Meurtre à Noël (Partie 4)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

Meurtre à Noël (Partie 4)
Partie 4 : Qui était là ?
https://www.programme-television.org/news-tv/Alexandra-Ehle-France-3-Julie-Depardieu-J-avais-peur-de-ne-pas-etre-credible-en-medecin-legiste-4566065

https://www.programme-television.org/news-tv/Alexandra-Ehle-France-3-Julie-Depardieu-J-avais-peur-de-ne-pas-etre-credible-en-medecin-legiste-4566065

Après l’intervention de mon frère, on se dirigea tous vers la pièce ou avait eu lieu le meurtre pour avoir les constatations du légiste. Enfin, dans ce cas-là, c’étaient plutôt les constatations de la légiste.

Louane Charbon : - Monsieur le commissaire.

Commissaire Renaud Boulange : - Bonsoir Louane.

Liliane : - Oh là là ! On appel la légiste par son prénom !

Barnabé : - Il y a de l’amour dans l’aire !

Batiste : - Ça ne va pas non ! Vous n’êtes qu’une bande de gamin ! Je suis désolé commissaire.

Commissaire Renaud Boulange : - Ce n’est rien. Je commence à avoir l’habitude maintenant. Pour les deux curieux, Louane Charbon est ma cousine par alliance du côté de ma mère ! Elle est de la famille.

Liliane : - Oh ! Dommage !

Barnabé : - On ne pourra pas vous taquiner avec ça commissaire.

Louane Charbon : - C’est bon, je peux faire mes constatations ou pas ?

Commissaire Renaud Boulange : - Oui, désolé, vas-y !

Louane Charbon : - Eh bien, cette personne est morte à mon avis. Vous devriez enquêter commissaire !

Commissaire Renaud Boulange : - Oh non ! Tu ne vas pas t’y mettre ! Pitié !

Liliane et Barnabé : - Je l’adore !

Louane Charbon : - Ah ! Ah ! Ah ! Désolé ! C’était trop tentant ! Bon sérieusement. Cette jeune femme s’est fait transpercer à quatre reprise par un objet qu’il l’a transpercé de part en part.

Batiste : - Comme se tison par exemple ?

Louane Charbon : - Fort possible, oui. Se tison de fer pourrait fortement être l’arme du crime. Il va falloir que je le confirme. Elle n’est pas morte il y a longtemps.

Commissaire Renaud Boulange : - Apparemment vers vingt-trois heurs cinquante-cinq.

Louane Charbon : - Oui, ça correspondrait. Vu sa disposition, elle s’est fait attaquer par derrière. Elle n’a pas dû s’apercevoir de ce qui lui arrivé. Je pense que le premier coup à dû lui être fatale au vu de sa position et du fait qu’elle n’a pas de marque défensif sur les mains.

Batiste : - Elle serait morte au premier coup ?

Louane Charbon : - C’est ce que je pense, oui. Mais je n’en suis pas sûr. Il va falloir que je confirme ça à l’autopsie.

Commissaire Renaud Boulange : - Est-ce que ça veut dire que le tueur a pu s’acharné sur elle ?

Louane Charbon : - S’acharné, peut-être pas, mais fait en sorte d’être sûr qu’elle ne soit plus en vie, ça c’est certain !

Liliane : - Il y a un aspect personnel dans cette acte.

Louane Charbon : - Je pense oui. En tout cas, le tueur était déterminé !

Barnabé : - Il a fallu beaucoup de force pour la tuer ?

Louane Charbon : - L’arme peut pénétrer facilement le corps. Mais en regardant de près, j’ai l’impression qu’un coup à transpercé la colonne vertébrale, à confirmer.

Liliane : - Si cela se confirme, cela voudrait dire que c’est plutôt un homme le tueur.

Louane Charbon : - Oui, ou une femme avec beaucoup de force. En tout cas, quelqu’un ayant assez de force pour briser une colonne vertébrale.

Commissaire Renaud Boulange : - Je vois. Inspecteur Panapet, c’est quoi que vous vouliez me montrer.

