Âme brisée (Chapitre 2)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

Tome 1 : Les cristaux
Note de l'auteur: Attention les chapitre de l'histoire "Âme brisée" seront plus sombre. Il y aura du sang, du combat, de la violence. Je préfère prévenir pour les âmes sensible!!!
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Chapitre 2 : Ville cachée !

Nous sommes aujourd’hui en l’an 2500. Cela faisait maintenant 250 ans que le portail était ouvert sur un autre monde. Cela faisait 250 ans que des créatures en tout genre prenaient le portail pour venir jusqu’à notre monde. L’espèce humaine autrefois dominante de ce monde se retrouvait aujourd’hui, au même titre que beaucoup d’animaux, être des proies potentielles pour certaines de ses nouvelles créatures arrivées. La technologie développer par le passé avait été peu à peu oublié au fils des années à cause de cette arrivée. Il y avait plusieurs raisons à cela, la première était dû au nouveaux arrivant qui avait détruit la plupart des technologies comme si ses créatures en faisaient une allergie. La deuxième raison était que les humains avaient dû fuir et se cacher afin de se mettre en sécurité. Ce qui faisait que lorsqu’une machine tombait en panne, il était difficile de la réparé par manque de matériel, les humains sortant rarement et faisant très attention afin de ne pas se faire attraper. La technologie était donc devenue plus rare au fils du temps. Vous allez me dire, mais les nouveaux arrivant aurait pu apprécier cette technologie et se l’accaparer. Cela aurait pu se passer ainsi mais le nouveau chef, dominant de ce monde, Vladimir ROURC était contre celle-ci pour une raison très simple. Il préférait faire des humains des esclaves afin de les faire travailler avec leurs mains comme des forcené. Lui, comme la majorité de ses créatures qui était sous ses ordres, ils préféraient voir des gens souffrir, les battre si le travail était trop lent.

Les humains était soit libre, mais ils devaient se cacher afin de ne pas être capturer ou se faire tuer, soit prisonnier et à la solde de Vladimir et de ses créatures, dans ce cas-là, il y avait plusieurs possibilités. Pour ceux qui était retenue par les sbire de Vladimir ou par Vladimir lui-même, les possibilités étaient diverses. La première de ses possibilités était que les humains soit devenue les esclaves de ses créatures. Dans ce cas-là, ils étaient chargés de tache diverse et varier. Ils devaient les accomplir rapidement afin d’éviter de se faire battre. Les taches pouvaient être simple et facile comme longue et difficile. Ses esclaves étaient répartis en fonction des taches bien que cela pouvait être changer de temps à autre. Il y avait ceux qui était dédier à l’entretien des intérieurs, tel que le ménage, la nourriture, la préparation des bains, l’habillages des habitants, l’entretien des extérieurs. Il y avait ceux dédier aux diverses constructions. Ils étaient changés régulièrement car là plus part mourraient par le travail ingrats et difficile des constructions toujours plus démesurées et avec le minimum requis pour ce qui concernait technologie. En règle générale, ceux qui étaient dédier à la construction ne tenaient pas plus de six mois. Il y avait ceux qui étaient dédier au plaisir pure et simple des diverses créatures par des divertissement tel que la danse, le théâtre, des jeux ou les créatures fond des paries, la fuite pour les monstres puissent les prendre en chasse, les plaisirs charnels. Bref, un humain esclave pouvait être utiliser pour n’importe quelle situation. Il existait les humains élever comme du bétail qui ne servait qu’à nourrir des monstres. Il y avait donc une reproduction intensive de ses humains naturel ou pas. Il y avait aussi certaine créature qui gardait auprès d’eux des humains comme des animaux de compagnie. Autant dire que la vie pour ces humains-là est plutôt un enfer.

Les humains en liberté, eux, avaient au fil du temps construit de véritable ville souterraine afin de se cacher. Il existait en effet à travers le monde de nombreuses petites villes aménagé au fil du temps par eux même afin d’échapper aux sbires de Vladimir et d’éviter de devenir une proie ou un esclave. Ses villes n’étaient au pare avant que de simple cavité souterraine aménagé et transformé en des lieux confortables ou l’on pouvait vivre. En effet, les humains vivant dans ses lieux ont fait en sorte de ne plus avoir à sortir dehors ou très peu afin de ne pas se faire prendre.

Mais pourtant, au fil du temps, ses petites villes se sont fait prendre par les acolytes de Vladimir une par une. Ses villes ont été réduite en poussière par ses monstres, réduit en cendre, massacré laissant plus que des lacs de sang. Et oui, en effet, ils ne laissaient en règle générale aucun survivant lors de ses destructions. Lorsque cependant cela était le cas, ses personnes ne devenaient que des esclaves ou de la future nourriture. Celui que Vladimir avait nommé pour cette tâche s’appelle Acorib qui contrôle parfaitement tous les éléments en rapport avec l’air. Il était sans pitié. Il adorait faire souffrir les humains. Leur cri de douleur et d’effrois était quelque chose qui l’excitait au plus au point et qui lui procurait un très grand plaisir. Il était grand, les cheveux noirs comme de la cendre et toujours en mouvement grâce à son pouvoir de contrôle de l’air. Il avait une cicatrice sur la joue ressemblant à un serpent, une tête plutôt carrée avec une corne au milieu du front d’une trentaine de centimètre. Il avait un torse très musclé et carré. Il avait les jambes d’un taureau et une queue de cheval. Tous ceux qui vivaient librement dans les villes avaient peur qu’il ne vienne un jour les massacrer.

 C’était pour cela que les villes restantes se faisaient le plus discrets possible. Pour cela, ils avaient créé toute une manière de vivre afin de ne pas avoir à sortir du seul lieu où ils étaient le plus en sécurité. Ils avaient donc construit de véritable culture souterraine. Leurs cultures poussaient grâce à une technologie qui reproduisait sous terre une lumière artificiel comme s’il n’y avait pas de plafond mais belle et bien le soleil qui éclairé cette cavité sous terraine. Ils avaient également élevé et fait reproduire de nombreux animaux afin de pouvoir se nourrir de viande. Ils avaient de nombreux arbres fruitiers. Bref, ils avaient fait en sorte d’avoir de la diversité dans leur mode de culture afin de pouvoir se nourrir. Ils avaient aussi inventé un système afin de récupérer l’eau de pluie sans avoir à sortir. Ils avaient un système de pompe pour récupérer les eaux souterraines avec un système de filtrage afin d’éviter tout type de pollution.

Dans ses petites villes ou survivaient les derniers humains libres, tout était réglementé. En effet, que ce soit au niveau de la nourriture comme au niveau de l’eau, tout était distribué entre les personnes en des cota précis. Les cultures n’étant parfois pas très bonne et le fait que ses petites villes soit fortement peuplé pouvais expliquer ses cota. Aucun gaspillage n’était toléré sous peine de forte sanction. Malgré ses règles pour la nourriture et l’eau, personne ne mangeait vraiment à sa faim. Et cela était pire les saisons ou les récolte était mauvaise avec une forte hausse de la mortalité et de maladie dans ses villes.

