Âme brisée (Chapitre 4)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

Tome 1 : Les cristaux

Chapitre 4 : Visite du château 

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         Céléna ouvrit les yeux avec difficulté. Elle ne savait pas ce qui c’était passé. Elle avait mal partout au niveau de son corps. Cette douleur était forte et irradiait tout son corps. Cette douleur était bien différente de tout ce qu’elle avait pu ressentir jusqu’à présent. Elle serait d’ailleurs bien incapable de poser des mots sur celle-ci. Céléna remarqua qu’elle était dans un lieu qu’elle ne connaissait pas, sur un lit en baldaquin en bois avec des draperie lourde de couleur rouge. La pièce où elle se trouvait était plutôt sombre mais malgré cela elle remarqua les tables de chevet entourant son lit en bois et joliment sculpté, une immense armoire sculptée en ce qui semblait être du bois précieux, une grande table de verre avec un bouquet de fleur dessus et entouré de chaise blanche, un fauteuil rembourré en cuir près de son lit, des tableaux de taille différente représentant des paysages. Tout cela était assez compliqué à voir dans la pénombre. Elle remarqua à sa droite de magnifique rideaux rouge avec de la broderie de couleur doré. Ses rideaux était tiré sur une grande baie vitrée et empêchait la lumière de passer. Céléna essaya de se lever du lit. Mais alors qu’elle allait se tenir debout afin d’aller ouvrir les rideaux, une vive douleur l’envahi la faisant gémir et retomber sur le lit. Ce bruit attira l’attention d’une personne puisque la porte se situant devant le lit s’ouvrit. 

 

Midonna : - Tien, notre miraculé et réveillait ! Ce n’est vraiment pas prudent de te lever dans ton état !

Céléna : - Qui êtes-vous ?

Midonna rallongeant Céléna sur le lit : - Oh ! Excuse-moi ! C’est vrai que tu ne me connais pas ! Je m’appelle Midonna. Je suis une sorcière.

Céléna : - Une sorcière ! Oh mon dieu ! Qu’allez-vous me faire ?

Midonna : - Ne t’inquiète pas ! Je suis de ton coté. Je ne te ferais aucun mal. Avec mes amis, on t’a retrouvé inconsciente à Illurakas. Vous vous êtes fait attaqué par Acorib et ses hommes de ce qu’on a pu observer.

Céléna : - Y a-t-il d’autre survivant à part moi ?

Midonna : - Non, tu es la seul ! Désolé ! Dis-moi, comment t’appelles-tu ?

Céléna : - Je m’appelle Céléna.

Midonna : - Eh bien Céléna, dit moi, que s’est-il passé ?

Céléna : - Pourquoi voulez-vous savoir ça ?

Midonna : - Certaine de mes questions restent sans réponse. J’aimerais juste comprendre.

  Céléna soupira et raconta en détail ce qu’elle avait vécu, l’arrivait d’Acorib à Illurakas, la douleur des pertes de ceux qu’elle aimait, la tornade et de l’aura lumineuse qui était apparu autour d’elle. Elle raconta tout cela avec difficulté avec les larmes qui coulait sur ses joues.

 

Midonna : - Une aura lumineuse autour de toi dis-tu ! Que s’est-il passé après ?

Céléna : - J’ai ressenti une intense douleur à travers tout mon corps et après… Après c’est le trou noir. Désolé, impossible de me souvenir.

Midonna : - Tu as dû perdre connaissance à ce moment-là. Tu as beaucoup de chance, en tout cas, d’être toujours en vie.

Céléna : - Je ne suis pas sûr que ça soit de la chance !

Midonna : - Ne déprime pas ! Je me doute que cela doit être très dure ! Je ne sais pas ce que tu ressens et comment ça se passe dans ta tête. Mais il y a une chose dont je suis sûr. Ta famille voudrait que tu vives. Aussi difficile que cela puisse paraitre. Tu as la chance d’être vivante ! Ne la gâche pas !

Céléna : - Ça va être dure !

Midonna : - Surement ! Mas il faut te battre ! Bref, tu sembles épuiser. Je te laisse te reposer. Tu en as besoins. Ne fait pas de bêtise. Si tu as besoin de quoique ce soit demande le, d’accord ?

Céléna : - D’accord !

