Âme brisée (chapitre 17)

Publié le par DEBOOSERE Isabelle

Tome 1 : Les cristaux
Âme brisée (chapitre 17)
CHAPITRE 17 : Désert empoisonné !
https://pixabay.com/fr/photos/juste-animation-march%C3%A9-l-ann%C3%A9e-1559223/

https://pixabay.com/fr/photos/juste-animation-march%C3%A9-l-ann%C3%A9e-1559223/

Cloud arriva au château pensif de ce que lui avait dit sa sœur. Il ne savait pas si Alexander était amoureux ou pas de Céléna. Il avait bien vu un rapprochement de celui-ci, mais doutait que ce soit de l’amour. En même temps, Alexander n’était pas du genre à montrer ses sentiments. Cloud secoua la tête pour enlever ses pensées qui le perturbé. Il verra bien dans le temps si un rapprochement significatif se passe entre ses deux-là.

Alors que tout le monde venait d’arriver au château, Coxin, un Bilialéons chargeait de trouver les cristaux arriva, lui aussi et se dirigea vers Alexander.

Coxin : - Maitre, j’ai trouvé la trace d’un cristal !

Alexander : - Vraiment !? Où est-il ?

Coxin : - Il se trouve dans la région désertique du Sahara. En pleine zone polluer.

Midonna : - Dans la zone interdite remplie de mutant à cause de cette pollution et potentiellement mortelle pour nous ?

Coxin : - Oui, c’est dans cette zone-là ! 

Cloud : - Ou, exactement, se trouverait ce cristal ?

Coxin sortit une carte numérique afin de désigner du doigt le lieu exact où se trouvait le fameux cristal.

Céléna : - Ah oui ! C’est au cœur de la zone dangereuse ça ! Vladimir ne veut en rien nous faciliter la tâche !

Midonna : - On possède, heureusement, des masques enchanté nous permettant d’accéder à cette zone en limitant au maximum les risques.

Alexander : - Bien, merci pour ses informations. Tu peux disposer !

Coxin : - Bien maître.

Midonna : - Bon, ben, je vais préparer le matériel.

Cloud :  - Quel genre de préparation ?

Midonna : - Ses masques sont vieux. Ça fait longtemps que l’on n’a pas vérifier leur enchantement. Et puis un petit sortilège en plus pour les rendre plus solide ne fera pas de mal.

Céléna : - Tu veux que je vienne te donner un coup de main ?

Midonna : - Avec plaisir ! Ton aide ne sera pas de trop !

Les filles partirent pour vérifier les masques laissant seul Alexander et Cloud.

Cloud : - Bon, ben moi, je vais donner les instructions pour aller vers notre destination.

Alexander : - Cloud, attend ! J’aimerais te parler.

Cloud : - Me parler de quoi ?

Alexander : - Que t’a dit ta sœur ? Tu semblais soucieux en revenant au château.

Cloud : - Rien d’important !  D’après elle, tu serais un concurrent car tu serais amoureux de Céléna.

Alexander : - Quoi !? Ce n’est pas le cas ! Je suis ami avec Céléna. Rien de plus.

Cloud : - Ce n’est pas le problème. Que tu sois amoureux ou pas d’elle ne me regarde pas. Ce que j’aimerais savoir, c’est si j’ai un comportement ambigu avec Céléna pouvant faire croire que je suis amoureux d’elle.

Alexander : - C’est vrai que tu sembles très proche d’elle. En quoi est-ce important ?

Cloud : - Je ne suis pas amoureux de Céléna ! Je la voie plus comme une petite sœur que j’ai envie de protéger ou d’embêté suivant les moments. Je ne voudrais pas qu’elle se fasse de fausse idée à ce niveau-là, tu comprends.

Alexander : - Je ne pense pas que ça soit le cas. Mais si ça te perturbe à ce point-là, tu devrais alors lui parler et lui dire ce que tu ressens et que tu la vois comme une petite sœur.

Cloud : - Tu crois ?

Alexander : - Oui, j’en suis sûr. Tout comme je suis sûr qu’elle sera heureuse de savoir que tu la vois comme une sœur. Je ne peux pas parler en son nom, mais quelque chose me dit qu’elle te voit, elle aussi, un peu comme un grand frère.

