintenant ? Car là il est clair que l’on ne peut pas entrer dans la forêt.

Hector : - On va longer les arbres. Il y aura bien un endroit où l’on pourra tous passer. Il y a toujours un endroit où l’on peut se faufiler sinon le chemin que l’on aura fait n’aura servie à rien.

Laura : - J’espère que ce ne sera pas trop long.

Sophie : - Bien, moi, tu vois, j’espère que ça ne nous réserve pas une épreuve compliqué.

Inspecteur GRANTIER : - En espérant que l’épreuve n’a pas déjà commencé.

 

Le groupe marcha encore une heure le long de cette forêt sans que celle-ci leur offre une possibilité de passer à l’intérieur. Quand, au loin, ils virent tous se qui semblé une entré dans cette forêt. En s’approchant, ils virent que c’était belle est bien une entré qui avait la forme d’une arche. Devant cette arche se trouvé une rose au pétale de couleur bleu. Les bords de ses pétales formés des flammes de couleur bleu vacillante. La forme du visage de cette rose était plutôt arrondit. Les yeux de celle-ci étaient de couleur vert émeraude. Lorsque tout le monde approcha de l’entrée de la forêt, l’ouverture de celle-ci se ferma et la rose enchanté se mis à parler.

 

Rose enchanté : - Il est rare d’avoir des visiteurs ici. Surtout lorsqu’il s’agit d’humain. Je me présente je m’appelle Fiona. Je suis désolé mais vous ne pouvez pas entrer comme ça dans la forêt. Il va falloir que vous passiez une épreuve d’abord afin de voir si vous êtes bien les élus tant attendu.

Hector : - En fait, nous nous en doutions un peu. Quelle sera l’épreuve ?

Fiona : - Il va falloir que vous affrontiez vos plus grandes peurs.

Sophie : - Nos peur ?

Inspecteur GRANTIER : - D’accord, ensemble nous les affronterons.

Fiona : - Oh, je crois qu’il y a un petit malentendu. Je n’ai jamais dit que vous passeriez l’épreuve ensemble ! Vous partirez bien tous ensemble, mais vous serez seul en entrant par là. En effet, à l’aide de ma magie, je vous séparerais.

Hector : - Quoi ? Il n’en est pas question ! Nous avons des enfants avec nous. Elles sont trop jeunes pour être seul !

Laura : - Ce n’est pas possible ! On va être séparé !

Inspecteur GRANTIER : - Je refuse l’épreuve sous ses conditions ! On reste tous ensemble.

Sophie : - Seul avec ses peurs ! Oh non !

Fiona : - Je comprends votre inquiétude. Le choix des êtres devant accomplir la légende est très discutable. Cependant, vous n’avez pas d’autre possibilité l’épreuve se fera ainsi.

 

         Sur ses mots apparu une intense et aveuglante lumière. Lorsque celle-ci se dispersa, ils constatèrent tous qu’ils étaient séparé les uns des autres. Tous criaient les noms des autres sans succès et sans réponse. Ils étaient seul sans possibilité de faire demi-tour car ils étaient de l’autre côté de l’entré à cause de la magie de Fiona. Il fallait à présent qu’ils affrontent l’épreuve. Ils n’avaient plus le choix. C’étaient le seul moyen de retrouver les autres. Tous entendirent résonner la voie de Fiona faisant frissonné pour certain et enrager pour d’autre.

 

Fiona : - Bien, ici commence votre épreuve. Désolé pour cette séparation si brutal mais ne vous inquiété pas personne n’a été blessé. Je n’ai utilisé qu’un pouvoir de déplacement afin de mettre chacun à sa place. D’une certaine manier c’est la même. Mais séparé des autres. Ce lieu est très spécial et permet ce phénomène. Vous ne pouvez pas faire marche arrière. Vous ne pouvez qu’avancer. Des panneaux avec des flèches vous indiqueront la direction à suivre. Celles-ci vous indiqueront la sortie. Suivez les bien elles sont là pour vous aider. Vos peurs viendront de votre intérieur, de votre inconscient. Vous connaissez certaines de vos peur, d’autre par contre serons une découverte. Vos peurs venant de vous, vous serez donc les seuls à pouvoir les vaincre. Seront-elles réel ou qu’illusion ? A vous de voir. Vous êtes les seuls maitres de votre inconscient. N’oubliez pas, si vous voulez revoir vos camarade, le seul moyens et que vous arriviez au bout et qu’eux aussi y arrive. Peut-être que cela vous motivera. Les clefs de votre réussite sont entre vos mains. Personnellement j’espère que vous y arriverez. Je vous souhaite donc bonne chance et ne laissez pas vos peur vous paralysé. Si vous n’arrivez pas de l’autre côté ce sera l’échec et ses lourdes conséquence. Bon courage. Vous en aurez besoin.

