Âme brisée (Chapitre 15)

Tome 1 : Les cristaux

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Chapitre 15 : Affronter le vent

Les jours passaient tranquillement dans le château. Alexander avait fait en sorte de mettre les deux cristaux récupéré en lieu sûr. Il ne voulait pas que quelqu’un puisse venir le lui reprendre. Il savait que son frère était au courant de ce qu’il faisait et savait que tôt ou tard, il y aurait de forte représailles. Il avait mis les cristaux dans un coffre scellé par un sort et se coffre dans une pièce qui ne peut être atteint que par magie. Pour plus de sécurité, il avait lié ceux-ci à lui. De ce fait, si quelqu’un y touché, il le saurait.

Comme c’était le matin, Alexander se dirigea vers la salle commune afin d’y prendre son petit déjeuné. Il y retrouva Midonna, Céléna et Cloud.

Cloud : - Bonjour ! Toujours pas d’indice pour la suite ?

Alexander : - Bonjour, toujours pas non.

Midonna : - Comment cela se fait ?

Alexander : - Mon frère est plus méfiant. Il fait en sorte qu’on ne trouve plus rien. Il ne veut plus prendre de risque.

Céléna : - C’est compréhensible. Plus on avance, plus il y a de risque qu’on le batte.

Cloud : - Ne crois pas que ce sera facile petite souris. Vladimir est un être très puissant !

Céléna : - Je sais, je ne suis pas idiote.

Cloud : - Ce n’ai pas ce que j’ai dit !

Céléna : - T’inquiète pas. Tu m’as dit ça pour que je ne prenne pas trop la confiance. Je sais que je suis quelqu’un de naïf, mais j’ai mes limites quand même !

Midonna : - Ah là là ! Monsieur te prend encore pour la fragile du début malgré le chemin parcouru !

Cloud : - Quoi ! Mais non !

Céléna : - Il n’a pas tort. Je suis loin de votre niveau et puis j’ai encore beaucoup de chose à apprendre que j’ignore !

Alexander : - Tu as fait beaucoup de progrès depuis que tu nous à rejoins. Ne t’en fait pas. En fait, pourquoi es-tu en tenue de sport ce matin ?

Cloud : - Ah oui tiens, c’est vrai, je n’avais pas remarqué.

Midonna : - Ce n’est pas vrai ! Tu ne remarques jamais rien, toi !

Cloud : - Oh, ça va hein !

Céléna : - Je vais faire un entrainement avec l’aide de mes amis esprits afin de mieux esquiver quand on m’attaque.

Cloud : - Avec tout tes esprits ? Même Athénaïs ?

Céléna : - Oui, pourquoi ?

Alexander : - Ce n’était pas tendu entre vous ?

Céléna : - Si, ça l’est toujours ! Mais, je ne l’oblige pas à participer si elle ne veut pas. D’ailleurs, je n’oblige personne.

Midonna : - Mais, elle a bien voulu ?

Céléna : - Oui, mais je ne sais pas trop à quoi m’attendre !

Alexander : - Soit tout de même prudente ! On ne sait jamais avec elle !

Céléna : - Oui, je sais. Je le saurai.

Céléna termina son petit déjeuné et partie en direction de la salle d’entrainement. Tous les esprits étaient déjà présents. Ils avaient préparé un parcourt d’obstacle pour Céléna. À l’arrivée de celle-ci, tout vint la saluer. Tous hormis Athénaïs qui restait dans son coin à fusiller Céléna du regard. Elle n’accepter toujours pas que celle-ci soit sa maîtresse.