Chaque humain avait une tâche à accomplir. Cela changeait toute les semaines. Il y avait ceux qui étaient chargé de faire à manger, ceux qui s’occupaient du ménage, ceux qui s’occupaient des cultures et de l’élevage, ceux qui s’occupaient des réparations des machine défectueuse. He oui, même si la vie était des plus compliqué, les machines et robots étaient toujours présent. En effet, pour savoir ce qu’il y avait à faire sur les cultures par exemple, des informations était envoyé dans des agendas électronique que chaque personne possédait afin de savoir ce qu’il y avait à faire. Les villes avaient la capacité de communiquer entre elles grâce à des machines encore fonctionnel faisant apparaitre la personne avec qui on communiquait sous forme d’hologramme. Ses communicateurs permettaient surtout de se prévenir les uns les autres si une ville était attaquée. Le problème de toute machine quel qu’elle soit était qu’elle pouvait tomber en panne. Malheureusement, souvent, le seul moyen de le réparer était de trouver le matériel qui se trouvait à l’extérieur. Hors, la moindre sortie pouvait être fatale. C’était pour cela que les robots, qui fonctionnaient, était souvent utilisé pour ses missions à haut risque. En effet, si un sbire de Vladimir avait le malheur de repérer le robot, la ville souterraine était détruite dans les heures qui suivaient par Acorib. Autant dire que l’erreur n’était pas permise. Bref, les humains ne sortaient pratiquement jamais de leurs villes pour ceux qui avaient la chance d’avoir encore leur liberté.

C’était dans ce contexte que vivait une jeune femme de vingt ans. Elle s’appelait Céléna. Elle était plutôt de petite taille, elle était mince, le visage fin. Elle avait les cheveux qui lui arrivait jusqu’au milieu du dos de couleur brun, les yeux verts, la peau pale. Elle avait des parents aimant. Son père, qui se prénommait Isaac, était un homme de grande taille, assez musclé, les cheveux noirs comme la cendre, les yeux verts, le visage rond, de la barbe plutôt douce, un petit ventre qui commençait à venir à cause des années. Il était quelqu’un de très protecteur envers sa famille. La mère de Céléna, elle, était de petite taille, comme sa fille. Elle avait les cheveux de couleur roux qui lui arrivait jusqu’au fesse. Elle avait les yeux verts. Elle avait un visage fin et elle était plutôt mince. Elle s’appelait Sophia. Céléna avait également un grand frère de trois ans son ainé. Il s’appelait Timothy. Il avait les cheveux court, noir comme l’ébène, le visage rond. Il était très mince et plutôt grand. Il aimait beaucoup taquiner Céléna. Il était très protecteur envers sa famille. Céléna avait un petit ami dont elle était très amoureuse. Il s’appelait Éric. Il était de taille moyenne, les cheveux blonds et court, il était musclé. Ils se connaissaient tous les deux depuis très longtemps pour ne pas dire depuis l’enfance.

Céléna était née dans cette petite ville souterraine. Elle n’avait pour ainsi dire jamais vu à quoi ressemblait le monde extérieur. Cela lui était formellement interdit comme pour tous les habitants de cette ville. La ville dans laquelle vivait Céléna s’appelait Illurakas. Elle était cachée comme toute les autres villes sous terre, dans une montagne pour Illurakas plus particulièrement. Céléna se réveilla comme tous les matins vers six heure et vérifia quelle tache lui était attribué pour la journée. La famille de Céléna dormait tous dans une même pièce qui leur était dédier. Le manque de place dans la ville du aux nombres croissant de personne faisait qu’il y avait toujours qu’une pièce pour chaque famille pour la nuit. Il y avait plusieurs sanitaires en commun et une sorte de cantine géante et elle était dédier pour la prise de repas. Il y avait plusieurs services afin que chacun puisse manger.

Éric : - Bonjours chérie. Tu as bien dormi cette nuit ?

Céléna : - Tu sais bien que tant que je suis à côté de toi je dors toujours parfaitement bien mon cœur.

Éric embrassant Céléna : - Si tu savais combien je t’aime mon amour !

Timothy : - Oh pitié ! Arrêté de vous bécoté tous les deux ! C’est dégoutant ! Vous n’êtes pas seul bon sang ! Pensez au célibataire !

Céléna : - Que t’arrive t’il Timy ? Tu es jaloux !

Timothy faisant son regard le plus charmeur à Éric : - Oh oui ! Si tu savais à quel point je rêve de prendre Éric dans mes bras et de l’embrasser fougueusement jusqu’à l’entendre gémir de plaisir !

Éric : - Heu, je ne suis pas d’accord ! Tu me fais peur Tim !

Céléna : - Ça ne va pas non ! Tu n’as pas intérêt à toucher à mon homme !

Timothy : - Oh ! On se calme ! Je plaisante ! Ton homme n’est pas mon genre ! Il manque cruellement de poitrine !

Céléna : - Oh que c’est drôle ! Tu vas voir mon vieux !

 

         Céléna se jeta sur son frère afin de lui faire une attaque de chatouille. Éric arriva rapidement à la rescousse de sa chère et tendre en l’aidant à faire des chatouille en maintenant fermement Timothy.

 

Timothy : - Stop ! Ah ! Ah ! Arrêter ! Ah ! Ah ! Vous êtes deux ! Ah ! Ah ! Ce n’est pas juste ! Ah ! Ah !

Isaac : - Vous êtes bien bruyant ce matin ! Je peux savoir ce qui se passe !

Céléna : - C’est Timy ! Il drague mon homme !

Timothy : - C’est eux qui ont commençait en en se bécotant !

Céléna : - On est amoureux ! C’est normal ! Et je maintiens que tu as dragué mon homme !

Isaac : - Quoi ? Mon fils les hommes t’attirent ! Cela expliquerait pourquoi tu es encore célibataire ! En fait, tu n’oses pas nous monter ton homme !

Timothy : - Quoi ? Mais non, ça ne va pas ! C’est les filles qui m’attire ! Je n’ai juste pas encore trouvé la bonne !

Isaac : - Cela ne me dérangerais pas tu sais !

Timothy : - Oui, je sais !

Sophia : - Arrête d’embêter ton fil mon chéri. Il trouvera la personne qui lui faut quand il sera prêt ! Et surtout quand il sera moins exigeant !

Timothy : - Quoi ! D’où je suis exigeant ?

Sophia : - Timy, je crois qu’à ton âge tu as le droit de savoir que la perfection n’existe pas !

Timothy : - Mais c’est fini oui ! Je le sais !

Isaac : - Ah ! Ah ! Ah ! Mon petit Timy, c’est tellement facile de te mettre en colère. Bon bref, assez rigolé ! Il est temps d’aller se mettre au boulot !

Sophia : - Oui, c’est vrai qu’il est grand temps. Bon d’après mon agenda, je suis pour cette semaine au niveau des cuisines. Bien, alors on est parti pour cuisiner.

Céléna : - Moi, je suis attribué aux cultures !