Cloud : - Tu as raison. J’irais lui parler dès que possible. Merci pour tes conseils.

Alexander : - Je t’en prie.

Chacun parti de son côté pour donner les ordres et se préparer pour le prochain cristal. Le château, porté par les dragons, arriva en quelques heures au niveau de la zone dangereuse là ou se cacher l’objet de convoitise du groupe.

Alexander : - Le château ne peut pas aller plus loin. Cela serait beaucoup trop dangereux pour les dragons et tous les habitants du château.

Cloud : - D’accord, c’est partie pour l’enfer polluer !

Midonna : - Tout le monde à son masque sur le visage ! Alors en route !

Céléna : - On est loin de notre destination ?

Alexander : - Quelque heures de marche, je dirais. Pourquoi ?

Céléna : - Ben, extérieurement, cet endroit semble plutôt effrayant !

Cloud : - C’est vrai qu’on ne s’attend pas qu’un endroit sensé être couvert de sable soit en fait remplit de végétation. Ça commence d’un coup ! Je peux comprendre ton appréhension.

Midonna : - On a l’impression que les arbres vont nous sauter dessus ! Sans parler de ce brouillard verdâtre et toxique qu’il y a partout. 

Céléna : - Il a bien trouvé son endroit pour le cacher son cristal ! Mais bon, quand faut y aller, faut y aller ! Je suis quand même contente de ne pas y aller seule là-dedans.

Tout le groupe souris avant de commencer à s’enfoncer dans cette végétation étrange à l’atmosphère toxique. Céléna se souvenait d’une lecture qu’elle avait faite expliquant qu’il y a longtemps, ici, se dresser que des dunes de sable avec très peu d’être vivant y habitant par manque d’eau, par la chaleur écrasante le jour et le froid mordant la nuit. Mais un jour, l’homme eu le désire d’essayer un nouveau produit des plus dangereux de sa création dans ce désert pour ne blesser personne. Ses expériences ne durèrent qu’à peine quelques mois avant qu’un nuage toxique ne se forme et ne se répande sur des centaines de kilomètres carrés. Ce nuage ne faisait que croître. En effet, la région était étrangement propice à son développement. Ce nuage déversé de façon régulière une pluie des plus acide ayant la capacité de trouer pratiquement toute peau. Cette zone fut interdite rapidement à toute personne. Au fils des ans, de la végétation ayant muté et ne craignant pas l’acide se mit à pousser créant une forêt danse. Les animaux arrivèrent plus tard, lorsque les pluies fut beaucoup moins acide. Mais cet endroit était empreint de la patte de l’homme et de ses produits chimiques déversé en ce lieu.

Alexander : - Soyez prudent ! On peut se faire attaquer n’importe quand par des animaux mutant !

Céléna : - Je ne sais pas comment a fait la nature pour arriver à adapter les animaux et les plantes à cet endroit alors que nous, on mourrait en quelques heures sans nos masques !

Midonna : - De ce côté-là, la nature est bien faite ! On ne pourra jamais arriver à sa cheville.

Céléna : - La seule chose qu’on peut reprocher à la nature, c’est d’avoir maintenue celui qui a tant fait de dégât dans ce monde !

Cloud : - Oui, c’est sûr que les humains ne sont pas allés de main morte dans ce monde. Cependant, si ça peut te rassurer, dans notre monde, certaines espèces, on fait des choses aussi terrible que dans votre monde. La seule différence, c’est que notre monde est vingt fois plus grand que le vôtre. Du coup, les dégâts se voient moins.

Alexander : - À croire que l’intelligence monte à la tête au point de se croire tout permis et de faire n’importe quoi.

Midonna : - Autrement dit, l’intelligence rend con !

Alors qu’ils continuaient à s’enfoncer dans la végétation tout en discutant, un animal caché leur sauta dessus ne donnant pas la possibilité au groupe de réagir. C’est alors que surgit Yuma, l’esprit animal de Céléna, qui terrassa de son arc la bête sauvage.

Cloud : - Belle réaction ! On ne l’avait pas vu venir celui-là !

Céléna : - Merci Yuma, mais tu devrais rentrer. Cet endroit est dangereux !

