Meurtre à Noël (Partie 8)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

Meurtre à Noël (Partie 8)
Partie 8 : Les indices retrouvés
https://pixabay.com/fr/vectors/d%C3%A9tective-indices-trouver-doigt-152085/

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Aujourd’hui, on s'est retrouvé à la morgue pour avoir de meilleurs constatation du légiste. Quelques jours étaient passé depuis la découverte du corps de la victime. La légiste avait bien avancé et pouvait nous donner quelques informations supplémentaire sur la victime.

Louane Charbon : - Bonjour commissaire, inspecteur et les détectives.

Commissaire Renaud Boulange : - Bonjour Louane. Est-ce que le corps t’a parlé ?

Louane Charbon : - Oui, quelque peu. Inutile de vous donner l’heure de la mort précise, vous la connaissez déjà.

Liliane : - Elle est bien morte à vingt-trois heures cinquante-cinq ce jour-là !

Louane Charbon : - Oui, la mort à était rapide. Le premier coup lui à bien sectionné une artère. Elle est morte en moins de dix seconde. Je peux vous faire une autre affirmation. Un des coups lui à bien sectionné la colonne vertébrale.

Batiste : - Il a dû falloir beaucoup de force alors !

Louane Charbon : - Beaucoup de force et de rage. J’ai trouvé de la salive sur ses lèvres. Je dirais quel a embrassé quelqu’un avant de mettre sa barbe de père-noël.

Barnabé : - Qui aurait-elle pu embrasser ? Son fiancé n’était pas avec elle lors de la fête !

Louane Charbon : - Je ne sais pas. En revanche, je peux vous affirmer que la personne qu’elle a embrassée était une femme.

Commissaire Renaud Boulange : - Une femme !? Tu en es sûr ?

Louane Charbon : - Oui, j’en suis certaine ! L’ADN ne ment pas !

Liliane : - Elle aimait les filles ou les hommes, ou peut-être les deux ? Ou, une femme l’aimait et l’aurait embrassé par surprise ? Hum… Intéressant cette indice.

Louane Charbon : - J’ai aussi trouvé sur le corps des marques de coups donné post mortem. Ou plutôt, un coup de pied, surement, rageur dans les côtes. Plusieurs se sont brisée par la force de se coup.

Batiste : - Quelqu’un en voulait vraiment à la victime ou alors à Monsieur Rose Saint Pierre !

Louane Charbon : - Une dernière chose trouvé sur le corps, des bleus au niveau des bras.

Barnabé : - On l’a frappé ?

Louane Charbon : - Non, je dirais plutôt que l’on a fermement tenu la victime au niveau des bras. Au vu des marques laissé, je pencherais plutôt pour des mains d’homme.

Commissaire Renaud Boulange : - Je vois. L’arme du crime a donné quelque chose ?

Louane Charbon : - Pas vraiment. Je pense que le coupable avait des gants car je n’ai trouvé aucune empreinte dessus.

Liliane : - Aucune, aucune ?

Louane Charbon : - Non, rien.

Liliane : - Étrange.

Louane Charbon : - En quoi est-ce étrange ?

Liliane : - Il fait froid en ce moment et je me souviens avoir vu un feu dans la cheminé. Il devrait y avoir les empreintes de la personne qui s’occupe du feu minimum.

Commissaire Renaud Boulange : - Quelqu’un a effacé les empreintes sur l’arme !

Liliane : - Surement, oui !

Barnabé : - Mais comment est-ce possible ? Entre le temps ou la victime et tombé sur le sol et le temps ou les personnes sont entré dans la pièce, il a dû se passer à peine quelque seconde !

Batiste : - C’est vrai ça ! Hum… Serait-il possible que le tueur ait retenu la victime pour la chut ?

Louane Charbon : - Je ne pense pas non. Ça me semble difficile de faire les deux en même temps. Donner les coups et tenir la victime debout. Mais maintenant que j’y pense, je trouvais les traces de sang trouvé sur la scène de crime étrange.

Commissaire Renaud Boulange : - Étrange ? Comment cela étrange ?

Louane Charbon : - Je n’ai pas trouvé beaucoup de sang là ou aurait dû tomber le cadavre avant d’emporter ce qu’il y avait sur la table. Mais en regardant de nouveau les photos… Oui ! C’est ça !

Barnabé : - Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

Louane Charbon : - Ses traces sur la table, c’est l’arme du crime qui a fait ça. Je pense que ses trainé de sang son dû au meurtrier. Il a dû poser son arme sur la table pour se remettre de ce qu’il venait de faire et en partant, il a tout emporté avec son arme d’où le vacarme, ses traces de sang. La position du corps peut faire croire que c’est lui le responsable de la pagaille, mais en fait non.

Liliane : - D’accord, cela confirmerait que ce meurtre n’a rien de prémédité, mais fait sous le coup de la colère.

Louane Charbon : - Oui, en effet.

Commissaire Renaud Boulange : - Rien d’autre ?

Louane Charbon : - On a retrouvé des traces de pas près du muré. Il y en a deux différente. Une appartient à une femme et l’autre à un homme. Je peux dire pour les deux que les traces correspondent à des modèle de chaussure plus que courante ! Je me risque à dire que ses traces on était laissé par Mademoiselle Maurane De La Hautecour et pas Monsieur Patrick Déglant.

Batiste : - Pourquoi cela ?

Louane Charbon : - Disons que j’ai eu le temps d’analyser la terre que vous m’avez rapporté, et c’est mes résultat. Les traces retrouvé correspondes à du trente-sept pour l’un et du quarante-quatre pour l’autre.

Barnabé vérifiant dans ses notes : - Les pointures correspondent !

Commissaire Renaud Boulange : - Il va falloir réinterroger ses deux-là !

Louane Charbon : - Une dernière petite chose. J’ai fait des recherche sur les accident arrivé à Monsieur Rose Saint Pierre.

Batiste : - Et ?

Louane Charbon : - Et il y a des choses étranges. Dans l’entreprise, la corde qui retenait le matérielle tombé sur monsieur Rose Saint Pierre a été coupé de façon volontaire ! De plus, la voiture qui a essayé de le renverser était une voiture volé qui a été retrouvé quelque jour plus tard carbonisé dans une forêt. Quant au verglas qui a causé sa chute, la, on ne peut pas dire si c’était volontaire ou pas.

Batiste : - Mais, comment vous savez ça ?

Louane Charbon : - L’agent Bratrive a trouvé le rapport d’un détective dans la chambre de la victime. Il voulait vous l’emmener mais…

Batiste : - Mais sa femme accouché et il est partie en catastrophe.

Commissaire Renaud Boulange : - Donc quelqu’un en veut bien à la vie de Monsieur Rose Saint Pierre ! Il va falloir trouver se détective pour l’interroger ! Merci beaucoup Louane ! Ça va bien nous faire avancer !

Louane Charbon : - De rien ! Je ne fais que mon travail !

Publié dans Longue histoires

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