  Midonna laissa Céléna afin qu’elle puisse se reposer. Celle-ci s’endormit quasi immédiatement. Elle était épuisée tant physiquement que psychiquement. Midonna inquiète demanda à Ana, une petite fée, de veiller sur elle. Elle alla voir Alexander afin de l’informer de son inquiétude envers Céléna qui semblé des plus déprimer.

 

Midonna : - Je suis très inquiète pour cette jeune demoiselle. Elle semble tellement déprimer. J’ai peur qu’elle ne s’en remette jamais !

Alexander : - A quoi t’attendais-tu ? Elle a tout perdu ! Elle ne va pas sauter de joie alors qu’elle n’a plus personne !

Midonna : - Elle semble ne plus avoir goût à la vie !

Alexander : - Elle se sent coupable d’être en vie.

Midonna : - Qu’allons-nous faire ?

Alexander : - Dès que ses blessures seront guéries, il faudra l’entrainer pour qu’elle apprenne à utiliser son nouveau pouvoir.

Midonna : - Quoi ? Mais même si elle est en état physiquement, elle ne le sera jamais psychiquement !

Alexander : - Ce n’est pas mon problème ! Son pouvoir nous sera d’une grande utilité pour nos projets ! Il n’y a pas de place pour faire du sentiment !

Midonna : - Pourquoi être si pressé tout d’un coup ?

Alexander : - Cette femme est une âme brisée. Elle est mortelle et fragile. Il ne faut pas que son pouvoir prenne le dessus sur elle, sinon, crois moi, Vladimir ne sera pas le plus grand de nos soucis. Si son pouvoir prend le dessus sur son corps, il n’y aura plus rien à part le néant !

Midonna : - Tu pourrais avoir un minimum de cœur quand même ! Cette pauvre femme est malheureuse et perdu.

Alexander : - Je ne suis pas du genre à être chaleureux et à avoir du cœur. Je ne vois pas pourquoi je ferais quelque chose auquel je ne suis pas doué. Je laisse la place aux autres. Les sentiments ne font que freiner sur le chemin !

  Sur ses mots, Alexander parti dans une autre pièce de la demeure laissant en plan Midonna.

 

Midonna : - Ce n’est pas vrai ! Contes-tu vraiment, Alexander, laisser ton cœur fermer à toute forme d’affection !

Cloud : - Il ne faut pas lui en vouloir. Il se protège.

Midonna : - Cloud ! Je ne t’ai pas vu arriver ! Tu nous espionné, c’est ça !

Cloud : - Ne commence pas à m’anguler d’accord ! J’ai juste entendu la fin de la conversation !

Midonna : - Oui, bon, je n’aime pas être surprise. De quoi se protège Alexander ?

Cloud : - Tu sais que l’on combat Vladimir ?

Midonna : - Oui, merci, je ne suis pas idiote ! Je sais pourquoi je me bas !

Cloud : - Je te rappelle que notre ennemie n’est autre que le frère ainé d’Alexander. Il sait que le seul moyen d’arrêter la tyrannie de Vladimir et de rendre la liberté aux esclaves et de tuer son frère. Alors, pour se protéger et afin d’éviter toute faiblesse quand l’heure sera venu, il préfère ne laisser aucune place au sentiments quitte à paraitre froid et sans cœur.

Midonna : - Je comprends pour son frère, mais est-il obligé de le faire avec tout le monde ?

Cloud : - C’est plus simple de faire comme ça ! Il considère les sentiments comme une faiblesse !

Midonna : - Vraiment ! Mais il n’est pas comme ça avec nous ?

Cloud : - Bien sûr que si ! Seulement, on y est habitué ! Et puis, même s’il ne montre pas ses sentiments, ça ne l’empêche pas de nous protéger quand on est en danger ! De plus, on a appris à le connaitre et on sait que c’est quelqu’un de bien.

Midonna : - C’est vrai ! Seulement, cette jeune femme va avoir besoin d’écoute et d’amitié, pas d’une personne dure et froide devant elle !

Cloud : - Nous serons ses personnes ! On va avoir besoin des pouvoir de cette jeune femme pour réussir !

Midonna : - Une âme brisée est un allié des plus précieux, c’est vrai mais …

Cloud : - Mais ?

