Protectrice de la terre (Introduction)
Bonjour, afin que vous ne vous perdiez pas lors de cette histoire, je vais vous mettre un code couleur pour les différents personnages sur leur pensée et leur dialogue ! Je vous souhaite une bonne lecture en espérant que ça vous plaise !
Code couleur :
Conteur et personnage non important : conte l’histoire et dialogue à Noir
Margot : Penser et dialogue à Rouge
Grégory : Penser et dialogue à Bleu
Président : Penser et dialogue à Marron
Jean-Paul : Penser et dialogue à Vert
Le monde : penser et dialogue à Orange
La terre existe depuis un nombre inexorable d’années. Elle y a vu défiler un nombre incalculable d’espèce végétale, animales, des insectes. Il y a eu des périodes de grande extinction, c’est vrai. Pourtant, jamais celle-ci n’avait encore était causé par une espèce en particulier. L’espèce humaine a en quelque dizaine d’année transformé radicalement la nature. Ils ont par leurs actions détruit un nombre impressionnant d’environnement et tout cela pour quoi, pour du profit personnel ou notre pauvre petit confort. Combien d’espèce ont disparu par notre faute. Tous ses malheurs, toutes ses souffrances, je les ressens tellement fort dans ma chair. Ça fait mal et c’est insupportable de voir cela sans rien pouvoir y faire. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que ce monde m’appelle au secourt, que ce monde demande mon aide. Oui, je sais, c’est quelque chose d’étrange, mais j’ai la vague impression que quelque chose s’éveille en moi. À chaque fois que je parle de ça à mon meilleur amis Grégory, il rigole gentiment me rappelant que je ne suis pas une héroïne avec de fort pouvoir, mais que je suis juste moi, Margot, une jeune fille dont tout le monde se fou royalement de ce qu’elle pense. Seulement, si personne ne fait rien, qui changera les choses pour que ce monde ne meure pas ? Nous ne sommes que des parasites, un cancer que nous devons éradiquer de cette terre qui souffre. Pourquoi personne ne ressent ça hormis moi ? La petite inconnue que je suis, regarde ce monde mourir l’arme à l’œil, impuissante devant cette douloureuse blessure. Je ne suis pas dupe, rien ne changera jamais. Je reste alors là, à souffrir, face à ce monde qui meure dans l’indifférence générale.