Timothy : - Oh mon dieu ! Ses pauvres cultures risquent fort de dépérir si c’est toi qui t’en occupe !

Céléna : - Pardon ! Je sais très bien m’occuper des plantes d’abord ! Et toi t’es affectés ou d’ailleurs ?

Timothy : - J’adores te taquiner petite sœur ! C’est un véritable plaisir à chaque fois ! Sinon, je suis affecté à la réparation et aux constructions de matériaux !

Éric : - Ah ! On va travailler ensemble alors ! C’est là que je dois aller aussi !

Timothy : - Je suis tellement content ! Je vais enfin pouvoir te draguer sans que ma sœur le voie !

Céléna : - Timy ! Je t’interdis de toucher à mon homme !

Timothy : - Mais c’est qu’elle n’est pas partageuse ! Ne t’inquiète pas, c’est les filles qui me plaise, pas les hommes ! Sauf pour être ami avec ! Mais je suis content quand même car de cette façon je vais pouvoir discuter avec ton homme et le menacer de toute les tortures que je pourrais te faire, Éric, si tu brises le cœur de ma petite sœur !

Éric : - Aucun risque que je subisse quoique ce soit pour la simple et bonne raison que je suis fou amoureux de Céléna !

Céléna embrassant Éric : - Oh tu es trop mignon ! Moi aussi je suis folle amoureuse de toi !

Timothy : - Allée, c’est repartie, ça redevient su sucre ! Je te ferais quand même passer le test ! Et toi papa, c’est ou que tu bosses cette semaine !

Isaac : - Je suis à la manœuvre des robots pour récupérer ce qu’il nous faut pour la réparation des robots et machines en panne.

Sophia : - Quoi ! Encore ! Pourquoi c’est toujours toi qu’ils appellent mon chéri ! Ses manœuvres sont tellement dangereuse !

Isaac : - Je sais ! C’est comme ça ! On n’a pas le choix ! C’est ceux qui sont au conseil qui fond ses choix ! Ils choisissent aux mieux suivant les capacités de chacun !

Céléna : - Le conseil ne change que tous les dix ans. La population choisi dix personnes qui seront désigné à tout diriger dans la ville, les poste de chaque personne chaque semaine ainsi que les lois de Illurakas. Les membres du conseil son appelé des sages. Je me demande si faire dix ans dans le conseil ce n’est pas un peu long !

Isaac : - Merci de ce rappel sur qui est le conseil ! Cela fait longtemps que ça a été décidé comme ça, que le conseil ne serait élu et changé que tous les dix ans !

Céléna : - Pardon, j’ai encore pensé à voix haute ?

Timothy : - Comme d’habitude j’ai envie de dire !

Céléna : - Je ne le fait pas exprès !

Isaac : - Trêve de bavardage ! Il est temps d’aller au travail !

Tous sauf Isaac : - Oui chef !

 

         Tous partirent donc au travail. Isaac, lui, rejoignit le lieu où il devait manipuler avec d’autre personnes le robot chargé de récupérer les matériaux utiles pour la réparation des engins tombé en panne ainsi que des animaux sauvages, s’ils en croisaient, afin de pouvoir apporter de la viande supplémentaire pour nourrir la communauté. Il arriva dans une pièce à l’écart de la ville et extrêmement sécurisé afin de limiter au maximum le risque de se faire attaquer.

 

Isaac : - Bonjours à tous ! Que dois t’on ramener aujourd’hui ?

Inconnue : - He bien, on doit se rendre dans les ruines de la ville de Pont. On doit trouver s’il ne reste pas des files électriques, du fer, bref ce qui peut rester encore d’utile sans avoir besoin de chercher des matières premières, plus forcément de la viande d’animaux si on en croise.

Isaac : - Tiens, Marie, tu es de retour ! La santé va mieux ?

Marie : - Oui merci ! J’ai cru que je n’arriverais jamais à guérir de cette tuberculose !

Isaac : - Oui, je comprends. Mais par rapport à ce que tu me dis pour les matériaux, je ne suis pas sûr que cela soit possible.

Marie : - Oui, je sais que cela fait longtemps que la ville de Pont a été piller ! Mais le conseil aimerait que l’on évite d’envoyer les robots à perpète pour les matières premières pour fabriquer se dont on a besoin.

Isaac : - Bon, il faudra faire un tour du côté de la décharge pour voir s’il reste quelque chose. Mais j’en doute fortement ! Tu en penses quoi Anton ?

Anton : - Je pense que si on ne prend pas un jour le risque de sortir de ce trou, on va tous mourir de maladie. Le système d’aération de la ville tombe en panne tous les quatre matins et trouver du matos réutilisable devient d’une telle rareté. De plus, je ne suis pas sûr si l’on doit aller prendre de la matière première que les robots soit d’une grande efficacité vu leur vétusté !

Marie : - Et quoi, tu voudrais que l’on sorte dehors ! Tu n’es pas fou ! Tu veux que l’on meure tous !

Anton : - A une époque, il existait une équipe spécialisée qui sortait dehors pour ramener ce donc la communauté avait besoins. Ce groupe d’élite s’appelait les « invincible ».

Inconnue : - Tu parles bien des fous qui se sont fait massacré aux files des années ! Je crois que c’est pour ça que les sorties en extérieure on était fortement déconseillé !

Isaac : - Tien, bonjours Maya. Tu es en retard !

Maya : - Oui, je suis désolé ! Mais mon petit dernier, Luca, a fait une pneumonie. Il est sous respirateur au centre de soin !

Isaac : - Oh, je suis désolé ! Je ne savais pas.

Anton : - C’est à cause du système de ventilation qui fonctionne mal que beaucoup de gens tombe malade. Il suffit d’être faible ou un peu fatigué pour s’en choper une.

Marie : - C’est pour cela qui vaudrait mieux jouer les Kamikaze en sortant dehors ?

Maya : - Quoi ? Sortir dehors ? Avec tous les sbires de Vladimir qui rode en ce moment !

Anton : - Cette idée c’est pour quand il n’y a pas de risque ! Forcément, en ce moment il ne vaut mieux pas sortir !

Isaac : - C’est pour cela que pour cette mission avec le robot, il va falloir être extrêmement prudent afin de ne pas se faire repérer !

Anton : - Oui, sinon couic !

Marie : - Arrête ! Je suis déjà assez stressé comme ça !

Anton : - Ne sois pas aussi sensible ! On connait tous les risque !

Maya : - Risque qui s’accroit d’année en année !

Isaac : - Ils ont surement repéré ou sut d’une façon ou d’une autre que notre ville était dans les parages. C’est pour cela qu’il va falloir faire très attention. Je suppose que les matériaux que l’on doit ramener c’est pour réparer la ventilation essentiellement !

Maya : - D’après ce que je peux lire, oui, c’est ça !

Isaac : - Bien, alors au travail !