Midonna : - C’est une humaine ! Elle ne devrait même pas être en vie !

Cloud : - Tu penses qu’elle peut perdre le contrôle de son pouvoir ?

Midonna : - Les corps des démons comme toi, des morts vivant comme Alexander et des sorcières comme moi, sont adapté dès la naissance pour accueillir des pouvoir ! Pas ceux des humains.

Cloud : - On l’entrainera ! Il le faut de toute façon si on ne veut pas qu’elle devienne dangereuse pour nous comme pour le monde.

Midonna : - Je sais, seulement…

Cloud : - Seulement le fait que sa famille se soit fait massacré par les sbires de Vladimir te rappel ton passé, n’est-ce pas ?

Midonna : - Je suis pathétiquement sentimental !

Cloud partant : - Chacun ses blessures !

  Midonna soupira. Elle connaissait depuis très longtemps Cloud et le fait qu’il la connaisse si bien l’énervé quelque peu. Ils avaient tendance tous les deux à souvent se disputer pour un rien. C’était en fait une façon pour eux de dire qu’il faisait attention à l’autre. Ils avaient souvent des discutions constructif tous les deux et ils se confiaient souvent l’un à l’autre leur inquiétude. Pour Midonna, Cloud était un très bon amis, un grand frère, un membre de sa famille. En fait, Midonna était très amis avec Cloud tout comme avec Alexander. Ils essayaient à eux trois de mettre un peu de lumière dans ce monde de ténèbres qu’imposé Vladimir. Cette jeune femme, Céléna, était un espoir supplémentaire de changer les choses, un espoir de peut-être réussir à vaincre Vladimir.

 

         Céléna mit plusieurs jours avant de se remettre complétement au niveau physique de ce qui s’était passé à Illurakas. Elle n’avait pas quitté sa chambre, s’alimenter presque pas et ne parlait que très peu. Elle était toujours très triste d’avoir perdu sa famille. Elle revivait toujours en boucle les morts de ses proches sans arriver à sortir les horreurs qu’elle avait vécus de sa tête. Midonna et Cloud venaient tous les jours rendre visite à Céléna qui gardait souvent les yeux dans le vague.

Alexander, que Céléna n’avait vu qu’une fois, entra dans la chambre de celle-ci. Il évalua la santé physique de celle-ci. Voyant que celle-ci était remise physiquement, il se plaça devant elle afin de lui parler.

 

Alexander : - Il faut que l’on parle ! Sais-tu se qui t’es arrivé à Illurakas ?

Céléna : - Pas vraiment ! Je me souviens seulement d’une lumière m’entourant et d’une intense douleur qui a ressentie à travers tout mon corps.

Alexander : - Je vois. Rien d’autre ?

Céléna : - Non.

Alexander : - L’intense douleur que tu as ressenti au niveau de ton corps et dû au fait que ton âme se soit brisée.

Céléna : - Je ne comprends pas ! Mon âme s’est brisée ? C’est impossible ! Ça ne se peut pas ! On ne peut pas survivre à une âme brisée !

Alexander : - Les démons et les morts vivant peuvent y survivre facilement !

Céléna : - Mais je suis une humaine !

Alexander : - Oui, en effet, en tant qu’humaine, tu aurais dû mourir.

Céléna : - Mais je suis toujours en vie.

Alexander : - Oui, un vrai miracle inexplicable. Tu as une chance insolente tu sais !

Céléna : - Une chance ou plutôt une malédiction !

Alexander : - Tu es en vie ! Tu ne mesures pas la chance que tu as !

Céléna : - Qui êtes-vous exactement ? Vous n’êtes pas humain n’est-ce pas ?

Alexander : - Tu sais très bien comment je m’appelle car je te l’ai déjà dit ! Mais c’est vrai, je ne suis pas humain ! D’ailleurs tu n’en trouveras pas dans ce château ! Cet endroit est trop dangereux pour des êtres sans pouvoir. Quant à moi, je suis un vampire.

Céléna : - Vous comptez vous nourrir de moi ?

Alexander : - Non, je ne bois pas de sang humain. Il y a beaucoup de créature différente en ce lieu. Ils ont tous un pouvoir et un même objectif.

Céléna : - Quel est cet objectif ?