Céléna commença alors son entrainement. Elle devait se déplacer sur une zone délimiter sur les côté. Cela commença par des boules et haches suspendu au plafond qui se balancé de droite à gauche qu’il fallait éviter. Tania, l’esprit du temps, faisait en sorte que celle-ci aille plus ou moins vite afin de tester Céléna en accélérant ou ralentissant le temps. L’épreuve suivante, du parcourt, était des jets d’eau puissant pouvant venir de n’importe quel direction qui fonçait sur elle, testant ses réflexes. Pour cela, c’est Noa, l’esprit de l’eau qui s’en occupé. Puis, arriva un passage ou divers objet tranchant fonçait sur elle a vivent allure. C’est Ven, l’esprit du vent qui provoquait cela avec son pouvoir. Puis ce fut au tour du feu qui fonctionnait sur le même principe que l’eau mais c’était Ardea qui s’occupé de ça. Puis, des animaux féroce apparurent et foncèrent sur Céléna. Elle devait éviter ses attaques. C’est Yuma, l’esprit animal qui provoquait cela. Cela dura longtemps sans qu’Athénaïs ne veuille intervenir. Mais soudain, sans savoir pourquoi, ce fut alors au tour d’Athénaïs, l’esprit de combat, d’attaquer Céléna. Elle fonçait sur elle et l’attaquait sans ménagement. Céléna pouvait ressentir la rancœur de celle-ci à son égard. Elle avait beaucoup de mal à l’esquiver. C’est alors que voyant une ouverture, Athénaïs blessa sérieusement Céléna au bras. Celle-ci voulut attaquer de nouveau, mais fut vite arrêté par les autres esprits.

Ven : - Ça suffit ! Le but, s’est de l'entraîner ! Pas de la tuer !

Tania : - C’est vrai ça ! Qu’est-ce qui te prend ?

Athénaïs : - C’est un entrainement non ? Le but c’est qu’elle s’améliore. Quand ça vie est en danger, les progrès sont plus rapides !

Noa : - Mais là, tu allais la tuer !

Athénaïs : - Cette fille est faible ! Et cette faiblarde est malheureusement ma maîtresse ! Je ne l’accepte pas !

Yuma : - As-tu seulement appris à la connaitre ? Tu ne fais aucun effort ! Je comprends que cela puisse être difficile pour toi de l’accepter. Mais s’il te plait, essaie !

Athénaïs : - Non, tu ne peux pas comprendre ! Jamais je n’accepterais cette humaine ! Jamais !

Sur ses mots, Athénaïs repartit dans son monde dans une colère noir. Les esprits regardèrent tristement Céléna car ils savaient que celle-ci voulait bien s’entendre avec Athénaïs. Elle faisait beaucoup d’effort qui n’était malheureusement pas récompensé. Noa se dirigea vers Céléna et commença à soigner son bras.

Noa : - Je suis désolé pour ça. Dis-moi si je te fais mal.

Céléna : - Comment faire pour avoir ça confiance ?

Yuma : - Athénaïs est quelqu’un de complexe. Il va falloir beaucoup de temps pour qu’elle t’accepte.

Céléna : - Est-ce que seulement ce sera le cas un jour ?

Ven : - On ne sait pas. Mais sache que nous, nous serons toujours à tes côté.

Céléna : - Ai-je fait quelque chose de mal ?

Tania : - Tu es sa maîtresse, simplement.

Céléna : - Je ne comprends pas.

Ardea : - Pour faire simple, ça s’est très mal passé avec un précédent maître. Personne ne sait quoi. Tout ce que je peux te dire, c’est qu’elle a toujours tout fait depuis pour ne plus avoir aucun maître.

Céléna : - Je vois. Merci.

Noa : - Voilà, j’ai fini tes soins. Tu devrais aller te reposer.

Céléna : - C’est gentil, merci.

Tania : - C’est vrai que tu dois être fatigué par l’entrainement.

Ardea : - Surtout que tu ne t’es pas économisé pour les esquives !

Ven : - Tu veux que l’on te tienne compagnie ?

Céléna : - Non, c’est gentil, merci, mais j’ai pris assez de votre précieux temps.

Yuma : - Ne t’inquiète pas pour ça. On sera toujours là pour toi. Si tu as besoin de quoique ce soit, dit le nous.

Céléna : - D’accord, merci.

Les esprits repartirent chez eux en saluant Céléna. Quant à elle, elle sortit de la salle afin d’aller se reposer dans sa chambre. Mais celle-ci fut surprise de voir Alexander juste à la sortie.

Alexander : - Ça va ? Tu sembles épuisé.

Céléna : - Ça va. L’entrainement fut plus compliqué que prévu.

Alexander : - Athénaïs t’a blessé.

Céléna : - Comment ?

Alexander : - Je passais par-là lorsque j’ai senti ton sang. Je me suis rapidement dirigeait ici lorsque j’ai entendu la discussion que vous aviez tous. Je ne suis pas intervenu car, tes esprits, avaient la situation en main et que je ne voulais pas aggraver les choses. Mais je tiens quand même à savoir si ça va.