         Tout le monde se mettait en place afin de commencer les manœuvres pour faire fonctionner le robot. Une fois le robot en marche, ils ont commencé la procédure pour ouvrir la porte. Quand tout fut accomplie et après les vérifications au niveau de la sécurité fait, débuta la dangereuse mission afin de récupérer les matériaux pour la communauté. Ils commencèrent à diriger le robot vers les ruines de Pont. En arrivant sur place, ils repérèrent des hommes d’Acorib. Il y avait deux types de créature parmi ses hommes, des hommes lézards de taille assez grande que l’on surnomme ici des Lacermos et des êtres humanoïdes avec une tête de taureau que l’on appelle ici des Minotaures. Les hommes d’Acorib semblaient s’être installé dans ce lieu afin de faire une pause déjeunée. Cependant, les indices qu’ils laissaient sembler plutôt prouver qu’ils cherchaient quelque chose.

 

Maya : - Oh non, ce n’est pas vrai ! Il y a de ses créatures partout !

Anton : - S’ils ne font que manger, on peut patienter avant de commencer les recherches !

Isaac : - Malheureusement, je ne suis pas sûr qu’ils partent.

Marie : - Comment ça ?

Isaac : - J’ai bien peur qu’il recherche quelque chose !

Maya : - Oh mon dieu ! Vous pensez que c’est notre ville qu’il recherche ?

Anton : - Pourquoi ? Notre ville est très bien cachée. Il n’y a rien qui prouve qu’il en existe une dans le coin !

Isaac : - Le problème est que l’on a un robot dehors ! Si jamais ils le repère, on sera tous condamné ! Nous ne sommes certes pas sûr qu’ils nous recherchent, mais il ne faudrait pas que par une erreur l’on condamne la communauté !

Marie : - Il faut annuler la mission alors !

Anton : - On ne peut pas prendre une telle décision nous même ! Tu le sais très bien.

Maya : - Alors, que faisons-nous ?

Anton : - Il n’y a qu’une chose à faire ! Il faut que l’on prévienne les sages afin de savoir si on annule ou pas la mission.

Isaac : - Qui va les prévenir ?

Anton : - J’y vais.

Marie : - Attend moi ! Je viens avec toi.

Isaac : - Dépêchez-vous alors car je ne sais pas encore combien de temps la cachette du robot sera sur !

Marie partant avec Anton : - Compte sur nous !

Maya : - J’espère que les sages ordonneront une annulation de la mission !

Isaac : - Je l’espère aussi car la poursuivre serait tout simplement suicidaire.

 

         Maya et Isaac attendirent patiemment le retour de Marie et d’Anton de chez les sages. A leur retour, Maya et Isaac n’eurent pas besoin de demander ce qu’avait décidé les sages. En effet, leur tête en disait long sur la décision qui avait été prise.

 

Isaac : - Ils sont inconscient !

Maya : - Ils ont maintenu la mission !

Marie : - Oui, on n’a rien pu faire.

Anton : - Pourtant, on vous jure que l’on a tout fait pour qu’ils annulent cette putain de mission !

Maya : - On n’en doute pas.

Isaac : - La seul chose qu’ils risque de gagner à la place de matériaux se sont les hommes de mains d’Acorib qui risque de débarquer dans la ville et de tous nous tuer !

Maya : - Bon, que faisons-nous maintenant ?

Anton : - A ton avis ?

Marie : - Oh non ! Ne me dites pas que l’on va devoir quand même faire cette mission ?

Isaac : - On n’a pas le choix ! Prier tous pour que tous se passe bien ! Allé, mettons-nous tous à nos postes.

 

         Toute l’équipe se remirent en place afin de faire bouger le robot pour pouvoir récupérer ce dont ils avaient besoin. La mission allait être longue et difficile, surtout pour les nerfs. Ils réussirent à récupérer certains matériaux dont ils avaient besoin sans se faire repérer et en s’éloignant de la ville. Mais, soudain, le robot se retrouva entouré des hommes d’Acorib. Plus personne n’osait bouger ou même respirer de peur de se faire repérer. Ils attendirent que ses créatures s’éloignent pour de nouveau partir. C’est ce qu’ils firent, cependant, alors que le robot passait par un endroit de la ville de Pont ou la nature avait repris ses droits, un Lacermos surgit de derrière un arbre. Le temps pour Marie, Maya, Anton et Isaac de s’en rendre compte, il était trop tard. Le robot avait été vu et le Lacermos alla rapidement prévenir tout le groupe de sa découverte en emportant avec lui le robot.

 

Marie : - Oh mon dieu ! Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?

Anton : - Je ne sais pas ! C’est la première fois que ça arrive !

Isaac : - Il faut éteindre le robot afin qu’ils ne puissent pas remonter jusqu’à nous.

Maya : - Cela signifie que l’on va définitivement le perdre celui-là !

Isaac : - Peut-être mais de cette manière, ils ne seront pas où nous somme !

Anton : - Je vais prévenir les sages !

Marie : - Que va-t-il se passer maintenant ?

Maya : - Je crains fort qu’ils restent dans les parages pendant très longtemps !

Marie : - Longtemps ? C’est-à-dire ?

Anton : - C’est-à-dire jusqu’à qu’ils nous trouvent !

Marie : - Oh non !

Isaac : - Allez, dépêchons-nous avons qu’ils ne nous repèrent !

 

         Quand soudain une explosion survint au niveau des entré et sortie des robots. Cela surpris tout le monde. Surtout que celle-ci fut d’une violence tel que l’on pouvait avoir l’impression d’un tremblement de terre. Lorsque la fumée se dissipa après l’explosion, Marie, Maya, Anton et Isaac purent voir les hommes d’Acorib, des Lacermos et des Minotaures.

 

Acorib : - Voyez-vous ça, une ville cachée ! Comme nous sommes chanceux d’être tombé sur ce robot qui nous a emmené droit sur ce lieu !

Maya : - Mais c’est impossible !

Anton : - Comment on t’ils puent être aussi rapide ?

Marie : - On est foutu !

Isaac : - Vite ! Il faut sonner l’alarme afin de prévenir tout le monde !

Acorib : - Effort inutile que de prévenir vos petits camarades ! Vous êtes à notre merci ! Ah ! Ah ! Ah ! Et pour répondre à vos questions, si nous sommes ici aussi rapidement c’est grâce à cette pierre de téléportation que mes hommes et moi sommes arrivé jusqu’à votre porte ! Il n’en existe que deux. La première appartient au seigneur Vladimir ROURC et le second, c’est moi qui le possède même s’il m’a été confier par notre seigneur lui-même ! Autant vous dire que vous n’aviez aucune chance ! Ah ! Ah ! Ah !

 

         Marie, Maya, Anton et Isaac se mirent à courir le plus vite possible afin de fuir les envahisseurs. Ils avaient la peur au ventre, la peur de mourir. Ils savaient à présent que leur chance de survie était plus que mince.

 

Chef des Minotaures : - Que devons-nous faire chef ?

Acorib : - La réponse me paré pourtant évidente ! Tuez-les tous jusqu’aux dernier ! Et pour que la surprise soit total, empêchez ses individus de sonner l’alarme !