 

         Après le monologue de Fiona, le silence devin le maitre des lieux. Le groupe séparé, chacun devait affronter leur peur et avancé afin de sortir de ce lieux. C’était un long et large couloir. Les murs étaient fait de végétaux mais infranchissable. Commençons par allez voir Sophie. 

 

Sophie : - Bien, je suis seul. Tout va bien se passer. Il faut que j’avance pour retrouver tout le monde. Je vais rester calme et tout se passera bien. Allez en route !

 

Sophie se mis à avancer dans ce long couloir. Les végétaux autour d’elle était coloré par endroit dut à la présence de fleur. Elle avança pendant un temps interminable à ses yeux. Elle arriva à une intersection. Devant celle-ci se trouvé un panneau avec une flèche lui indiquant la direction à suivre. C’était assez étrange car il était inscrit dessus «  Sophie suis la direction de la flèche, la sortie est dans cette direction. ». Le chemin était balisé. Tant mieux, l’épreuve ne test que les peurs et pas le sens de l’orientation. Elle prit donc les directions que lui indiqué les flèches car en avançant de nombreux chemin se montré à elle. Quand, Sophie se figea devant une peau géante de serpent devant elle sur le sol. Une mue de serpent. Sa taille était démesurée. Aucun serpent connu au monde ne pouvait faire une taille pareille. C’est bien simple, si l’on mesurait celle-ci, son diamètre serait proche de quatre mètre. Je ne vous parle même pas de la longueur. On n’en voyait pas le bout.

 

Sophie : - Oh non ! Pas ça ! Pas de serpent !

 

Derrière Sophie approcha un serpent qui semblait avoir entendu la supplique de celle-ci.

 

Serpent : - Eh bien, eh bien ! Tu me brises le cœur jeune fille de ne vouloir ma présence. Approche-toi un peu de moi que je puisse sentir ton odeur.

 

Sophie, apeurait, prit les jambes à son cout et se mit à courir le plus vite possible. Elle n’avait jamais couru aussi vite. Cela, à cause de sa maladie qui, par l’inquiétude se ses parents pour sa santé, faisait pratiquement aucun sport. Elle avait le cœur qui battait à une vitesse ahurissante. Elle avait l’impression que son cœur allait sortir de sa cage thoracique ou encore que celui-ci allait exploser. Ses poumons lui faisaient mal. Elle avait du mal à les remplir d’oxygène. Si bien que rapidement un point de côté se fit sentir. Il ne fut pas compliquer pour le serpent de rattraper Sophie dans sa course.

 

Serpent : - Pourquoi courir comme ça jeune fille ? Je te rattraperais quoi que tu fasses. 

Sophie : - Je dois aller plus vite pour le perdre.

Serpent : - Peine perdu petite fille, je suis plus rapide que toi.

Sophie : - Non, je ne te servirais pas de casse-croute !

Serpent : - Oh, vraiment ! Tu me sembles pourtant tellement appétissante !

 

Sophie, à bout de souffle se mis à ralentir, puis à s’arrêter. Elle n’en prouver plus. Ses jambes étaient en coton. Ses poumons lui faisaient mal et son cœur allait vraiment trop vite. Mais le pire était cette envie irrépressible de vomir sans pouvoir arriver à ses fins. Elle sentit la présence du serpent juste derrière elle. Il n’avait pas eu de mal à la rattraper. Il l’avait fait d’ailleurs sans se fatiguer. En plus de se mal être dû à sa course forcer, Sophie sentit la peur monter en elle pour la paralyser de plus en plus. Elle ne pouvait plus bouger aucun de ses membres. Cela laissé au serpent tout le loisir de la prendre entre ses anneaux d’une puissance tel qu’il pourrait brisé Sophie aussi facilement qu’un brin de paille.

 

Serpent : - Bien, tu as arrêté de courir. A bout de souffle peut être ?

Sophie apeuré : - Je fais très peu de sport. Je n’ai pas pu tenir plus longtemps.

Serpent : - Je vois, il y aura donc plus de gras à manger que de muscle tant pis pour moi. Non, ne te débats pas, ça ne sert à rien. J’ai dû quand même t’attraper, ça m’a ouvert l’appétit.

Sophie : - Non, pitié, ne me mangé pas !

Serpent : - Pourquoi diable ferais-je ça ?

Sophie : - Parce que… Vous ne m’avez pas donné votre nom. Je trouve ça personnellement très mal poli !

Serpent : - Hum, oui tu n’as pas tort. Tu as le droit de savoir par qui tu vas te faire dévoré. Je m’appelle Sinaloa. Bien, les présentations faite, je peux te manger !

Sophie : - Non !

Sinaloa : - Quoi encore !