Alexander : - Vaincre Vladimir ROURC qui n’est autre que mon propre frère.

Céléna : - Ce monstre est votre frère ! Je vais peut-être partir pour vous laisser le champ libre pour le combattre.

Alexander : - Tu vas nous aider à le combattre.

Céléna : - Moi ? Mais comment ?

Cloud arrivant accompagné par Midonna : - Avec tes pouvoirs bien sûr !

Céléna : - Mais je n’ai aucun pouvoir !

Midonna : - Si, tu en as développé quand ton âme s’est brisée. Tu as à présent la capacité maintenant d’invoquer des sortes d’esprits. Tu peux également faire apparaitre des boucliers magiques pour te protéger toi ainsi que des allier. Tu peux aussi soigner les autres autour de toi. Malheureusement, pour les soins, tu ne pourras pas te soigner toi-même.

Alexander : - Il va falloir que tu apprennes à maitriser ses pouvoir. Tu n’as pas le choix ! Sinon tu seras un danger pour tout le monde. Ton pouvoir deviendra incontrôlable et sera bien plus dangereux que mon frère Vladimir.

Céléna : - Vous êtes en train de me dire que je n’ai pas le choix !

Midonna : - Pour ce qui est d’apprendre à contrôler tes pouvoir, non tu n’as pas le choix.

Alexander : - Pour le reste non plus !

Cloud et Midonna : - Alexander ! Pas maintenant !

Céléna : - Pour le reste ?

Alexander : - Ecoute moi attentivement Céléna ! Mon frère est pour le moment impossible à battre. Vladimir, tout comme moi, est immortel. Mais il y a une différence notable entre lui est moi. Moi, je peux mourir sous les coups d’un combat. Malheureusement, ce n’est pas le cas pour mon frère. Il s’est associé, dans mon monde d’origine, à un mage des plus puissant, le mage TRAPUNIAGE. Je l’ai combattu il y a environ quatre cent ans. Celui-ci m’a révélé avant de mourir avoir accomplie le rituel « sempiternel résistant » sur mon frère. Un cristal s’est alors créé pour y enfermer le côté mortel de celui-ci. Ce qui fait que mon frère ne peut être battu en l’état actuel des choses. Cependant, se sort peut-être brisée. Il suffit de réintégrer se fameux cristal dans le corps de mon frère. Mais comme j’ai essayé de le récupérer il y a 260 ans, Vladimir est devenu plus prudent. Il a brisé le cristal en six morceaux qu’il a confié à six gardiens qui se cache tous dans des lieux inconnus. Pour plus de prudence, un sort a été jeté sur ses lieux empêchant quiconque non autorisé à passer. Mais se sorts que l’on appelle « bouclier ultime » à un point faible, les esprits invoqués par les âmes brisées. En effet, certains sorts ne peuvent être brisée que par ses fameux esprits. Bien sûr, les lieux où se trouvent ses cristaux sont extrêmement bien garder. Comprends-tu maintenant nous avons besoin de toi, de ton pouvoir.

Céléna : - Sans moi, vous ne pouvez pas rassembler les cristaux et vous ne pouvez pas vaincre se tirant !

Cloud : - Oui, tu as très bien compris !

Céléna : - Et si je n’arrive pas à les invoquer ses fameux esprits, je serais plus une charge qu’autre chose pour vous !

Cloud : - C’est pour cela que l’on va t’entrainer !

Céléna : - D’accord, admettons, Vladimir est battu, que se passera-t-il après ?

Midonna : - L’espèce humaine retrouvera sa liberté ! Tu ne voudrais pas ça pour les tiens ? De plus, si tu combats à nos coté, tu pourras essayer d’empêcher de nouveau massacre. Comme ce qui s’est passé dans ta ville !

Céléna : - Comme je n’ai pas le choix, j’accepte de vous aider. Mais je ne vous fais pas confiance pour autant.

Cloud : - Très bon choix ! Crois-moi, tu ne le regretteras pas !

Midonna : - Tu peux nous faire confiance. Même si ce n’est pas comparable, on comprend ta souffrance.

Alexander sortant de la chambre : - Je ne te demande pas de tout façon ta confiance ! Je te demande d’obéir afin de ne mettre personne en danger. Ton entrainement commencera demain à l’aube !