Chef des Lacermos : - Permettez-moi maitre de m’en occuper. Mes hommes vont se faire un plaisir de les massacrer !

Acorib le sourire aux lèvres : - Bien, ne les rates pas ! Je sens que je vais bien m’amuser !

Marie courant : - Oh mon dieu ! On est grave dans la merde ! Il faut aller prévenir nos familles !

Anton courant : - Il faut surtout aller prévenir les sages !

Maya courant : - La population, il ne pas oublier la population !

Isaac courant : - Voilà ce que l’on va faire. On va tous se séparer afin d’avoir toute nos chances. Maya et Marie vous allez prévenir nos familles et la population du danger. Il va falloir essayer de se mettre en sécurité. Toi, Anton, va informer les sages de la situation. Moi, je vais aller sonner l’alarme pour que tout le monde sache qu’il y a un grand danger.

Marie courant : - Quoi ? Mais pourquoi faire cela ?

Anton courant : - On n’est pas sûr qu’aucun d’entre nous survivent ! Il faut mettre le plus de chance de notre coter pour que le plus de personne possible soit informé !

Marie courant : - Je vois !

  Le groupe arriva à une bifurcation ou trois chemin possible s’ouvraient devant eux. Isaac pris le chemin de droite afin de parvenir dans la salle de surveillance pour sonner l’alarme. Anton pris le chemin en face de lui qui mené vers la salle ou siégé les sages. Maya et Marie, elles, prirent le chemin de gauche emmenant vers le centre d’Illurakas afin d’avertir le plus de personne possible de la situation. Le groupe se souhaita rapidement bonne chance avant de se séparer sans pour autant s’arrêter car derrière eux, les hommes d’Acorib les suivaient. Ils pouvaient entendre leur crie de guerre qui se rapproché d’eux de plus en plus.

         Anton courait le plus vite que ses jambes lui permettez de le faire. Il sentait que les Lacermos s’approchaient dangereusement de lui. Il n’avait plus beaucoup de route à parcourir pour atteindre la salle des sages qui était la salle la plus éloigné de la porte d’entrée ainsi que la plus profonde. Les sages étant le centre de décision de la communauté, il était essentiel que ceux-ci soit le plus protégé possible. Anton arriva près de la porte des sages. Malheureusement pour lui, il se fit rattrapé par les Lacermos. Alors qu’il était arrivé au niveau de la porte et qu’il était sur le point de frapper afin d’entrer voir les sages, plusieurs Lacermos lui sauta dessus. Il hurla de douleur sous l’effet des coups de lames et de croc qu’il prenait. Le conseil des sages ayant entendu ses cris de douleur fit l’erreur d’aller ouvrir la porte. Lorsqu’ils jetèrent un coup d’œil derrière la porte afin de savoir ce qui se passait, les sages eu la surprise de voir le corps démembré et déchiqueté d’Anton par les Lacermos qui le dévoré. Les sages voulurent fermer la porte en catastrophe afin de pouvoir se barricader. Mais en quelque coup de hache et d’épées, la porte fut défoncée. Les sages fut tous massacré, dévoré. Il ne restait dans la salle que sang et destruction. La ville d’Illurakas se retrouva sans dirigeant à la merci des envahisseurs.

         Isaac courait à en perdre haleine. Il sentait les Lacermos sur ses talons. La salle pour enclencher l’alarme n’était pas loin. Seulement, celle-ci était compliqué à mettre en marche. Forcément, depuis le temps, celle-ci tombé en panne de façon régulière. Il était très difficile de trouver les bons matériaux pour qu’elle ne tombe pas en panne. Les Lacermos étaient juste derrière lui. Il esquiva tant bien que mal les haches, lance ou autres armes que ses créatures lui lancé dessus. Alors que le couloir tourné vers la droite à quatre-vingt-dix degrés, une hache qui lui avait été jeté sur lui, lui trancha le bras gauche. Isaac hurla de douleur mais ne freina pas sa course pour autant. Il arriva enfin au niveau de la salle et entra dans celle-ci. Cette porte était une porte blindée. Isaac, avec son bras restant, ferma la porte à double tour afin que personne ne puisse entrer et la barricada afin qu’il ait le plus de temps possible pour enclencher l’alarme. Il n’y avait que très rarement des personnes dans cette salle, une fois par mois environ, car les sages estimé qu’il était impossible que quiconque ne trouve la ville sous-terraine. Rien que de penser à cela, ça mettait Isaac en rage. Il se concentra sur les manipulations à faire pour enclencher l’alarme. Il savait qu’il avait que très peu de temps avant que les Lacermos n’arrivent à renter. Il savait aussi qu’il était condamné car cette pièce ne contenait aucune issus de secours. Mais il était prêt à tout pour protéger sa famille, sa femme Sophia, sa fille Céléna et son fils Timothy. Il voulait que sa famille arrive à fuir et survive. Il mit plus d’un quart d’heure avant d’arriver à tout mettre en place pour déclencher l’alarme. Il fit en sorte que celle-ci ne puisse pas être arrêter. Il enclencha l’alarme qui fit un bruit strident à travers toute la ville souterraine. Il était plus que temps car au même moment les Lacermos défoncèrent la porte et entrèrent. Ils furent surpris par l’alarme donnant la possibilité à Isaac de leur donner des coups afin d’avoir un passage pour s’enfuir. Mais affaiblie par sa blessure, les Lacermos se jetèrent sur lui et le dévorèrent vivant.

         Revenons, si vous le voulez bien, en arrière, au moment où toute la famille, Sophia, Céléna et Timothy se sont séparé. Céléna, après un dernier regard vers son amoureux Éric, se dirigea vers la section des cultures et des plantations. Les plantations étaient situées tout autour de la ville. Chaque parcelle était destinée à des cultures précise. Alors qu’elle s’approché de son chef de secteur de la semaine, Roméo, Céléna vit de loin son père se diriger vers son secteur pour sa mission. Elle n’osa pas l’interpeler trouvant ça ridicule alors qu’elle venait de le quitter il y avait à peine quelque minute. Elle sourit en le regardant s’éloigner et se dirigea vers Roméo afin de connaitre sa tâche.

 

Céléna : - Salut Rom ! C’est encore toi le chef de secteur culture !

Roméo : - Je te rappel la miss que mon nom complet est Roméo ! Nous travaillons sur un roulement je te rappel ! Il donc normal que ça soit-moi ton chef de secteur !

Céléna : - Ne t’énerve pas ! J’avais oublié que tu détestais les surnoms et les diminutifs de ton prénom !

Roméo : - Excuse-moi Céléna. Mais Je suis en manque de sommeil en ce moment. Le petit ne fait toujours pas ses nuits !

Céléna : - Il n’a que trois semaines ! Laisse-lui du temps !

Roméo : - Peut-être mais en attendant je suis sur les nerfs ! Bref, aujourd’hui, tu vas faire des récoltes. Tu vas t’occuper des champs de patate. Ne t’inquiète pas, tu ne seras pas seul. Tu es en binôme avec ton amie Samia.

Céléna : - Avec Samia, génial !