Sophie : - Je ne suis pas comestible !

Sinaloa : - Comment ça ?

Sophie : - J’ai la leucémie !

Sinaloa : - Eh alors ! Quesque ça va me faire cette leucémie ?

Sophie : - Eh bien, au début, pas grand-chose. Mais une heure après m’avoir consommé, tu vas avoir des nausées, puis des crampes d’estomac, puis ton sang va se mettre à bouillir et pour finir tu vas exploser.

Sinaloa pâle : - Mais c’est horrible ! Tu n’es pas consommable ! Je pense que je vais plutôt attendre une nouvelle proie.

 

         Sinaloa laissa tombé Sophie sur le sol et disparut dans les couloirs un air dégouter sur le visage.

 

Sophie : - Ouf, j’ai eu chaud. Je pense avoir passé ma première peur. Mon mensonge avec un fond de vérité est passé comme une lettre à la poste. J’ai eu de la chance.

 

 

         Passons voir ce qui se passe du côté de l’inspecteur GRANTIER au moment où il fut séparé du reste du groupe et après les explications de Fiona.

 

Inspecteur GRANTIER : - Ce n’est pas vrai ! Sophie et Laura son toute seule. Je suis inquiet pour elles. Hector, pourra se débrouillé seul. J’espère que les filles n’ont pas trop peur. Fiona est inconsciente de nous avoir séparés. Cela risque d’être traumatisant pour elle. Bon maintenant pas le choix, il faut avancer.

 

L’inspecteur GRANTIER avança dans un long couloir végétal pendant un long moment. Le couloir, au fil du temps se mis à s’élargir encore et encore. Quand soudain un gouffre monumental se présenta devant l’inspecteur.

 

Inspecteur GRANTIER : - Oh non ! Pas le vide ! J’ai le vertige ! Si je longe ce gouffre, à bonne distance, je trouverais, je l’espère, un moyen de passer de l’autre côté, enfin je l’espère.

 

         L’inspecteur GRANTIER longea le gouffre et il vie un panneau près du gouffre, trop près au goût de l’inspecteur.

 

Inspecteur GRANTIER : - Pourquoi se foutus panneau et si près du gouffre. Alors allons voir. Alors, le seul moyen d’aller de l’autre côté du gouffre est de le traversé sur ce fil transparent juste à côté du panneau. Quoi !

 

         L’inspecteur essaya de trouver le fil avec la plus grande prudence et sans regarder le gouffre. Lorsqu’il le trouva, il vie l’étroitesse de celui-ci. Il se releva d’un bon et il recula promptement très paniqué.

 

Inspecteur GRANTIER : - Vous êtes malade ou quoi ! Déjà que j’ai une peur bleu du vide, il faudrait en plus que je joue les équilibristes ! Ça ne va pas la tête ! Il est hors de question que je traverse se gouffre de l’infinie sur un fil transparent et aussi étroits. Vous voulez ma mort ou quoi !

 

         L’inspecteur GRANTIER resta un moment devant le gouffre essayant de calmer son cœur battant trop vite à son goût dans sa cage thoracique. Quand, soudain, l’inspecteur GRANTIER entendit une, puis deux et enfin trois voie appeler au secours. Il reconnue celle-ci de façon immédiate. C’était les voies de Sophie, Laura, et Hector. 

 

Inspecteur GRANTIER : - Oh non ! Les filles et Hector sont en danger. Ils appellent au secours. Quesque je dois faire ? Les cris viennent de l’autre côté du gouffre ! Il faut que je traverse.

 

         L’inspecteur s’approcha du gouffre au niveau du panneau là où se trouvaient le fils de funambule transparent, le seul moyen de traverser celui-ci. Mais dès qu’il s’approcha du bord du gouffre l’inspecteur fut pris de nausée et se retrouva paralysé des jambes. En effet, celle-ci ne vous plus obéir et toucha le sol en tremblant laissant l’inspecteur cloué sur place.

 

Inspecteur GRANTIER : - Merde, leurs cris sont déchirants ! Ce n’est pas le moment de flancher mon vieux. Tes amis sont en danger. Tu vas vraiment rester sur place sans bouger. Je ne suis qu’un minable paralysé par mes peurs. Je ne suis qu’un imbécile sans cœur. Aller mes jambes, bougées. Il faut que vous bougiez, aller. Si je ne regarde pas le fond du gouffre ça passera mieux. J’aurais moins l’impression d’être aspiré par lui. Aller mon grand, inspire et expire bien. Ça va bien se passé.

 

L’inspecteur fit quelque exercice respiratoire afin de se calmer. Puis, il se lança sur le fils avec prudence afin d’aller de l’autre côté. Il regarda droit devant lui en essayant de garder l’équilibre le mieux qu’il le pouvait.