Midonna : - Ne t’inquiète pas, il est toujours comme ça ! Aller, viens avec nous, on va te faire visiter le château car il existe bien d’autre pièce en plus de ta chambre.

Céléna : - C’est vrai que depuis que je suis ici, je ne suis jamais sortie de cette pièce !

Cloud : - C’est sûr, madame dort trop pour pouvoir sortir de sa chambre !

Midonna : - Cloud ! Elle était blessée autant physique que psychiquement ! Comment voulais-tu qu’elle sorte de sa chambre !

Cloud : - C’est bon ! Ne t’énerve pas ! J’ai dit ça pour rigoler, pour la faire sourire ! Tu n’as vraiment aucun humour !

Midonna : - C’est plutôt toi qui a un humour douteux !

Cloud : - C’est bon, je m’excuse ! Bon, on la lui fait cette visite ?

Midonna : - Oui, on l’a fait ! Si tu savais Céléna à quel point il me fatigue !

Cloud : - Peut-être, mais sans moi tu t’ennuierais !

 

         Midonna soupira. Elle entraina, avec Cloud, Céléna en dehors de sa chambre afin de lui faire visiter le château. Il y avait beaucoup de chambre avec beaucoup de décoration différente. Midonna expliqua qu’il y avait beaucoup de personne qui travaillait dans le château d’Alexander et que chacun d’entre eux avait son propre style de décoration. Ils emmenaient Céléna dans une pièce immense de forme arrondie rempli de livre en tout genre. Cela faisait comme d’immense couloire avec des livres soigneusement ranger, par ordre alphabétique des noms des auteurs, du sol au plafond. On pouvait voir dans chaque couloir de quel genre était les livres, comme les différents romans classés eux aussi suivant leur style (aventure, science-fiction, fantastique, réaliste, historique, …), les livres biographiques, les livres d’histoire, les comtes, les livres érotique, livres de cuisine, livres de bricolage, livre de magie, livre de géographie, et bien d’autre encore. Tous ses couloires formaient au centre de la pièce un grand cercle avec des tables et des chaises en bois ainsi que des fauteuils confortables de couleur rouge donnant la possibilité à chacun de consulter tranquillement leur livre. Du plafond pendait d’immense lustre magnifique en cristal pour bien éclairer la pièce. Au fond de cette pièce se trouver d’immense fenêtre permettant également à la lumière de pénétrer dans celle-ci. Ses fenêtres était bordée par de long et d’épais rideaux de couleur rouge. Céléna jeta un coup d’œil par la fenêtre et vit un grand jardin très soigné avec de jolie chemin brodé de rose de toute les couleurs, avec une pelouse remplie de fleurs en tout genre, quelques grands arbres avec en dessous d’eux des bancs pour s’assoir, une magnifique fontaine représentant les fonds marins avec des sirènes, des dauphins, des poisons en tout genre et des algues donnant l’illusion d’être sous l’eau. De cette fontaine s’écoulait une jolie source d’eau formant une petite rivière semblant faire le tour du jardin avant de revenir vers cette fontaine. Céléna fut surprise en constatant que le jardin s’arrêter d’un coup comme si la falaise plonger à pic tout d’un coup.

 

Céléna : - Le château se trouve sur une montagne ?

Cloud : - Une montagne ? Non pourquoi ?

Céléna : - Je demande ça à cause de la façon si brusque dont s’arrête le jardin.

Cloud : - Oh, je voie ! Non rien avoir !

Céléna : - Alors c’est dû à quoi ?

Midonna : - Tu le verras quand on te ferra visiter le jardin. Tu auras toutes l’explication.

 

         Sur cette interrogation, Céléna accompagner de Midonna et de Cloud continuaient la visite. Ils arrivèrent au niveau de la salle à manger. Celle-ci était très grande, de forme rectangulaire. Il y avait au niveau des mures quatre meubles immense remplie de vaisselle de part et d’autre de la pièce. Il y avait aussi dans cette pièce, d’immense tableau représentant des personnes que Céléna ne connaissait pas ou des scènes de la vie quotidienne. Au centre de la pièce se trouvait une très grande table en bois précieux mais d’une couleur bleu océan, une couleur de bois qui n’existe pas ici. Midonna expliqua que ce bois venait de leur monde. Un chemin de table de couleur rouge traversait cette table. Deux grands chandeliers avec des bougies allumé trôné sur cette table. Les chaises étaient grandes en bois de chaine avec un dossier et une assise recouvert d’un tissu de couleur rouge avec des motifs en forme d’étoile de couleur dorée. Au plafond, se trouvait d’étrange sphère lumineuse éclairé la pièce. Midonna et Cloud expliquèrent à Céléna que c’est les fées vivant dans ce château qui créé ses boules de lumière. Céléna regarda avec émerveillement cette magie qu’elle ne connaissait pas.