Roméo : - Vous êtes plus efficace lorsque vous travaillez toute les deux ! Ah, en fait, la machine et encore en panne. La récolte va donc devoir se faire à la main ! Désolé !

Céléna : - Oh non ! Encore ! Je suis bonne pour le mal de dos ce soir.

Roméo : - Allé, courage !

Céléna : - Merci !

 

         Céléna se dirigea vers les champs de patates et repéra rapidement son amie Samia.

 

Céléna : - Salut Samia ! Ça va bien ! Je crois bien que l’on fait équipe aujourd’hui !

Samia : - Ça va ! Bien que j’aurais préféré que cette putain de machine marche ! On va juste se bousiller le dos.

Céléna : - Je suppose qu’il n’y a pas le matériel qu’il faut pour les réparations !

Samia : - Et quand les aura-t-on ?

Céléna : - Mon père a une mission aujourd’hui pour aller en récup ! Je suppose que ça en fait partie !

Samia : - Et bien, nous verrons bien cela ! En attendant, mettons-nous au travail avant que l’on nous traite de feignasse !

 

         Céléna et Samia travaillèrent quelques heures lorsque soudain elles entendirent comme une explosion suivi d’un tremblement de terre. Les deux jeunes femmes se figèrent et se redressèrent afin de comprendre d’où cela pouvait bien provenir. Elles purent apercevoir des rochers tomber à certain endroit d’Illurakas.

 

Samia : - Bon sang ! Que se passe-t-il ? La grotte s’effondre ou quoi !

Céléna : - J’ai entendu une explosion. J’espère que personne n’a été blessé !

Samia : - Tu penses que c’est ceux qui font les réparations qui son responsable de cette explosion ?

Céléna : - Oh non ! Ne me dit pas ça ! Timy et Éric travail dans ce secteur cette semaine !

Samia : - Difficile de savoir d’où ça provient. La détonation a résonné dans toute la grotte.

Céléna : - En tout cas je ne vois pas de fumé provenant de leur secteur.

Samia : - Ça ne doit pas provenir de chez eux alors.

Céléna : - Je suis rassuré ! Que doit-on faire maintenant ?

Samia : - On continu notre travail. Tant que l’alarme ne résonne pas, c’est qu’il n’y a pas de danger.

 

         Samia et Céléna se remirent au travail en attendant de possible consigne qui pouvait provenir de l’alarme en cas de danger ou du conseil des sages lui-même.

 

Marie et Maya courait vite essayant de semer leur ennemie. Elles réussirent à arriver en périphérie de la ville et hurlèrent aux gens de se mettre à l’abris, de fuir, qu’Acorib les attaquaient.  Samia et Céléna entendirent les cris de Marie et Maya. Elles laissèrent tomber leur travail et se mirent à courir jusqu’à elles afin de comprendre ce qui se passé. Marie et Maya leur expliquèrent sans pour autant s’arrêter de courir. Les deux jeunes femmes se figèrent sous la nouvelle.

 

Céléna s’arrêtant : - Attendez ! Ou est mon père ?

Maya : - On s’est tous séparé ! Il est parti déclencher l’alarme !

Céléna : - Oh non ! Je dois partir le retrouver pour l’aider !

Marie : - Ne fait surtout pas ça ! La seule chose que tu vas gagner, c’est la mort !

Céléna : - Mais on ne peut pas le laisser tout seul ! Il risque de mourir !

Maya : - Ton père va mourir ! Il n’y a aucun moyen de sortir de la salle où se trouve l’alarme ! Mais il veut essayer de protéger le plus possible la population et surtout sa famille. Je suis désolé d’être aussi dure mais on n’a pas le temps là !

Céléna s’effondrant sur le sol : - Oh non ! Pas ça !

Samia : - Céléna reprend toi !

Marie : - Si tu veux vraiment aider ton père, il faut que l’on se sépare tous et que l’on puisse prévenir le plus de personne possible ! C’est peut-être notre seule chance d’accord !

Céléna : - D’accord !

 

Céléna se redressa en pleur avec difficulté et se mis à courir, avec les autres en prenant des chemins différents, en hurlant à la population le danger qui guetté. Elle se dirigeait vers le lieu où travaillait Timothy et Éric. Mais Acorib ainsi que ses hommes, les Lacermos et les Minotaures arrivèrent rapidement en ville.

 

Acorib hurlant : - Cela ne sert à rien de courir comme ça ! Ah ! Ah ! Ah ! Votre sort est sellé, votre ville condamnée !

Chef des Minotaures : - Pouvons-nous y aller maitre ? Mes hommes s’impatientent !

Acorib : - C’est bon ! Je veux que cette ville soit mise à feu et à sang ! Je ne veux aucun survivant ! C’est bien compris ?

Tous les hommes d’Acorib : - Oui maitre !

         Tous les hommes d’Acorib coururent vers Illurakas en hurlant massacrant et dévorant tout ce qu’ils croisaient sur leur passage. Céléna arriva dans le secteur où travaillait son frère ainsi que son petit ami. Elle hurla toujours le même message aux gens qu’elle croisait afin que tous se mettent à l’abris. Timothy et Éric entendirent les messages que criait Céléna. Les deux hommes se précipitèrent vers elle.

 

Timothy : - Céléna, que se passe-t-il ?

Éric : - Pourquoi cries-tu que les hommes d’Acorib nous ont trouvé ?

Céléna : - Parce que c’est le cas ! Je travaillais avec Samia lorsque j’ai croisé Maya et Marie qui m’ont expliqué qu’il y avait eu un problème avec le robot. Ils se sont fait repérer par un Lacermos ! Ils n’eurent pas le temps de faire les procédures d’urgence pour ne pas être repéré qu’une explosion avait retentit laissant entrer les hommes d’Acorib !

Éric : - Oh non c’est terrible ! Il faut vite fuir avant que l’on se fasse tous tuer !

Timothy : - C’est là que notre père devait travailler aujourd’hui ! Sais-tu ou il est qu’on aille le chercher ?

Céléna fondant en larme : - Elles m’ont expliqué qu’il est parti sonner l’alarme et qu’il n’avait aucune chance de s’en sortir.

Timothy en pleur : - Oh non ! NON !

Éric : - Il ne faut pas rester là ! C’est trop dangereux !

Timothy : - Tu as raison ! On retrouve notre mère et on se barre d’ici !

Céléna : - Cela va prendre trop de temps Timy !

Timothy : - On doit passer par son secteur pour fuir ! Ça ne coute rien de voir rapidement. Je sais de toute façon qu’elle va partir vers la même direction que nous. Et toi Éric, tu veux aller chercher ta famille ?

Éric : - Non, je sais qu’ils iront vers la sortie !

Timothy : - Bien, alors en route !

 

         Alors que Céléna, Timothy et Éric entamer leur course pour fuir Illurakas, ils entendirent un bruit strident résonner à travers toute la ville souterraine.

 

Céléna : - Il a réussi ! Je suis tellement heureuse !

Timothy : - Tu es le meilleur papa !