 

Inspecteur GRANTIER : - Garder l’équilibre, surtout ne pas tomber. Garder l’équilibre, ne surtout pas tomber. Je vois la fin du gouffre. Encore un peu et c’est bon.

 

         L’inspecteur arriva enfin de l’autre côté du gouffre et il s’éloigna le plus rapidement possible de celui-ci. Il se mit à courir en direction des cris et pu voir un enregistreur d’où provenez les cris.

 

Inspecteur GRANTIER : - Quesque ça veut dire ? C’est une blague ? Tien un panneau. Voyons voir « Création faite par l’imagination de l’inspecteur GRANTIER pour avoir le courage de traverser le gouffre ». Quoi ? C’est moi qui ai fait ça pour réussir. J’ai une façon étrange de m’aider. Mais bon au moins c’est fait. Bon ben en route pour la prochaine épreuve. Je crains le pire.

 

 

         Voilà pour la première peur de l’inspecteur GRANTIER. Voyons voir ce qui s’est passé pour Laura à présent.

 

Laura : - Oh non ! Pourquoi on est séparé ? J’espère que tout ira bien pour Sophie. En plus affronté ses peurs seul. Bon tout va bien se passer. Le mieux que je puisse faire c’est avancer. C’est parti

 

Laura avança dans un couloir végétal. Elle suivit les flèches car il y avait beaucoup, voir énormément de croisement.

 

Laura : - Bon sang, c’est quoi tous ses couloirs. Heureusement qu’il y a les panneaux pour m’indiquer les directions sinon je crois que je me serais déjà perdu mille fois.

 

         Laura continua son chemin encore un long moment. Elle commencé d’ailleurs à fatiguer. Soudain, elle aperçut des petites araignées passer autour d’elle ou au-dessus de sa tête ou encore sur le sol entre ses jambes. Plus elle avancé, plus les araignées devenait grosse.

 

Laura : - Que fond-elle la toute ses bêbêtes ? Je croyais que c’était les peurs pour cette épreuve ? Étrange. Attend un peu, qui dit araignées, dit toile d’araignées. Oh non ! Je déteste ça ! Je ne veux pas y aller. Ce n’est juste pas possible. Rien que d’y pensé j’ai cette sensation sur le corps. Pourquoi, pourquoi ? Bon, il faut que j’avance. Pour Sophie, pour réaliser le rêve d’Hector d’enfin pouvoir exister. Je dois avancer. 

 

         Laura avança avec la peur au ventre. Son cœur battait très fort car plus elle avancé, plus le couloir végétale était remplie de toile. De plus, les araignées de petites taille au début, devenait de plus en plus grosse. Plus il y avait de toile dans le passage, plus les araignées étaient grosse au point d’être de la même taille que Laura au bout d’un moment.

 

Laura : - Bon, je n’ai pas peur des araignées mais faut pas exagérer quand même. Là, elles sont vraiment très grosses. Si elle le désirait, elle pourrait ne faire qu’une bouché de moi. Et puis, il y a de plus en plus de toile, à force je ne vais plus pouvoir passer. Il est hors de question que j’en touche une car cela me dégoute et me fait paniquer.

 

Alors que Laura avançait, une toile lui tomba sur la tête. Elle se mit à paniquer et à faire des mouvements anarchiques afin de se débarrasser de ce qui lui était tombé sur la tête. Dans ses mouvements incontrôlés, Laura détruisit sans le vouloir d’autre toile qui la fit encore plus paniquer. A force de se débattre dans les toiles, Laura se retrouva prisonnière de celle-ci. Elle était terrorisée. Elle pleurait et hurlait à l’aide pour qu’on la sorte de ses fichus toiles. Les araignées s’approché d’elle et essayé de la sortir de la mais Laura se débâtée tellement que c’était peine perdu. Une des araignées quitta le groupe et expliqua à ses collègues qu’elle allait chercher la reine pour qu’elle calme et sorte cette destructrice de maison, garde-manger ou piège pour la chasse, et l’éloigne le plus loin possible de ses lieux. L’araignée arriva auprès de la reine et lui expliqua la situation avec Laura qui détruisait toute les toiles. La reine se déplaça rapidement vers le lieu où se trouvait Laura. Elle fut catastrophée en voyant les dégâts causé par la jeune humaine.

 

La reine des araignées : - Que ce passe-t-il ici ? Arrêtez cette humaine rapidement avant qu’elle ne détruise tout !

Ouvrière araignée : - Impossible votre majesté, elle se débat trop ! Je crois que ce sont les toiles que nous avons construit qui la fait paniquer comme ça !

La reine des araignées : - Je vois, elle n’écoute personne du à sa peur dans ce cas-là, je n’ai pas le choix.