Yuma : - Ne t’inquiète pas. Je ne crains pas cet endroit emplie de gaz toxique. J’ai une protection naturel.

Céléna : - D’accord, mais n’hésite pas à rentrer si ça ne va pas.

Yuma tapotant amicalement la tête de Céléna : - Ne t’inquiète pas pour moi !

Midonna : - C’est quoi cette bestiole ? On dirait un peu un lion.

Yuma : - C’est bien un lion ! Même si celui-là fait deux mètres au garrot, à deux queues et quatre oreilles.

Alexander : - C’est effrayant comme cet animal semble différent.

Yuma : - Oui, les êtres vivant semble être pris de gigantisme ici.

Midonna : - C’est vrai que les insectes croisé font la taille de ma main ou plus. Heureusement, aucun ne nous a attaquées !

Yuma : - Ils ont aussi des attributs en plus comme des yeux, pattes, oreilles, nez, bouche, …

Cloud : - Oui, on l’avait vu aussi. C’est vraiment effrayant ! On se croirait dans un cauchemar !

Yuma : - Mes sens sont affûté ! Je reste avec vous s’il y a une nouvelle attaque. Mais je conseille à tout le monde de bien rester sur ses gardes !

Alexander : - Tu as raison. On a été trop imprudent !

Le groupe reprit la route accompagné par Yuma. Ils s’aidaient d’une sorte de GPS pour se guider dans cette végétation danse et ne pas se perdre. Ils se firent attaquer sur la route par un serpent géant à deux têtes chez qui il avait poussé des pattes. Le groupe s’en débarrassa facilement étant plusieurs contre lui. Ils croisèrent aussi un éléphant à huit yeux avec des dents de carnivore et des griffes effilé comme des rasoirs. Sa taille, cependant, était restée la même. Ils se sont faits aussi attaqués par une nuée de moustiques gros comme une tête humaine. Plusieurs sort de feu fut nécessaire pour s’en débarrasser. Le groupe arriva auprès d’un lac.

Cloud : - Un lac !? Ici !? Ça me donne presque envie de me baigner avec cette chaleur !

Yuma : - À moins de vouloir fondre, je ne te le conseil pas ! Ceci n’est pas de l’eau, mais de l’acide sulfurique !

Cloud : - Ok, on va peut-être éviter alors !

Midonna : - Dommage, j’aurais bien voulu voir ce que ça donne un Cloud tout dissous !

Cloud : - C’est ça, rigole ! Fait attention à ce que je ne te jette pas dedans, sorcière !

Midonna : - Essaye toujours ! Tu finiras en premier dans ce bouillon !

Les deux individus commencèrent alors à se disputer au plus grand désespoir d’Alexander qui se mit à soupirer.

Alexander : - Ça faisait longtemps tiens !

Céléna : - C’est vrai que cela faisait un moment qu’il ne s’était pas disputé ses deux-là !

Alexander : - Franchement, ça ne m’avait pas manqué.

Céléna : - Ils sont comme ça ! Tu ne peux pas les changer.

Alexander : - C’est bien dommage !

Céléna : - Oh, je suis sûr que ça te manquerait !

Alexander : - Pas sûr !

Alexander donna une claque sur la tête de Midonna et sur celle de Cloud afin qu’ils arrêtent leur dispute. Puis, tous se remirent en route pour trouver le cristal. Après quelques kilomètres et quelques attaques de bête mutante, tous arrivèrent à destination, devant le bouclier et le lieu qui dissimulé le cristal.

Yuma : - Je m’occupe du bouclier ! Veillez à ce qu’aucun animal ne nous attaque !

Yuma put en une dizaine de minutes détruire le bouclier sans qu’aucun animal sauvage ne vienne attaquer le groupe. Celui-ci s’avança dans la végétation jusqu’à atteindre une paroi rocheuse.

Cloud : - Bon… L’entrée doit sûrement se trouver quelque part. Mais avec toute cette végétation qui la recouvre, ça va être coton de la trouver.

Alexander : - Peut-être, mais on n’a pas le choix.

Midonna : - Devoir fouiller dans toute cette végétation me dégoûte d’avance ! Il doit y avoir plein de bestioles là-dedans ! Berck !