Éric : - Grace à lui, toute la population va être informé ! C’est un héro !

Céléna : - Vite ! Ne perdons pas de temps ! Ne rendons pas vain son geste.

 

         Tous acquiescèrent et se remirent en route rapidement. Les hommes d’Acorib envahissaient déjà la ville. Alors que Céléna, Timothy et Éric était soulagé que l’alarme sonne, Acorib, lui, fulminé à cette idée.

 

Acorib en colère : - Quoi ! L’alarme a été déclenché ! J’en connais qui vont être punis sévèrement. Bon assez rigolé ! Il est tant que je me mêle à la fête. Vous pouvez courir tant que vous le voulez petites fourmis, vous ne m’échapperez pas ! Pour commencer affronter mon pouvoir ! Ah ! Ah ! Ah !

 

                Acorib possédait comme arme une lance au manche de couleur bleu avec au bout de celle-ci, au niveau de la pointe, plusieurs plumes coloré attaché. Il fit tournoyé celle-ci au-dessus de sa tête en prononçant des mots incompréhensibles. Le vent commença à se lever de plus en plus fort jusqu’à former une tornade. Il pointa sa lance en direction de la ville. Cela eu pour effet de mettre la tornade en mouvement en direction du cœur d’Illurakas. Celle-ci traversa toute la ville très lentement afin de faire le plus de dégâts d’un point à un autre sans s’arrêter. Tout ce qui était sur son passage fut détruit et tuer, Humain, Lacermos, Minotaure, animaux, bâtiment.

         Le groupe de Céléna avancé toujours en ayant réussi à éviter toute les attaques des ennemis et en s’étant armé avec des armes dérisoires qu’ils avaient pu trouver sur le chemin comme des battons de fer, des couteaux, bref tout ce qui pourrait leur être utile pour se défendre. Alors qu’ils couraient, Éric rentra en collision avec une personne. Ce fut nulle autre que Sophia, la mère de Céléna et de Timothy. Elle avait des blessures sur les bras, les jambes et le visage mais semblé en bonne santé.

 

Sophia : - Oh mes enfants ! Vous allez bien ? Que se passe-t-il ?

Timothy : - Maman, il y a eu un problème avec la mission de papa.

Éric : - Les hommes d’Acorib nous ont trouvé ! Il faut fuir !

Sophia : - Ou est votre père ?

Céléna : - C’est lui qui a déclenché l’alarme ! Il est sans doute …

Sophia : - N’en dit pas plus. J’ai compris. Partons vite d’ici ! Il veut que l’on vive, ne le décevons pas.

 

         Alors que le groupe repartait afin de fuir Illurakas, un vent intense se fit sentir. Des débris volés de partout assommant les gens qui essayait de fuir, les ennemis qui attaqué.

 

Timothy : - Bon sang, que se passe-t-il encore ?

Sophia : - Il y a des débris qui vole de partout soyez prudent !

Éric : - Ce n’est pas vrai ! C’est la tempête ! Comment cela est-il possible ? Nous sommes sous terre !

Sophia : - Acorib peut contrôler tout ce qui est vent. C’est surement son pouvoir la cause de cette tempête !

Céléna : - Ce n’est pas une tempête ! Regardez ! C’est une tornade !

Timothy : - Impossible !

Éric : - Elle vient droit sur nous !

Sophia : - Vite ! Il faut partir vers la gauche !

Éric : - Pourquoi par la ?

Sophia : - Il y a la cave des vins de la ville. Là-bas, on pourra se mettre à l’abris !

 

         Sur ses mots, le groupe se dirigea vers la cave. Mais un morceau d’une maison voisine soufflé par la tornade tomba sur le groupe. Éric eut le temps d’attraper Céléna pour la protéger afin qu’elle ne soit pas blessée. Mais Sophia se trouva séparé du groupe par les parpaings bouchant la route.

 

Céléna : - Maman ! Maman ! Ça va ?

Sophia : - Oui, mais je crains fort ne plus pouvoir passer par là !

Timothy : - On va te dégager un passage !

Sophia : - Non ! La tornade approche ! Allez-vous mettre à l’abris ! Je vais me débrouiller !

Céléna : - Maman soit prudente ! Je t’aime !

Timothy : - On se retrouve vite ! Soit prudente !

Sophia : - Je vous aime aussi mes chéries ! Vous aussi soyez prudent ! Il faut partir maintenant ! Vite !

 

         Céléna, Timothy et Éric se dirigèrent au pas de course vers la cave à vin que leur avait indiqué Sophia. Sophia, elle, courra essayant de trouver un abris en essayant d’éviter les monstres et les débris volant sur le chemin. Le groupe de Céléna réussirent à arriver jusqu’à la cave poursuivit par des Minotaures et des Lacermos. Timothy et Éric réussirent à en éloigner certain en les assommants ou même en parvenant parfois à les blesser. Un Lacermos lâchât son arme qui était une lance. Timothy en profita pour récupérer celle-ci se disant qu’elle pourrait toujours lui être utile. Ils entrèrent dans la cave. Céléna récupéra une barre de fer dans la cave pour boquer la porte. Plus personne ne put entrer dans celle-ci. Ils se réfugièrent au plus profond de celle-ci serait les uns contre les autres attendant patiemment que la tornade soit passé totalement. Ils pouvaient ressentir jusqu’au plus profond d’eu même les vibrations causées par les vents. Celle-ci faisait un bruit démentiel. Pourtant, malgré cela, ils pouvaient entendre les cris de terreur, de douleur des gens à l’extérieur. Tous ici espéraient fortement que Sophia ait réussi à trouver un endroit où se réfugier. L’abris résista aux assauts de la tornade. Alors que celle-ci s’éloignait, tous s’aperçurent qu’il régnait comme un silence de mort. Céléna, Timothy et Éric décidèrent de sortir de leur abri provisoire. Ils eux quelque difficulté à sortir de leur cachette à cause des débris qui bloqué la sortie. Le paysage, au niveau du passage de la tornade était méconnaissable. On ne pouvait voir que des débris ou des corps de tout être quand ce n’était pas que des morceaux. Le groupe avança dans ce paysage dévasté. Alors qu’ils avançaient, Céléna se mit à hurler brutalement et s’effondra en larme, dans la douleur, dans les bras d’Éric.

 

Éric : - Mon cœur, que se passe-t-il ? Tu es blessé ?

 

         La jeune femme pointa avec son doigt une direction dans lequel se trouvait un corps allongé. Celui-ci reconnaissable n’était nul autre que le corps sans vie de Sophia. Elle était à moitié ensevelie sous des gravas extrêmement lourd. Au vu de la plaie qu’elle avait au niveau de la tête, un objet avait dû la percuter de pleine face et lui être fatale.

 

Timothy hurlant de douleur : - NON ! Maman réveille-toi je t’en supplie !

Éric soutenant Céléna : - C’est inutile de la secouer comme ça ! Elle est partie ! Il ne faut pas que nous restions là ! Il faut être fort ! Les Minotaures et les Lacermos reviennent ! Il faut bouger, MAINTENANT !!