Céléna : - Je ne sais pas quoi faire pour lui montrer que je suis de son côté ! Pas son ennemie ! Tu saurais quoi faire toi ?

Alexander : - Moi !? Avec Athénaïs ?

Céléna : - Oui.

Alexander : - Je suis désolé, mais je ne peux pas t’aider. Tu me connais, je ne suis pas très doué pour les relations. Peut-être qu’il lui faut juste du temps pour accorder sa confiance ?

Céléna : - Peut-être… Je ne sais pas. Si ça ne te dérange pas, je vais me reposer dans ma chambre. Je suis fatigué.

Alexander : - Oui, bien sûr, je comprends. Repose-toi bien.

Céléna : - Oui, merci.

Céléna partie alors en direction de sa chambre tandis qu’Alexander continua son chemin. Quelque jour passa après cette événement. Un des informateurs vint trouver Alexander afin de l’informer ou se trouver le prochain cristal que tous recherché. Il arriva à un moment ou tous étaient rassemblé pour manger.

Informateur : - Maître, nous avons trouvé une trace du cristal sur un sommet très venteux

Midonna : - Qu’elle sommet ?

Informateur : - L’Everest !

Céléna : - L’Everest !? Le sommet du monde ?

Alexander : - Merci Cotin. Tu as d’autre information ?

Cotin : - Oui, le vent est vraiment très puissant ! Je ne suis pas sûr qu’on puisse aborder ce sommet par le haut. Il faudra s’accrocher là-haut avec ce vent et bien se couvrir car il fait très froid. Il faudra aussi faire attention à l’oxygène !

Cloud : - Rien que ça !

Cotin : - Et encore, je n’ai pas parlé des différents pièges ou gardes qu’il y a surement à l’intérieur du bouclier. Je ne sais pas ce qui vous attend dedans.

Cloud : - En claire, ça ne va pas être facile !

Midonna : - Parce que ça déjà était facile peut être ?

Cloud : - Non, c’est vrai. C’est juste qu’il renforce de plus en plus la sécurité.

Alexander : - C’est normal ! Mon frère ne veut pas qu’on y arrive ! Il sent qu’on s’approche.

Céléna : - On a encore du chemin à faire. Il me semble qu’on en a que deux ce qu’il fait qui nous en manque encore quatre !

Cloud : - Bientôt que trois si l’on choppe celui-là !

Alexander : - Ses cristaux sont très précieux pour mon frère. Après tout, c’est son immortalité qui est en jeu. Bref, trêve de bavardage et allons plutôt nous préparer.

Tout le monde écouta Alexander et alla se préparer pendant que lui donnait les directive pour amener le château au bonne endroits. Ils arrivèrent et se retrouvèrent sur une montagne voisine de l’Everest, sur Lhotse, un sommet satellite de l’Everest séparé par le col sud. Midonna avait jeter un sortilège afin de contrer le manque d’oxygène et afin que le corps résiste mieux aux morsure du froid. Malheureusement, elle n’avait rien pour protéger du vent. En effet, c’était une véritable tempête et il y avait encore du chemin à faire pour atteindre le sommet de l’Everest ou se trouvait le nouveau cristal. Céléna essayait avec son pouvoir de protéger le plus possible. Mais ses barrières pour contrer le vent avait ses limites et certaine puissante rafale pouvait faire facilement perdre l’équilibre.

Midonna : - Ce n’est pas possible ! On n’y arrivera jamais ! J’ai l’impression de faire du sur place.

Céléna : - Désolé ! Mon sort ne fonctionne pas bien !

Cloud : - T’inquiète ma belle ! Ton sort est fait pour contrer les effet magique, pas la colère de dame nature.

Alexander : - Le cristal n’est pas loin ! Il ne faut pas lâcher !

Midonna : - Mais tout ce qu’on risque, c’est de mourir ! Il faut arrêter et attendre que ça se calme !

Alexander : - Impossible ! Il faut continuer !

Midonna : - Quoi ? Mais tu es fou !

Cloud : - Non, il n’est pas fou ! C’est juste qu’à cause de certain événement climatique, le vent ne s’arrête plus de souffler ici.

??? : - Vous avez besoin d’aide ?