La visite continua avec celle des cuisines. Celle-ci était très grande avec beaucoup de plan de travail, des instruments pour cuisiner qui pendait de partout, des fours, une grande cheminé, des frigos avec marquait sur chacun d’entre eux les aliments conservé pour chaque espèce. Il y en avait pour les fées, les démons, les trolls, les elfes, les centaures, les vampires, les squelettes, les momies, et d’autres créatures étranges.

 

Céléna : - Pourquoi toutes les espèces sont inscrites sur les différents frigos ?

Cloud : - Comme tu as pu le voir dans le château, nous sommes beaucoup d’espèce à cohabiter ensemble. Nous avons tous un régime alimentaire différent.

Céléna : - Tout le monde ne peut pas manger la même chose ?

Midonna : - Non, c’est impossible ! Certaine espèce peuvent manger comme toi, mais d’autre ont un régime alimentaire bien particulier. Si on ne leur donne pas ce dont ils ont besoins, ils pourraient mourir. En règle générale, chaque espèce s’occupent de sa propre alimentation.

Céléna : - Je ne pensais pas qu’autant de monde pouvait travailler dans ce château !

Cloud : - Oui, chacun a des taches bien précise lier au château ou lier à Vladimir. Toutes ses créatures qui travail pour Alexander ont le même but concernant Vladimir. Ils ont tous énormément souffert à cause de lui.

Céléna : - Je voie !

Midonna : - Allé, on continue la visite.

 

         La visite continua dans une aile du château exclusivement consacré à l’entrainement. Il y avait une salle immense remplie d’arme en tout genre tel que des arcs, des armes de jets, des armes à feu, des armes magiques, des épées, des haches, des dagues, des lances, des serpes, des sabres, des poings américains, et bien d’autres encore. Il y avait une salle remplie de machine pour se musclé. Il y en avait une autre ou le but était très clairement le travail de l’équilibre. Une autre ou l’entrainement était consacré à la précision pour les armes à distance. Une autre ou le but était de travailler tout ce qui était duel, corps à corps. Bref, il y avait beaucoup de salle pour l’entrainement.

 

Cloud : - C’est une aile du château que tu risques de revoir souvent dans les prochains jours !

Midonna : - Tu peux même dire les prochains mois !

Céléna : - C’est ici que vous allez m’entrainer si je comprends bien.

Cloud et Midonna : - Oui !

 

         La visite se poursuivie. Midonna et Cloud montrèrent tous les recoins du château à Céléna. Tous sauf certaines chambres ainsi que l’aile du château ou vivait Alexander qui était interdit à tout le monde sauf au personne les plus proche du vampire. Céléna put donc découvrir les différents petits salons, ainsi que des salles dites musé avec les collections et les lubies de chacun, la salle de vidéo, les salles dédier au jeu collectif et individuel. La visite se termina par la découverte du jardin. Céléna se trouvait sous le charme de cet endroit qu’elle avait découvert depuis la fenêtre de la bibliothèque. Ce lieu était vraiment reposant, magnifique et remplie de couleur par les différentes fleurs.

 

Céléna : - C’est vraiment magnifique ici !

Midonna : - Oui, c’est vrai que c’est un lieu assez reposant !

Céléna : - Par contre, il ne fait pas chaut ici !

Cloud : - Ça, c’est dû au fait que l’on est en altitude !

Céléna : - En altitude ? Mais vous m’avez bien dit que nous n’étions pas sur une montagne non ? J’ai mal compris ?

Midonna : - Tu sais, il n’y a pas que sur des montagnes que l’on peut être en altitude !

Céléna : - Hein ? Comment alors ? Je ne comprends pas !