 

         Le groupe se remirent à fuir avec un dernier coup d’œil sur le corps de Sophia. Les hommes d’Acorib les poursuivaient de très près. Ils apercevaient également Acorib, lui-même, non loin, venant dans leur direction. Il tuait tout ce qui se trouvait sur son passage avec son pouvoir du vent ou directement avec sa lance. Cela dépendait de la distance dans lequel il se trouvait par rapport à sa cible. Si celle-ci était à portée de lance, alors il la tuait avec celle-ci. Si par contre elle était un peu trop éloignée, il utilisait son pouvoir. Illurakas était en flamme et en ruine. Il y avait des corps partout sur le sol. Tout le monde criait, fuyaient comme ils le pouvaient Acorib et ses hommes. Céléna, Timothy et Éric arrivaient jusqu’à présent à éviter les coups portés par les Lacermos et les Minotaures. Même s’ils arrivaient bien à se défendre, ils avaient des égratignures partout sur leur corps. Soudain, un des Minotaures qui les poursuivait lança sa hache en direction du groupe de Céléna. Éric, dans sa course, s’en aperçut et vit que la hache risquait de grièvement blesser, si ce n’était pas tuer, la femme qu’il aimait, Céléna. Alors, sans réfléchir, il se jeta sur Céléna et la poussa violemment pour la protéger. Céléna n’eut pas le temps de comprendre que lorsqu’elle tourna ses yeux vers Éric, elle vu la hache le toucher de plein fouet et s’enfoncer dans la cage thoracique de l’homme qu’elle aimait.

 

Céléna se précipitant sur Éric : - Éric ! NON !

Éric mourant : - Céléna… Tu dois fuir !

Céléna en pleur : - Pourquoi as-tu fais ça ? POURQUOI ?

Éric crachant du sang : - Parce que je t’aime ! Je veux que tu vives ! Fuit ! Dépêche-toi !

Céléna : - Non ! Pas sans toi !

Éric dans un dernier souffle : - Tu dois vivre ! Je vais mourir ! Ma blessure est trop grave. Mes poumons se remplisse de sang ! C’est la fin pour moi, mais toi tu as encore une chance alors fuit !

Céléna en pleur : - Je t’aime tellement Éric !

Timothy criant : - Ils arrivent ! Il faut y aller Céléna ! TOUT DE SUITE !

Céléna : - NON ! Je ne laisse pas Éric seul !

Timothy tirant Céléna par le bras : - Éric est mort ! On ne peut plus rien faire pour lui ! Soit courageuse ! Il faut y aller !

 

         Timothy traina sa sœur Céléna qui ne voulait pas quitter le corps d’Éric. Mais les ennemis approchés de trop près. Même si Timothy avait une arme pour se défendre, il n’avait pas les techniques de combat que possédaient les hommes d’Acorib et il savait très bien que leur chance de survie face un combat au corps à corps était plus que mince.

 Les cris de désespoir et de douleur de Céléna avaient fortement attiré l’attention d’Acorib. Entendre un tel désespoir, ressentir une tel douleur sortant d’un humain l’excitait au plus haut point. Il se mit donc à suivre la direction que prenait Céléna et Timothy.

Céléna et Timothy étaient à présent arrivaient au centre-ville. En effet, avec tous les débris et en essayant au maximum d’éviter les hommes d’Acorib, ils avaient fait beaucoup de détour et n’avait pas beaucoup avancé pour rejoindre la sortie. Alors que Céléna et Timothy bifurquèrent à une rue formant une épingle pour rejoindre la bonne direction pour sortir, ils s’aperçurent que celle-ci était bouché par des débris. Il était impossible pour eux de franchir cet obstacle. Alors qu’ils allaient faire demi-tour, ils tombèrent nez à nez avec Acorib.

 

Acorib désignant Céléna : - Est-ce toi petite humaine qui souffre autant et qui à criait ?

Timothy : - Laissez-nous tranquille !

Acorib avec un sourire malsain : - Tu es culoté humain pour oser me parler ainsi. A moins que tu ne sois inconscient ! Ce qui est sûr, c’est que vu le regard vide et emplis de souffrance de cette humaine, elle a dû perdre bien des choses ou être précieux ! Laisse-moi jeune demoiselle accroitre cette si plaisante souffrance. C’est si agréable et excitant à voir ! Ah ! Ah !

Timothy pointant l’arme qu’il avait dans les mains vers Acorib : - Je ne vous laisserais pas faire. Vous ne toucherez pas à un seul cheveu de ma sœur !

Céléna tout bas : - Timy, non !

Acorib : - Ah, c’est donc ta sœur ! Cela la fera sans doute encore plus souffrir si je te tue !

Céléna courant vers son frère : - NON ! Ne le touchez pas !

 

         Mais alors que Céléna se dirigeait vers son frère, celui-ci n’eut même pas le temps de bouger qu’il reçut une attaque d’Acorib, une lame d’aire, qui le trancha en deux verticalement. Timothy mourra sur le coup. Céléna s’effondra à côté de lui en larme. Elle le prit avec la plus grande délicatesse dans ses bras pleurant cette nouvelle perte.

 

Acorib : - Comme c’est agréable toute cette souffrance ! Voilà pourquoi j’aime tant massacrer ! Ah ! Ah ! Ah !

Céléna en pleur : - Ce n’est pas vrai, j’ai perdu tout le monde. Je suis toute seul. Pourquoi ? Pourquoi tout cela arrive ?

 

         Comme un flache, Céléna se mis à se rappeler de tous ses être cher qu’elle avait perdu ainsi que de tous les corps qu’elle avait croisé et qui était sans vie. Cette vision lui fut insupportable. Une puissante lueur blanche se mis à s’échapper de son corps.

 

Acorib surpris : - Qu’est-ce que c’est que ça ? Que se passe-t-il avec cette humaine ?

 

         L’aura blanche était d’une grande intensité lumineuse. Soudain, celle-ci se mis à se déchirer. Céléna hurla de douleur tellement c’était insupportable. Ça l’était autant physiquement que psychiquement douloureux ! L’air se mit à vibrer. Lorsque l’aura se déchira complétement, une onde surpuissante faisant tout le tour de Céléna déferla sur toute la ville. Le premier qui fut touché par cette onde fut Acorib. Cette onde fut si violente, puissante et brulante, qu’Acorib fut immédiatement tué. Il ne restait de lui plus que de la cendre. Cela fut la même chose pour tous les êtres à cinq cent mettre à la ronde. L’attaque fut si rapide qu’Acorib n’eut le temps de se protéger. Cette onde avait tué tous les êtres vivant de la ville. En effet, si celle-ci avait réduit tous les corps en cendre pour les premier cinq cent mètres, celle-ci resta mortel pour tout être jusqu’à dix kilomètre à la ronde. Cela ne dura que quelque seconde. Pourtant cela suffit pour tout détruire. Céléna ne se rendit compte de rien et perdit connaissance quasi instantanément après que cette onde fut envoyée. Elle était désormais la seule survivante d’Illurakas en ruine.

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