Céléna : - Ça va aller ! Ne t’inquiète pas. Ce n’est qu’un mauvais moment à passer !

Cloud agacé : - Oui, c’est ça, un mauvais moment ! On est tous dans la même galère ! Alors ne commence pas à jouer les délicates !

Midonna s’énervant : - Je te demande pardon ! Tu viens de dire quoi là ?

Cloud haussant le ton : - Tu as très bien entendu miss manucure !

Midonna en colère : - Je vais te tuer !

Alexander s’énervant : - Ça suffit vous deux ! Si vous n’arrêtez pas tout de suite, c’est moi qui vous tue !

Cloud et Midonna : - Désolé !

Alexander : - Cherchez l’entrée et faites-le en silence.

Après cette parenthèse agitée, tout le monde se mit à chercher un moyen d’accès dans ce lieu. Les recherches se fit dans le plus grand silence jusqu’à ce que celui-ci soit brisé par le cri strident de Midonna.

Céléna : - Midonna ! Ça va ?

Midonna : - Oh super ! Je suis tombé dans de la boue. C’est dégoutant !

Yuma : - Ou es-tu ? On ne te voit plus !

Midonna : - De l’autre côté de la végétation ! Je crois que j’ai trouvé l’entrée !

Alexander : - Parfait ! Montre-nous le chemin.

Midonna se releva en rouspétant de ne plus ressembler à rien à cause de cette boue collante et puante. Elle sortit une partie de son corps pour montrer aux autres ou elle se trouvait. Les autres la rejoignirent et purent voir l’intérieur de la grotte. Cloud se moqua gentiment du nouveau look de Midonna. Cela déplut fortement à l’intéressé qui poussa Cloud dans la boue.

Cloud en rage : - Je peux savoir pourquoi tu as fait ça !

Midonna moqueuse : - Tu semblais jaloux de mon nouveau look ! Je voulais juste le partager avec toi !

Alexander : - Rassurer moi, vous n’allez pas encore vous disputer ?

Céléna : - C’est vrai que ça commence à faire beaucoup là !

Yuma : - Il ne faut pas leur en vouloir. Je pense que le gaz joue sur leur humeur.

Céléna : - Comment est-ce possible ? On est protégé par les masques !

Yuma : - Le gaz peut passer par les pores de la peau. La quantité est très faible, donc pas mortelle. Mais je suppose suffisant pour agir sur leur humeur.

Céléna : - Je vois. Mais Alexander et moi ne semblons pas tellement touchés par ça !

Yuma : - Cela agit différemment pour chaque individu. De plus, toi et Alexander aviez moins de partie du corps découvert par rapport à Cloud et Midonna et du coup, moins de peau en contacte directe avec le gaz.

Alexander : - D’accord. Midonna, Cloud, enfilait quelque chose tout de suite !

Midonna : - Quoi !? Mais il fait chaud !

Cloud : - C’est vrai ! Tu abuses !

Alexander : - Faites ce que je vous dis tout de suite !

Midonna fit apparaître des vêtements légers, mais couvrants. Ils enfilèrent tous les deux ceux-ci suivant les ordres d’Alexander. Ce nouvel incident passé, le groupe avança dans la grotte. Ils ne mirent pas longtemps avant de tomber sur des ennemies.

Céléna : - Des zombies et des squelettes !?

Alexander : - Évidemment, il n’y a que ça qui puisse rester ici sans risque !

Midonna : - Ses créatures sont assez spéciale ! On ne peut pas les tuer par des attaques habituelles. Il faut une formule spécial pour les achever ! Le sort de vie qui tue les morts vivant.

Cloud : - Heureusement qu’on connaît tous cette formule !

Céléna : - Heu pas vraiment. Vous ne me l’avez pas appris celle-là !

Alexander : - Désolé, on a dû oublier de te l’apprendre.

Céléna moqueuse : - De tout évidence !

Yuma : - Je ne connais pas cette formule non plus !

Alexander : - Ça ne fait rien. On les achèvera pour vous. Rappel moi en rentrant de te l’apprendre !

Céléna : - D’accord !

Yuma : - Si ça ne dérange pas, je participerais aussi au court.

Alexander : - Aucun problème.

