Protectrice de la terre (partie 5)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

Bonjour, afin que vous ne vous perdiez pas lors de cette histoire, je vais vous mettre un code couleur pour les différents personnages sur leur pensée et leur dialogue ! Je vous souhaite une bonne lecture en espérant que ça vous plaise !

Code couleur :

Conteur et personnage non important : conte l’histoire et dialogue à Noir

Margot : Penser et dialogue à Rouge

Grégory : Penser et dialogue à Bleu

Président : Penser et dialogue à Marron

Jean-Paul : Penser et dialogue à Vert

Le monde : penser et dialogue à Orange

Pixabay

Pixabay

Partie 5 : La guerre
Protectrice de la terre (partie 5)

Le pauvre garçon avait une moue bien triste. Je l’avais pourtant prévenue que son amie ne serait plus la même. Je voyais bien le désarroi dans son regard. Moi, j’étais fasciné par l’être que nous avions devant nous. Je ne pense pas que l’on pouvait encore considérer cette jeune femme comme une humaine. Là, elle faisait plus déesse. Elle était vraiment magnifique. J’avais enfin accompli mon rêve, me retrouver au prés de la protectrice de la terre !

Grégory : - S’il te plait, arrête cette folie ! Ça va mal finir !

Margot : - Laisse-moi faire mon travail ! Si tu n’es pas ici pour m’aider, cela veut dire que tu es un ennemie !

Grégory : - Non ! Je suis ton ami ! Je veux, moi aussi, protéger ce monde ! C’est juste que je ne pense pas que ta méthode soit la meilleur ! Fait en sorte que l’on t’écoute !

Margot : - Plein de monde ont essayé d’ouvrir les yeux des aveugles ! Cela n’a pas marché ! Finit la méthode douce ! On fait comprendre d’une autre façon ! Maintenant, on arrête le blablas et observe !

J’aimais énormément mon ami, mais il ne semblait pas comprendre. Je sais que d’un regard extérieur cela peut paraitre cruelle, mais je sens la douleur de ce monde. Il faut que j’apaise la douleur de celle-ci. Même si pour cela l’espèce humaine doit disparaitre. J’utilise mes pouvoir afin d’attacher mon ami et le vieille homme afin que personne ne m’arrête dans mon travail. J’ai décidé de les bâillonner afin de pouvoir rester concentrer.

J’utilisa mon pourvoir en décidant de déchainer les élément sur un continent, de réveiller un bon nombre de volcan en même temps dont un super volcan, celui du Yellowstone. Je voyais déjà mon travail à ce niveau là en voyant le ciel s’obscurcir de plus en plus. Je décidai de faire des tremblements terre à différent endroits de la planète. Beaucoup de gens mourraient. Il faut qu’ils comprennent la colère de la terre. Alors que je continuais mes taches, j’entendis un bon nombre de machine venir vers moi. Le président est là, je le sens ! Il aurait dû m’écouter.

J’arrive à l’endroit ou se cache se monstre. Je dois protéger ce monde de ce fléau. Il faut la détruire afin que ce massacre cesse. Des millions de gens sont en panique ! Il faut les calmer en anéantissant se danger ! Avec l’armée de différents état, on devrait pouvoir arriver à notre fin ! Avec les autres dirigeant des autres pays, on donne l’assaut sur se monstre. C’est ta fin, erreur de la nature !

Des tires sont en train d’arriver sur moi. Ne voulant pas que mon ami assiste à cette guerre, je l’ai téléporté, lui et le vieux monsieur, chez lui.

Je n’ai pas compris ce qui s’est passé. Elle à claqué des doigts et me voilà chez moi avec Jean-Paul ! Nous sommes en milieu d’après-midi, pourtant, il fait noir dehors. Cela et surement du au différent volcans. Il n’aura fallu que quelque jours pour en arriver là !

Je suis trop dégouté ! Ça ne m’aurait pas dérangé de mourir sous les bombes ! Après tout, je suis vieux. Ma vie est derrière moi ! Mais malgré qu’elle soit la protectrice de la terre, elle a quand même protégé son ami. C’est l’horreur dehors ! Des gros grêlons de la taille de balle de tennis tombent à flots. Les cris sont les nouveaux son qui domine à présent.

Les avions sont au-dessus du monstre et largue des centaines de bombes. Il y a aussi au sol les tank et autres engins terrestre lourd prés à tirer sur elle sans compter sur les soldats et tireur d’élites qu’il y à tout autour d’elle. Elle ne va pas s’en sortir ! C’est juste impossible ! Elle va mourir ici et maintenant !

Ses parasite font souffrir ce monde ! C’est de mon devoir de les protéger ! Ils me font bien rire ! Ils veulent protéger ce monde en le détruisant plus ! Ma colère est sans limite ! Ils vont me le payer !

La protectrice de la terre renvoya sans difficulté tous ses engins destructeur vers ceux qui venait de les envoyer. Elle utilisa par la suite son pouvoir pour se téléporter ailleurs. Quand au cataclysme à travers le monde, cela continuer de plus belle.

Le président : - Lâche ! Tu fuis !

Margot : - Je ne fuit pas ! Je vous prépare juste une surprise à vous et tout les dirigeant de tous les pays !

Le président : - Une surprise !?

Le président se retrouva tout d’un coup téléporté dans une forêt attaché solidement par des lianes. Il se retrouva en face de Margot. Il regarda tout autour de lui en entendant un gros brouhaha et se figea en voyant tout les dirigeant de tout les pays du monde.

Le président paniqué : - Qu’est-ce que cela signifie ?

Margot : - Vous avez détruit la faune et la flore, exploité et détruit se monde qui vous a accueilli. C’est maintenant à leur tour de se venger !

Le président : - Comment ça ?

Margot : - Vous avez beaucoup de sang sur vos doigts tous autant que vous êtes pour seulement un peu de profit ! Ce n’est pas ça qui vous sauvera aujourd’hui ! Ce sont les animaux, les insectes, la végétation que vous avez détruit qui va prendre sa vengeance aujourd’hui ! C’est par eux que vous allez être jugé ! Adieu Monsieur le Président !

Le Président : - Attendez ! Attendez !

Les suppliques du président restèrent sans réponse. La faune et la flore tua sans pitié ceux qui ne les avait pas respectés. Les cris de souffrance se firent entendre pendant un bon moment à plusieurs kilomètre à la ronde. Plus aucun pays n’avait de dirigeant. Margot continua sa tache jusqu’à ce que le monde ne souffre plus.

Publié dans Longue histoires

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article