Cloud : - Viens avec nous on va te montrer et t’expliquer.

 

         Cloud et Midonna emmenèrent Céléna au bord du précipice afin de lui faire comprendre. Céléna se figea en constatant que le château était sur une sorte d’ile flottante et que celui-ci n’était pas statique.

 

Céléna : - C’est impossible ! Comment quelque chose d’aussi monumental et lourd peut-il flotter ?

Cloud : - Dans notre monde, le monde d’où nous venons, il existe une roche spécifique qui a la capacité de flotter dans les aires. Cette roche s’appelle la Magnévole. L’ile sur laquelle on est ainsi que les pierres de ce château en sont composées. La Magnévole permet à cette grande d’ile de flotter haut dans le ciel.

Céléna : - Je vois. De ce que je peux voir, on se déplace aussi. Comment est-ce possible ? C’est dû au vent ?

Midonna : - Viens par ici ! Je vais te montrer. Regarde en bas.

Céléna se figeant : - Mais… C’est… des dragons ! Quatre dragons !

 

         En effet, quatre immenses dragons portant chacun un harnais attaché par une grosse chaine de métal relier à l’ile volaient dans le ciel. Il se ressemblaient tous physiquement. Ils étaient immenses au niveau de leur taille. Ils avaient de très grande et majestueuse aile dans le dos. Leurs peaux étaient faites d’écaille. Leurs pattes étaient munies de très grande griffe tranchante. Ils avaient sur leur tête deux petite corne. Oui, physiquement ils se ressemblaient. Mais leurs couleurs, elles, étaient différente. L’un d’entre eux était d’un noir profond, tel que l’ébène, les yeux rouges comme le rubis. Un autre était blanc comme la neige avec des yeux bleu océan. Le troisième était rouge tel des flammes, les yeux noirs comme le charbon. Et le dernier dragon, lui, était vert comme l’émeraude aux yeux de couleur caramel.

Céléna avait du mal à reprendre ses esprits. C’était pour elle la première fois qu’elle voyait d’aussi près de telle créature en vrai. Avant qu’elle ne se retrouve dans ce château, elle n’en avait vu que dans des livres. En même temps, depuis qu’elle était ici, elle rencontrait beaucoup de créature qu’elle n’avait jamais croisé auparavant.

 

Cloud : - Je te présente Vulcania, Ténébris, Emerodia et Blanchia. Ce sont ses dragons qui nous emmène dans les lieux que nous désirons !

Céléna se remettant de ses émotions : - En permanence ?

Midonna : - Non seulement le jour ! Pendant environs sept heure. Après nous avons une machine qui nous permet de nous déplacer la nuit qui avance grâce à l’énergie solaire et la force du vent. Il faut bien que ses braves dragons se nourrisse et se repose !

Cloud : - Ils sont beau ! Tu ne trouves pas ?

Céléna : - C’est la première fois que j’en voie d’aussi près et j’avoue que ça me fiche la trouille !

Midonna : - Quand tu les connaitras mieux, tu pourras que les aimer !

Céléna : - Je n’en doute pas ! Eu juste pour savoir, un château qui vole, ce n’est pas très discret ! Vous ne vous êtes jamais fait repéré par Vladimir ou un de ses sbires ?

Cloud : - Excellente question ! Non jamais !

Céléna : - Comment ça se fait !

Cloud : - On a un système qui marche grâce au pouvoir des fées qui permet à l’ile volante ainsi qu’au château d’être invisible et de ne créer aucune ombre !

Céléna : - C’est possible !

Midonna : - Oui, il y a un système qui les aident en amplifiant leur pouvoir. Les fées se relève en permanence pour que le château puisse rester invisible.

Cloud : - Pour te dire la vérité, on ne t’a pas montré toute la partie machinerie du château. Tu n’iras jamais de ce côté-là ! De plus, ce qui travaille dans ce secteur n’aime pas trop qu’on vienne les voir. Et pour finir, on n’aurait pas pu répondre à tes questions parce qu’on n’y comprend rien du tout !

Céléna : - Je vois !

Midonna : - La visite du château nous a pris beaucoup de temps. Il est l’heure de diner ! Il faudra se coucher tôt ce soir car une dure journée t’attend demain.

Céléna : - D’accord.

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