Tout le monde se mit à combattre les ennemis. Ceux qui connaissaient le sort pour les achever le faisaient. Il y avait des squelettes archet, des squelettes en armure de différentes solidité et avec des épées, des squelettes mage, des zombies avec ou sans armure qui récupéré n’importe quoi qui traîné comme armes. Les ennemis étaient nombreux mais pas trop difficiles à éliminer. Le groupe, une fois les ennemis terrassés, s’avança jusqu’à se retrouver face à une immense porte close.

Cloud : - Je crois que nous sommes en face d’une nouvelle énigme !

Céléna : - Elle est étrange cette porte. On dirait un puzzle le motif dessiné dessus !

Midonna : - Maintenant que tu le dis, c’est vrai.

Alexander : - Voyons si quelque chose bouge alors.

En posant les mains sur la porte, Alexander réussit à faire coulisser les pièces sur celle-ci. Ils se mirent tous à réfléchir afin de faire coulisser les pièces au bon endroit sans se bloquer. Cela était difficile, car il y avait beaucoup de pièces petites et aucun modèle à suivre pour savoir quoi reproduire. Ils mirent un certain moment pour réussir celui-ci.

Midonna : - Je déteste les puzzles ! Au moins, on est arrivé au bout !

Céléna : - Oui, la porte semble enfin s’ouvrir ! Quelque chose ne va pas, Alexander ?

Alexander : - Ce puzzle est un portrait de mon frère ! On sent qu’il est le maître incontestable dans les parages. Rien que de le voir me donne envie de l’exploser !

Cloud : - Calme ta rancœur ! Je sais, c’est sûrement tout sauf simple, mais ne t’abaisse pas à son niveau ! Tu vaux mieux que ça !

Alexander : - Tu as raison. Ce n’est qu’une image. M’énerver ne sert à rien. Je ne sais pas ce qui me prend. D’habitude, je garde bien mon calme !

Yuma : - C’est sûrement à cause du gaz qui doit agir sur les humeurs. Ça fait un bon moment que l’on est tous là-dedans, alors, même protéger, celui-ci nous affecte !

Céléna : - Ça pourrait aller jusqu’où cet effet ?

Yuma : - Nous entre-tuer, je suppose. Mais cela prend beaucoup de temps. C’est juste que là, on est moins patient que d’habitude. Si on devait rester ici plusieurs jours, là, je m’inquiéterais. Mais pour plus de sécurité, ne perdons pas plus de temps tout de même !

Midonna : - Alors dépêchons nous avant que je n’étripe monsieur renard !

Cloud : - Je pourrais dire la même chose d’une certaine sorcière !

Céléna : - Contrôlez-vous tous les deux !

Midonna et Cloud : - Désolé ! On se calme.

Le groupe franchir la porte et se retrouvèrent de nouveaux devant des zombis et des squelettes.

Cloud : - Faites attentions, je sens leur lame remplit de poison !

Céléna : - Ça n’est pas très rassurant.

Alexander prenant la main de Céléna dans la sienne : - Reste à bonne distance d’eux et tout ira bien !

Tous se mirent en position pour combattre les ennemis. Comme ceux-ci étaient lent, ils réussir à les vaincre sans qu’il n’y ait de blessure pour qui que ce soit.

Ils longèrent un couloir décoré des exploits passé de Vladimir avant d’arriver dans une nouvelle pièce. À peine furent-ils entrés dans celle-ci que toute les portes se refermèrent. Un grondement sourd se fit entendre avant qu’un liquide ne se mette à couler des murs.

Céléna : - Un piège ! On est tombé dans un piège ! Et ce liquide, je doute que ça soit de l’eau !

Yuma s’approchant de ce liquide : - En effet, ce n’est pas de l’eau, mais de l’acide ! Il va falloir vite résoudre cette énigme si on ne veut pas se retrouver dissous là-dedans ! 

Céléna : - Rentre pour ta sécurité ! Ne te mets pas en danger pour moi.

Yuma : - Non, je reste avec toi. Je veux vous aider. Ne t’inquiète pas pour moi !

Céléna : - D’accord, mais n’hésite pas à rentrer si le risque est trop élevé. Je ne veux pas te mettre en danger.