Venant de nulle part, L’esprit du vent, Ven, fit son apparition. Dans un claquement de doigt, il érigea une protection autour du groupe. C’est comme si le vent avait soudainement cessé de soufflé.

Céléna : - Ven, que fais-tu là ? Je ne t’ai pas appelé !

Ven : - Je sais, mais en vous voyant en difficulté, j’ai décidé d’intervenir.

Cloud : - Ça fait du bien de ne plus sentir se vent violant prés à vous emporter je ne sais où !

Alexander : - Ça va surtout nous faciliter la tâche pour aller à notre but !

Céléna : - Merci beaucoup pour ton aide Ven !

Ven : - Mais de rien ! Comme ça, je suis déjà présent pour détruire la barrière qui protège le cristal.

Midonna : - Ça nous fera gagner un peu de temps. Mais restons quand même prudent !

Sur ses mots le groupe repartirent rapidement vers l’objectif. Le vent était des plus violant et soufflé avec une rare intensité. Mais grâce à la présence de Ven, tout le monde avancé comme si de rien n’était. Ils arrivèrent en quelques heures à leur but. Ils étaient arrêtés par la barrière protectrice qui formé comme une tornade. Le vent était tellement fort et rapide que tout se brisée à son contacte. On pouvait voir de temps en temps des éclairs se former sur celle-ci. De l’extérieur, il était impossible de dire où se trouvé l’entrée du lieu où le cristal était protéger. Ven s’attela à affaiblir, puis détruire la barrière de protection. Cela lui pris quasiment une demi-heure. La barrière détruite, le groupe pouvaient enfin passer. Ils cherchèrent quelque temps avant de trouver une entré naturel très bien dissimulé par les rochers. Ils avancèrent et se retrouvèrent vite bloqué au fond de cette cavité.

Cloud : - On s’est trompé d’endroit ?

Midonna : - Surement, il n’y a aucun passage ici !

Ven : - Non, on est au bon endroit ! Je sens un courant d’air par ici. Il doit surement avoir un mécanisme quelque part.

Alexander : - Alors, cherchons-le !

Tout le monde se mis à chercher un mécanisme sans trop de résultat. Mais Céléna remarqua quelque chose d’étrange sur l’une des parois.

Céléna : - C’est étrange ça !

Ven s’approchant de Céléna : - De quoi parles-tu ?

Céléna : - Cette parois, il y a des petits trou de partout ! Je veux bien que cela soit quelque chose de naturel, mais que cela forme un rond aussi parfait, c’est étrange.

Ven : - Non, ça, ce n’est pas naturel ! C’est un mécanisme !

Cloud venant voir comme Midonna et Alexander : - Un mécanisme ?

Alexander : - Quel genre de mécanisme ?

Ven : - Je pense que ça va enclencher une ouverture si j’utilise un sort de vent en direction de ses trous.

Ven, sans un mot de plus, essaya immédiatement le sort vers cette étrangeté. Cela déclencha un mécanisme dont on pouvait suivre grâce à tous les décliques que cela faisait, son cheminement. À l’endroit ou Ven avait senti un courant d’air, une porte s’ouvrit dans la roche. Tout le groupe s’engouffrât dans l’ouverture. Celle-ci formait un couloir qui s’enfonçait dans la montagne. Ils descendirent un escalier. Ils ne croisèrent pour le moment aucune âme qui vivent. Soudain, les escaliers disparurent pour laisser la place à une rampe qui formait un toboggan plus abrupt. Tout le monde surprit se mirent à hurler à plein poumon avant de tomber sur un sol dure est froid.

Alexander : - Tout le monde va bien ?

Midonna utilisant son pouvoir afin de faire un peu de lumière : - Ça va ! En tout cas, sacré chut !

Cloud : - On est où ?

Céléna : - Au cœur de la montagne je dirais. Cela étant, je ne sais pas de combien de mettre on a dévalé de cette montagne ! Mais sans doute pas mal, vu la durée de cette chute.

Ven : - Ce qui est sûr, c’est que c’est surement un système de sécurité qui s’est enclenché pour nous faire arriver jusqu’ici.

??? : - En effet, tu n’es pas idiot pour un esprit ! Ah ! Ah ! Ah !