 

         La reine s’approcha de Laura. Les cris et hurlement de celle-ci avait la capacité de détruire les tympans. Quand la reine fût au plus près de Laura, elle donna un grand coup de patte sur la tête de celle-ci est l’assomma. Laura tomba tout de suite dans l’inconscience.

 

La reine des araignées : - Emmener cette demoiselle hors de ses toiles de l’autre côté. Car de toute évidence, c’est là-bas qu’elle voulait aller. Et réparer les dégâts qu’elle a pu causer. Moi je reste avec elle est je vais avoir une petite discussion avec cette humaine. Je suis curieuse de savoir d’où vient cette peur. Si je lui explique le fonctionnement de ces toiles, peut-être qu’elle n’aura plus peur ou du moins respectera t’elle notre travaille. Vous avez compris ?

Ouvrière araignée : - Oui votre majesté !

 

         Toute les ouvrières se remirent au travail. Pendant ce temps Laura fût emmené de l’autre côté des toiles. La reine attendit  que celle-ci reprirent connaissance. Laura reprit conscience à peu près une heure plus tard.

 

Laura : - Que s’est-il passé ?

La reine des araignées : - Tu étais hystérique dans nos toiles. Tu paniquais et tu étais entrains de détruire tous notre ouvrage. J’ai été obligeais pour te calmer de t’assommer.

Laura : - Je suis désolé mais les toiles d’araignées me fond paniquer. Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi !

La reine des araignées : - Je vois. Je me présente. Je m’appelle Liny. Je suis la reine ici et je suis très en colère contre toi. Ne t’inquiète pas tu es de l’autre côté des toiles. Tu n’auras donc pas à les traverser.

Laura : - Oh merci votre majesté ! Rien que l’idée de devoir en toucher une me rend malade.

Reine Liny : - Mais tu vas devoir en toucher. Pas question que tu partes d’ici. Je vais te dire beaucoup de chose sur les toiles pour qu’elle ne t’effraies plus. Tu sais les toiles nous sont très utile. D’une part, pour nous nourrir. Bon je sais ce n’est pas agréable de se prendre une toile en pleine figure quand tu te balades.

Laura : - A qui le dite vous ? Je ne supporte pas cette sensation.

Reine Liny : - Peut-être mais là où tu passes, des insectes passent également. Et pour se nourrir il faut les capturer. Pour cela nous construisons une toile pour les capturer et les mettre dans un cocon en attendant de les manger.

Laura : - Mais ses toiles sont gluante ! C’est vraiment désagréable de se les prendre dans la tête. D’ailleurs, comment vous faites pour ne pas vous faire prendre dans vos propres toiles ?

Reine Liny : - C’est simple, tous les fils n’ont pas la substance gluante pour capturer les insectes. Certain sont des fils normale et c’est par là que l’on va récupérer les insectes. Tiens vient avec moi, je vais te montrer sa fabrication. Car comme tu te doutes, il faut également que le piège soit solide pour pas que nos proies passe à travers.

 

         La reine Liny emmena avec elle Laura et elles allaire dans un autre couloire beaucoup plus large et qui redevenait presque une forêt normale. La reine Liny expliqua à Laura que le chemin qu’elle devra suivre après était juste derrière mais qu’elle pourrait le prendre que lorsqu’elle aura passé l’épreuve. La reine Liny présenta son ouvrière à Laura.

 

Reine Liny : - Laura, je te présente Missulena. Elle est ma meilleure ouvrière pour construire des toiles pour piéger notre future nourriture.

Missulena : - Votre majesté, vous désiré ?

Reine Liny : - Missulena pourrais-tu devant Laura construire une toile piégé pour les insectes. J’aimerais qu’elle voie comment nous les faisons.

Missulena : - Bien sur votre majesté, je m’y mets tout de suite.

 

         Missulena montra à Laura la façon dont elle faisait le fil de soie, la manière dont elle la produisait. Elle montra aussi la manière dont elle faisait le piège en différenciant à chaque fois le fil avec la substance gluante et le fil qui n’en possédé pas. Laura était fascinée par les explications de Missulena et elle n’en perdait pas une miette. D’une certaine façon, les toiles lui faisaient moins peur.

 

Reine Liny : - Tu sais Laura, on peut aussi utiliser nos toiles pour se faire un abri, mais également comme sécurité quand on veut aller d’un point à un autre. Comprends-tu ?

Laura : - Oui, et elle semble me faire moins peur !