Midonna : - Il faut rapidement un moyen pour résoudre ce problème avant que ça fasse mal !

Cloud : - Il y a forcément un moyen, même si ce n’est pas visible à l’œil nue !

Alexander : - Il ne faut pas paniquer. Restez calme. Trouvons un moyen en évitant le plus possible de toucher l’acide.

Cloud : - Plus facile à dire qu’à faire ! Aaaaaaah !

Céléna : - Cloud !? Ça va ?

Cloud : - T’inquiète pas petite souris. J’ai butté sur une pierre un peu plus élevé que les autres. Je ne suis pas blessé. Je vais bien.

Céléna aida Cloud à se relever sous le regard de Midonna et d’Alexander. Celui-ci fut d’ailleurs intrigué par la pierre sur laquelle avait buter Cloud. Il l’examina de plus près avant d’appuyer dessus. Celle-ci s’enfonça dans le sol modifiant le débit de l’acide.

Céléna : - Ça coule moins des murs ! Ce sont ses pierres qui font ça ?

Alexander : - Apparemment. Il y a des marques très légères dessus indiquant si cela augmente ou pas le débit.

Céléna : - Comment tu sais ça ? Pour moi, ce sont des gribouillis !

Cloud : - Ce sont des signes démoniaques ! C’est normal que tu ne les comprennes pas.

Midonna : - Au moins, on a la clef de l’énigme.

Céléna : - Désolé, je ne vais pas pouvoir vous aider.

Midonna : - Pas si sûr. De ce que je vois, certaines pierres sont déjà sous l’acide. On va avoir besoin de tes protections magiques, car je ne suis pas sûr que nos gants ne tiennent le coup très longtemps.

Céléna : - D’accord ! Comptez sur moi !

Chacun chercher les pierres pour arrêter la coulée de cet acide. Céléna essayait de protéger ses amis lorsque la pierre en question était sous l’acide. Il y avait beaucoup de pierre à enclencher pour que l’écoulement ne s’arrête. Lorsque que Yuma appuya sur la dernière pierre, les portes s’ouvrit. Le groupe avait été assez rapide. Même si l’acide recouvré le sol, les bas de vêtement avait tenu le coup grâce au sort de protection qu’avait utilisé Céléna.

Alexander : - Bien, on peut continuer. Avançons !

Ils avancèrent vers un nouveau couloir rempli de zombis ou de squelettes. Mais ils y avaient dans ses couloirs d’autre piège du genre flèche empoisonner qui sortaient des murs, des pilier traversant le couloir près à écraser quiconque qui passait par là, ainsi qu’un effondrement du sol par endroit précipitant directement la personne se faisant avoir vers un empalement certain.

Ils arrivèrent dans une nouvelle salle qui semblait être un cul-de-sac. Il ne voyait pas où ils devaient aller. Lorsque Midonna observa une lumière tomber du ciel sur un miroir.

Midonna : - Qu’est-ce que c’est que ça ? Une nouvelle énigme ?

Yuma s’approchant du mur du fond afin de voir s’il n’y avait pas une issu : - Il y a une inscription sur ce mur. « Un passage s’ouvrira lorsque les rayons frapperont en son cœur le soleil ». Je suppose qu’il parle du dessin sur ce mur.

Céléna : - Je connais ce genre d’énigme. J’ai déjà lu ça dans un ouvrage. C’est un jeu de miroir. Il faut diriger se rayons qui frappe le sol vers le cœur du soleil sur le mur à l’aide des miroirs.

Cloud : - En gros, il faut placer ses miroirs qui sont sur des rails correctement pour résoudre l’énigme.

Céléna : - C’est ça oui. Peut-on changer comme on veut de position ses miroirs ?

Alexander vérifiant cela avec tout le monde : - Celui-là ne peut qu’être dirigé vers le haut ou le bas.

Yuma : - Celui-là, de droite à gauche !

Midonna : - Celui-là, dans toutes les directions.

Cloud : - Et, on ne peut en enlever aucun de leurs rails sur lesquelles ils sont fixés.

Céléna : - Bien, et ben, c’est partie.