L’inspecteur guida le commissaire vers la fenêtre et montra des traces sur le sol.

Batiste : - C’est de la boue !

Barnabé : - Une empreinte de pas ?

Commissaire Renaud Boulange : - Si c’est le cas, celle-ci a été effacé !

Liliane : - La boue doit venir de quelque part. Le tueur serait-il entré par la fenêtre ?

Batiste : - Si c’est le cas, ça peut être n’importe qui venant de l’extérieur puisque le portail est resté ouvert à cause de la fête.

Commissaire Renaud Boulange regardant par la fenêtre : - En tout cas, notre individu est bien passé par la fenêtre car il y a des trace dans la terre.

Liliane : - Oui, mais je ne suis pas sûr qu’elles seront exploitables ! Elles ne sont pas complètes !

Louane Charbon : - Ce n’est pas grave ! Avec les plantes et en analysant la terre, je pense qu’il sera possible de trouver le coupable si on trouve des traces de boue sur des chaussures.

Batiste : - Vous en êtes sûr ?

Louane Charbon : - Oui, cette arbre Eucalyptus arc-en-ciel n’est pas courant ici. Si je retrouve des traces avec le même type de boue cela voudra dire que l’individu est passé par le jardin dans la boue et non pas par les chemins fait pour. Cela dit, cela ne voudra pas forcément dire que c’est cette individu le coupable.

Commissaire Renaud Boulange : - Tu ne peux rien nous dire d’autre ?

Louane Charbon : - Sans plus d’analyse, non.

Commissaire Renaud Boulange : - Bon, on a encore du travail à faire. Recueillons le plus d’indice possible. On interrogera les proches de la victime demain. Je ne veux que personne n’est accès à cette pièce tant qu’on n’a pas fini. Je veux aussi une surveillance sur la personne de Monsieur Rose Saint Pierre. On ne sait jamais. On a déjà fort affaire avec un cadavre, je n’en voudrais pas un autre.

Les agents continuèrent de relever tous les indices. Quant au corps, les constatation du légiste faite et les photos prises, celui-ci fut emporté vers la morgue. Tous les invités étaient rentrés chez eux après les avoirs questionné sur la soirée. Le commissaire alla voir Roger Rose Saint Pierre avant de partir.

Commissaire Renaud Boulange : - Monsieur Rose Saint Pierre, vous avez l’intention de rester ici avec votre épouse pour la nuit ?

Roger Rose Saint Pierre : - Bien évidemment ! Ou voulez-vous que j’aille ? C’est chez moi ici !

Commissaire Renaud Boulange : - Bien, alors je vous informe que la partie de votre demeure ou a eu lieu le meurtre vous est interdit d’accès jusqu’à nouvelle ordre.

Roger Rose Saint Pierre : - Cela va durer longtemps ?

Commissaire Renaud Boulange : - Je pense que ce sera bon demain dans l’après-midi. Le temps que nos équipe prennent bien tous les indices.

Roger Rose Saint Pierre : - Je vois. Et pour ma fille, quand pourrais-je récupérer le corps pour le mettre auprès de sa défunte mère ?

Commissaire Renaud Boulange : - Je ne sais pas. Cela mettra plus de temps. Désolé.

Roger Rose Saint Pierre : - Commissaire ! Trouvez le salaud qui a fait ça à ma fille ! Je n’aurais de repos en sachant ce monstre en liberté !

Commissaire Renaud Boulange : - Ne vous en faites pas. C’est mon travail. Je n’aurais de repos, moi non plus, temps que je n’aurais pas fait toute la lumière sur cette histoire.

Ce fut la fin de cette soirée sur notre enquête. J’avais hâte de continuer celle-ci. Même si je savais que je serais sous la surveillance de Renaud. Eu, je veux dire du commissaire. Avant que l’on rentre chez nous, on s’était mis d’accord afin qu’il n’y ait pas de problème. J’irais avec le commissaire poser des questions tandis que mon frère Barnabé, lui, faisait équipe avec notre inspecteur de grand frère Batiste. Demain, une nouvelle journée commencer.

Publié dans Longue histoires

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article