Reine Liny : - Vraiment ? Dans ce cas tu vas me le prouver. Tu vois, un insecte vient de se faire prendre au centre de la toile. Oui, je sais, elle a une taille de géant par rapport à ce que tu connais. Tu vas aller avec Missulena au niveau de cet insecte au centre de la toile et tu vas l’enfermer dans un cocon. Ne t’inquiète pas, c’est Missulena qui va te fournir la soie. C’est pour cela qu’elle t’accompagne. Une fois que tu l’auras mis dans un cocon, tu l’emmèneras dans le garde-manger. Si tu réussis à vaincre ta peur, je te pardonnerais et fermerais les yeux sur les dégâts que tu as faits. Dans le cas contraire, tu rejoindras cet insecte dans le garde-manger et tu deviendras à ton tour de la nourriture. As-tu bien compris ?

Laura tremblante : - Oui, j’ai bien compris

Reine Liny : - Eh toi Missulena ?

Missulena : - Oui votre majesté. J’accompagne tout de suite la petite humaine à la toile piège.

 

         Laura suivi Missulena avec quelque inquiétude, car même si elle trouvait les toiles moins effrayante qu’avant ce n’est pas pour autant qu’elles étaient amie, amie avec elle. Arrivait au pied de la toile, Laura pris une grande inspiration afin de calmer les battements de son cœur qui battait trop vite à son goût. Elle regarda le niveau au c’était loger l’insecte. Elle analysa le chemin le plus court à effectuer pour aller jusqu’à l’insecte. Elle voulait rester le moins longtemps possible sur la toile. Elle inspira de nouveau en profondeur et grimpa sur la toile en suivant les fils non collant jusqu’à l’insecte. Arriver à son niveau, non sans difficulté. Eh oui, Laura n’est pas une araignée et elle a du mal parfois à tenir l’équilibre dessus. Donc arrivé au niveau de l’insecte, avec l’aide de Missulena, elle enveloppa l’insecte dans un cocon de soie. Ensemble, Laura et Missulena, elles descendirent la proie et Laura l’emmena dans le garde-manger des araignées non sans un certain dégout a touché la toile. Une fois cela accomplie, elle alla voir la reine Liny.

 

Laura : - Voilà, j’ai fait ce que vous m’avait demandé.

Reine Liny : - Oui, j’ai vue cela. Tu n’es pas encore très confiante avec les toiles que nous fabriquons. Cependant, au vue des réactions que tu avais avant, tu as fait de très gros progrès. Je ne voie donc pas pourquoi je te retiendrais plus longtemps ici. Tu peux repartir. La suite de ton périple se trouve dans cette direction. Je te conseille de mieux maitriser tes peurs car à mon avis tu vas en avoir de plus profond. Fait attention à toi petite humaine Laura.

Laura : - Oh merci reine Liny pour tout. Que ce soit les conseils, le savoir sur les toiles, de m’avoir appris à contrôler ma peur.

Reine Liny : - Mais je t’en prie. Allez, maintenant va avant que je ne change d’avis et que je fasse de toi une araignée serviteurs.

Laura : - Au revoir !

Reine Liny à voix basse : - Ce sera plutôt un adieu.

 

         Laura partie vers la suite en direction de la sortie ou de sa prochaine peur. Mais à présent, allons voir ce qui se passe du côté d’Hector.

 

Hector : - Ce n’est pas vrai ! Fiona nous a séparés ! J’espère que tout ira bien pour les filles. Ce ne sont que des enfants. Pourquoi je les ai embarquais la dedans. Elles sont peut-être en danger à cause de moi. Bon ça ne sert à rien de se lamenter. Il faut avancer. Plus vite je serais sorti de la, plus vite je pourrais aller au secours des filles si elles ont besoins de moi. Aller en route.

 

         Hector avança dans un couloir végétal dont les arbres monter tellement haut dans le ciel qu’il était impossible de voir leur cime. Ce couloir se transforma vite en labyrinthe végétal. Heureusement pour lui qu’il n’avait qu’à suivre les panneaux lui indiquant la direction. Il y avait de très jolis sons autour de lui. Sans doute quelques oiseaux mélomane alentour. Hector avancé presque en rêvassant. Mais surtout sans regarder ou il mettait les pattes. Ce qui devait arriver, arriva. Alors que le chemin descendait en forte pente de façons brutale, Hector se pris les pattes dans une racine et dégringola la pente à forte vitesse. Sous le choc de sa dégringolade, Hector perdit connaissance. Lorsqu’il reprit conscience, il s’aperçut qu’il était attachait à un arbre.

 

Hector : - Bon sang, qu’est-ce que je fais là ? Aie ! C’est quoi cette douleur à ma patte ?

 

         Hector regarda sa patte et il vit que celle-ci était en sang. En voyant cela, il fit une grimace de douleur et d’appréhension.

 

Hector rallant : - Oh non ! Je me suis blessé à la patte. Sans doute en dégringolant cette foutu pente. Il va falloir la soigner. Je déteste ça ! Ça pique, ça fait mal, je déteste ça. Les soins lors d’une blessure me font peur. Je sais que c’est important mais c’est plus fort que moi ça me terrifie. D’ailleurs Célestiel est bien placé pour le savoir.