Tout le monde s’afféra pour bouger les miroirs. Ils commencèrent par mettre le premier miroir au niveau du rayon lumineux afin de refléter le premier rayon. Ce miroir-là ne pouvait que bouger de haut en bas. Ils placèrent le miroir suivant au niveau ou aller le rayon. Ils firent ça au fur et à mesure jusqu’à ce que le rayon aille au cœur du soleil. Cela leur prit plus d’une heure avant d’arriver à atteindre leur but. Quand ils réussirent, une ouverture se fit au niveau du sol dévoilant un escalier s’enfonçant dans les profondeurs.

Cloud : - On a enfin réussi ! Ce n’était pas facile !

Midonna : - J’espère que l’on arrive enfin au bout ! Ça fait un moment que l’on est là-dedans !

Alexander : - Je sens que l’on s’approche du but ! Le cristal est proche !

Ils se mirent à descendre les escaliers. Ceux-ci s’enfonçaient très profondément sous la terre.

Céléna : - Cette escalier est interminable !

Cloud : - C’est sûr ! On va descendre encore combien de temps ?

Midonna : - On ne peut qu’avancer et voir ou cela mène !

Alexander : - Restons sur nos gardes. On peut tomber sur un piège à n’importe quel moment !

Yuma : - J’ai un mauvais pressentiment ! Je sens quelque chose de grand là-dessous ! De très grand !

Cloud : - Grand comment ?

Yuma : - Je ne serais pas dire. Plus grand que nous, c’est sûr !

Alexander : - On doit alors s’attendre à un zombi ou un squelette géant. En tous cas, cela ne serait pas étonnant !

Céléna : - Je crois que l’on va vite le savoir. On arrive au bout de cet escalier infinie !

Ils arrivèrent dans une immense pièce où l’on ne voyait pas les murs ni le plafond. Cette salle était sombre, très sombre. Personne ne voyait grand-chose et ne pouvait dire s’il voyait le cristal quelque part.

Céléna : - C’est quoi cet endroit ? C’est immense !

Yuma : - Des géants pourrait très bien se trouver ici. Mais c’est tellement sombre qu’on ne les verrait pas !

Cloud : - Restons sur nos gardes ! Je ne le sens pas cet endroit. Vraiment pas !

Alexander : - Midonna, éclaire-nous la pièce s’il te plaît.

Midonna : - Oui, tout de suite.

À peine Midonna fit un sort pour rendre le lieu plus lumineux que du mouvement se fit sentir. Une hache géante était en train de s’abattre sur le groupe.

Yuma : - Attention !

Le groupe eu à peine le temps d’esquiver celle-ci. À une seconde près, ils se faisaient tuer. Ils virent alors devant eu un zombi géant armé d’une hache râlé de frustration d’avoir raté son coup.

??? : - Je ne te félicite pas Ergelak, tu as raté ton coup !

Alexander : - Qui est là ?

Une ombre bougea à l’opposé du zombi laissant apparaître un squelette géant.

Squelette géant : - Alexander ! Le frère à abattre. Le maître pense que tu vas nous tuer. Fort possible. Mais si on arrive au moins à tuer la petite humaine, je suis sûr qu’il serait très content !

Midonna : - On ne se laissera pas faire !

Squelette géant : - Je n’en doute pas ! Je suis Menderatzailea. Moi et Ergelak sommes vos prochains adversaires. Inutile d’essayer de communiquer avec lui. Il ne vous répondra que par des grognements. Maintenant, pour mon maître, il est temps de mourir !

Tous se mirent en position pour le combat qui allait venir. Ses deux êtres étaient difficiles à combattre étant donné leur taille. Les armes ne leur faisaient quasi rien. Seul la magie pouvait les atteindre un peu. Enfin, surtout le zombi, car le squelette ne semblait pas trop souffrir des attaques.

Si Ergelak utilisait, lui, la force pure par les biais de sa hache ou en essayant d’écraser les personnes non loin de lui, Menderatzailea, lui utilisé de la magie. Des sort simple comme la foudre, le feu, l’eau, les ténèbres. Des sorts simples, mais puissants. Céléna essayait de protéger ses amis à l’aide de sa magie étant donné que les armes physiques ne faisaient pas grand-chose. Les autres utilisaient leur pouvoir respectif pour essayer de les vaincre.