Voie inconnue : - C’est de moi qu’on parle monsieur le ronchon ?

Hector surpris : - Célestiel c’est toi ! Impossible tu devrais être à la maison ?

Célestiel : - C’est le cas. Eh bien cette chut t’a fait du mal. Tu as du te cogner la tête en plus de t’être blesser la patte pour être confus à ce point.

Hector perdu : - Je ne comprends plus rien. En fait, pourquoi suis-je attaché à cet arbre ?

Célestiel : - C’est pour pouvoir te soigner correctement sans que tu fuies et que tu ne blesses la moitié des habitants de la forêt.

Hector : - Quoi ! Mais ce n’est qu’une égratignure, je n’ai pas besoin de soin !

Célestiel : - Ça y est, tu recommence !

Hector : - Allez Célestiel, laisse-moi partir ! On est ami non !

Célestiel : - C’est justement parce qu’on est ami que je ne peux pas te laissé partir ! Ta patte va s’infecter à force.

 

         Hector se mis à râler. Il détestait qu’on puisse le toucher lorsqu’il était blessé. Puis il se mit à réfléchir. Ce qu’il avait fait jusqu’à présent ne pouvait pas être une illusion. Il avait bien vécu quelque chose de fort pour faire exister le livre avec les trois humains, Laura, Sophie et l’inspecteur GRANTIER. Mais si la rose devant lui n’était qu’une illusion, qui était-elle vraiment ?

 

Hector : - Es-tu vraiment Célestiel ?

Célestiel : - Quoi ? Tu as du vraiment te cogner la tête ? Bien sûr que je suis Célestiel ! Qu’est ce qui te fait croire le contraire ?

Hector : - Ou sont Sophie, Laura et l’inspecteur GRANTIER ? Nous étions partit ensemble pour accomplir la légende.

Célestiel : - Quoi ?

Hector hurlant : - Les humains, ils sont ou ?

Célestiel : - Eh oh, Hector, calme-toi ! Ils sont partit cherché de quoi pour soigner ta blessure. Mais vous n’êtes pas encore partit pour accomplir la légende.

Hector : - Impossible !

Célestiel : - Tu me traite de menteuse !

Hector : - Non pas de menteuse. Mais d’usurpatrice d’identité.

Célestiel : - Quoi comment oses tu dire ça ? Tu me blesses. Tu ne reconnais donc pas ton amie ? Puisque c’est ainsi je m’en vais jusqu’à ce que tu reprennes tes esprits.

 

         Célestiel partit avec l’aide d’une biche qu’elle avait appelé et qui l’avait déplacé. Hector, lui, se posé beaucoup de question.

 

Hector : - Je ne sais pas si c’est vraiment Célestiel. Mais je ne dois pas prendre de risque. Personne ne touchera ma patte blessé. Je dois me libéré et fuir au plus vite.

 

         Hector se débâtât comme un lion afin d’arriver à se défaire des liens qui le maintenait solidement attaché à l’arbre. Après de gros effort pour faire rompre ses liens, Hector se mis à courir le plus vite possible afin de s’éloigné le plus de ses personnes dont l’identité était plus qu’incertaine. Il courra donc à en perdre haleine. La blessure de sa patte lui faisait mal à chaque impacte de pas qu’il pouvait faire lors de sa course. Seulement, la peur qu’il avait pour se faire soigner était telle qu’il préférait fuir plutôt que se laissait faire. Il courût un long moment à travers la forêt. Mais au bout d’un certain temps, Hector n’en pouvait plus de courir. Il était persuadé que quelqu’un le suivait pour le soigner. Il savait que Célestiel pouvait le retrouver du fait qu’ils se connaissent parfaitement. Qu’elle soit la vrai ou pas, Hector décida d’aller se cacher afin de se reposer épuiser par sa course forcé et par sa blessure à sa patte. Hector trouva une grotte ou se dissimuler et ou se reposer.

 

Hector : - Cette grotte sera très bien pour me reposer. Je n’en peux plus. Je suis épuisé. Je sais que ma peur des soins est stupide mais elle est incontrôlable. Je me souviens de ce qu’avait dit Fiona. Ici, on doit affronter nos peurs. Cela me conforte dans le fait que ce ne soit pas la vrai Célestiel que j’avais en face de moi mais une illusion. Le seul moyen d’arrêter celle-ci et de continuer le chemin et d’affronter cette peur en me laissant soigner. Je ne suis pas sûr d’y arriver.

 

         Sur ses pensé, Hector s’endormis profondément d’un sommeil sans rêve. Le genre de sommeil si profond qu’il ne sert qu’à faire reposer le corps et l’esprit. Lorsqu’Hector se réveilla, qu’elle ne fût pas sa surprise, plutôt mauvaise, de voir qu’il était de nouveau attacher à un arbre de façon encore plus solide que précédemment. Hector grimaça comprenant qu’il avait était retrouvé, mais par qui ?

 

Voie grave : - Alors Hector, ça t’amuse de nous faire courir partout dans la forêt ?

Hector : - Inspecteur GRANTIER c’est vous ?

Inspecteur GRANTIER : - A ton avis ?

Hector : - Laura ? Sophie ?

Sophie : - Tu n’es pas gentil Hector ! Nous on s’inquiète pour toi !

Laura : - Ta stupide peur risque de te tuer un jour si tu continues avec ce comportement.

Hector : - J’ai peur de la douleur lors du soin. C’est une peur sur laquelle je n’ai aucun control. Il faut me comprendre.

Célestiel apparaissant aux yeux d’Hector : - Mais, nous comprenons tes appréhensions. Cependant, le fait de te soigner te soulage par la suite exacte ou pas ?

Hector : - Célestiel ?

Célestiel haussant le ton : - J’ai raison ou pas ?

Hector : - Oui mais …

Célestiel : - Et le fait de ne rien faire te fait ressentir en permanence une douleur. C’est toujours bon ?

Hector : - Oui.

Célestiel : - Alors passe outre tes peurs et laisse toi te faire soigner.

Hector : - Célestiel, tu ne comprends pas !

Célestiel : - Non, vraiment ! Ce qui est sûr c’est que tes stupides peurs ton bien punis.

Hector : - De quoi parles-tu ?

Sophie : - Hector, regarde ta patte. Elle est toute noire.

Hector : - Quoi ! Qu’est-ce que ça signifie ?

Laura : - Je crois que ta patte s’infecte de plus en plus et se nécrose.

Hector : - Oh non !

Célestiel : - Punis, si on ne te soigne pas tu vas mourir.

Hector : - Mais que doit-on faire ?

Inspecteur GRANTIER : - On doit couper toute la partit de ta patte nécrosé, morte. Puis on va désinfecter le reste de ta plaie. C’est le seul moyen avant que cela n’empire.

Hector : - Quoi ! Vous voulez couper ma patte ! C’est hors de question !

Célestiel : - Si Monsieur n’avait pas fait des sienne et s’était laissé soigner, cela ne serait pas arrivé. A moins que tu ne désir mourir, tu n’as pas le choix.

Hector : - Mais vous vous rendez compte de ce que vous êtes en train de me dire. Je vais avoir une patte en moins moi.

Inspecteur GRANTIER : - Tu y survivras. C’est ta seul chance. Allez un peu de courage.

 

         Hector sous le choc resta silencieux. Sa peur panique des soins avait eu raison de sa patte. Une larme se mis à couler le long de la joue de celui-ci. Il regarda impuissant et paniqué ses amis faire les préparatifs pour la fatal amputation. Sophie s’approcha doucement d’Hector et lui chuchota des mots doux pour le rassurer. Hector n’avait qu’une envie, fuir cette endroits. Mais s’il n’avait pas fui, s’il s’était laissé soigner gentiment, jamais il ne serait sur le point de perdre sa patte. Hector était dépité et très en colère contre lui-même. Sa décision était prise. Dorénavant, malgré ses peurs et ses appréhensions pour un soin, il se laisserait faire. Il ne voulait plus perdre un autre morceau de son corps. Sophie fit sentir une jolie fleur odorante à Hector pour l’apaiser. L’effet fût immédiat. Hector s’endormis profondément. Lorsqu’Hector se réveilla, il se retrouva à nouveau dans le couloir végétal là où il s’était cassé la figure. Le premier réflexe fût de regarder sa patte. Il constata un bandage. Cependant, celle-ci était entière. Il soupira de soulagement. Il aperçut des mouvements non loin de lui, mais il fut incapable de dire qui cela pouvait être, ce qui l’était et la tête que pouvait avoir celui-ci. Hector supposa que c’était cet être mystérieux qui l’avait soigné. Il prit une voie assez forte afin de remercier celui ou celle qui l’avait soigné espérant que celui-ci entende ses remerciements. Hector reprit sa route afin de retrouver le reste du groupe.

 

 

Séverine CARETIER : - Bon les enfants, on va faire une petite pause le temps que je me réhydrate parce que là je n’arrête pas de parler et je me déshydrate.

Julie : - Ok maman

Luca : - Mais tu fais vite hein ! J’ai hâte de savoir quand ils vont tous se retrouver !

Séverine CARETIER : - D’accord mon chérie, mais laisse-moi le temps de boire un verre. Je reviens vite. 

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