Au bout d’un moment, ils réussirent à mettre à terre le zombi grâce au sort puissant de Midonna tel que sidérale, un sort de lumière, ou encore météore. Avec l’aide d’Alexander, ils réussirent à le battre. Ce fut Cloud qui lui donna le final par le sort de vie pour le tuer.

Menderatzailea : - NON ! Vous l’avez peut-être vaincu, mais moi, ce ne sera pas la même.

Céléna : - Comment faire ? Les armes ne lui font rien et les sorts pas grand-chose !

Midonna : - Je vais faire des sorts encore plus puissants, mais je ne sais pas si cela pourra suffire.

Yuma : - C’est un tas d’os ! Je vais t’aider en invoquant une armée de créature qui ronge les os pour t’aider.

Menderatzailea : - Inutile ! Je vous tuerais avant !

Midonna invoqua ses sorts les plus puissant faisant le plus de dégâts physiques possible. Yuma lui fit appelle à un nombre impressionnant de créatures tel que des loups, des Yenne, des lions et bien d’autre. Cela faisait comme une armée se jetant de façon coordonné sur l’ennemie. Menderatzailea, lui, jetait toujours ses sorts que Céléna arrivait à contrer avec plus ou moins de facilité suivant la puissance de celui-ci. Cloud et Alexander jeté aussi des sort sur le squelette tout en essayant de protéger les autres lors d’attaque trop puissante.

Le squelette se sentant en danger, fit un sort plongeant dans le noir tout le monde.

Cloud : - Ce n’est pas vrai ! On ne voit plus rien !

Yuma : - Il a peur. Il commence à s’affaiblir.

Midonna : - Comment faire si je ne le vois pas ?

Yuma : - Utilise tes autres sens pour le toucher ! Ton ouï, ton odorat. Sois attentive à tout ! Tes sorts le rateront peut-être, mais mes bébés ne rateront pas leurs coups !

Midonna fit comme Yuma lui conseillait et arrivait de temps en temps à toucher Menderatzailea. Les animaux invoquaient par Yuma eux firent toujours mouche avec toujours autant d’organisation. Au bout d’un moment, la lumière fit de nouveau son apparition et tous purent voir le squelette s’écrouler sur le sol. Alexander lança rapidement le sort de vie sur celui-ci pour qu’il ne revienne pas.

Menderatzailea : - Bravo ! Mais tu n’auras jamais le dernier !

Sur ses mots, le squelette disparut. Le groupe rechercha le cristal avant de le récupérer et de partir de cet endroit maudit.

Cloud : - On atteint notre but ! Il n’en reste plus qu’un !

Céléna : - Ça va Alexander ? Tu sembles soucieux !

Alexander : - Le dernier sera le plus dur à avoir !

Midonna : - Tu penses ?

Alexander :  - Oui, car à la place de mon frère, je prendrais le dernier sous ma protection pour être sûr qu’on ne me le prenne pas.

Céléna : - C’est ce qu’il voulait dire par le fait que l’on n’aurait jamais le dernier.

Alexander : - Sans aucun doute. Aller, sortons de cet endroit et retournons au château.

 

********************

 

Ophélia : - Maître !

Vladimir agressif : - Que veux-tu ?

Ophélia : - Pardon de vous déranger maître. Votre frère a eu celui-là aussi ?

Vladimir en colère : - Malheureusement ! Mais il n’aura jamais le dernier ! Je le garde précieusement autour de mon cou ! Bref, que veux-tu ?

Ophélia : - On a trouvé un Bilialéons qui rôdait dans le coin. Surement un espion de votre frère. Je voulais connaître vos ordres à ce niveau-là.

Vladimir : - Tue le et envoie son corps à mon frère en guise d’avertissement. Dépose son corps dans le désert, là où est mon frère. Envoie ensuite un puissant signal pour qu’il sache que c’est moi. Là où il est, il mettra un peu de temps pour sortir.

Ophélia : - Quel genre de mort pour l’intrus ?

Vladimir : - Fait comme tu veux ! Je te fais confiance niveau cruauté !

Ophélia sortant de la pièce : - Bien maître !

Vladimir seul : - J’ai presque réussi à vous ramener. Mon frère ne brisera pas nos plans ! Rien ne m’arrêtera !

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article