Tous se figèrent en entendant cette voix féminine rire à gorge déployé. La lumière venait d'apparaître soudainement. Ils regardèrent tous autour d’eux sans savoir d’où cela pouvait provenir.

??? : - Inutile de me rechercher ! Je vous parle à travers un haut-parleur.

Alexander : - Qui êtes-vous ?

??? : - Oh, excusez-moi ! J’ai oublié de me présenter ! Je m’appelle Kézia et vous êtes tombé dans mon piège. Je vous conseille de faire de jolie sourire car vous êtes filmé.

Céléna : - Filmé !? Pourquoi ?

Kézia : - Mon maître, Vladimir, souhaite avoir des images et des information sur vous très chère.

Céléna : - Moi !?

Alexander : - Pourquoi mon frère veut-il des renseignements sur Céléna ?

Kézia : - Vous ne voyez pas ?

Cloud : - Si l’on savait, on ne vous poserait pas la question !

Kézia : - Mais parce que c’est une âme brisée ! Voilà pourquoi elle l’intéresse !

Midonna : - Il veut la tuer ! C’est ça ?

Kézia : - Évidemment, cette fille est la clef qui vous permet de passer les barrières et d’obtenir les précieux cristaux qui permettent au maître d’être immortel. Autrement dit, c’est une ennemie à effacer !

Ven : - On ne vous laissera pas faire !

Kézia : - Vraiment ! Il va falloir d’abord réussir à sortir d’ici ! Et si par chance vous arrivez jusqu’au cristal, croyez bien que je me ferais une joie de vous tuer !

Midonna : - C’est bien de rêver !

Kézia : - Essayaient déjà d’arriver jusqu’à moi, et on en reparle après !

La voix de Kézia s’arrêta sur un rire qui ne présagé rien de bon. Le groupe décida de suivre le chemin. De toute façon, ils n’avaient pas vraiment le choix étant donné qu’il n’y en avait qu’un. Ceux-ci se retrouvèrent rapidement devant deux porte.

Cloud : - Bon, quel chemin choisit-on ?

Midonna : - Comment veux-tu qu’on le sache ?

Ven : - Il va pourtant bien falloir faire un choix.

Céléna : - Vous pensez qu’il y a une différence ? Les deux seront de toute façon très dangereux !

Cloud : - Il y a peut-être un chemin qui mène à cette femme, et l’autre à une mort certaine.

Alexander : - Non, c’est autre chose.

Céléna : - Comment ça ?

Alexander : - Regardez, ce symbole au-dessus des portes. Ses deux chemins son lier et les pièges et les énigmes aussi !

Midonna : - Effectivement, je n’avais pas vu.

Céléna : - De quoi vous parlez ? Je ne comprends pas.

Alexander : - Ce symbole que tu vois là est la marque des Squelettes. Ils sont spécialisés en des énigmes qui se résous dans deux pièces différente mais non loin l’une de l’autre. Autrement dit, ce que l’on fait dans une pièce à un effet dans la pièce voisine et vice versa. Si l’on veut arriver de l’autre côté, on n’a pas le choix que de se séparer.

Céléna : - Comment être sûr que ce ne soit pas un piège ?

Midonna : - On ne peut pas. Mais ce genre de symbole et très dure à imiter. Je ne pense pas que l’on se trompe.

Ven : - Du coup, que fait-on ? Se séparer serait jouer son jeu, non ?

Cloud : - On n’a, je le crains, pas le choix.

Le groupe, la mort dans l’âme se sépara alors en deux en espérant fortement que cela ne soit pas un piège. Il y avait d’un côté Alexander et Midonna et de l’autre, Céléna, Ven refusant de se séparer de sa maîtresse et Cloud. Les groupes s’était fait de cette façon afin d’éviter les disputes entre Midonna et Cloud. En effet, Alexander voulait absolument une magicienne par groupe d’où cette répartition. De toute façon, Cloud voulez absolument faire équipe avec Céléna.

Les deux groupes séparé se retrouver devant leur porte respective. Mais, celle-ci était comme verrouillé.

Midonna : - D’accord… Ça commence bien ! On est coincé !

Céléna : - Je ne pense pas. Si ce que vous m’avez dit est exact, il doit y avoir un mécanisme pour ouvrir nos porte respective. Il faut chercher.

C’est ce que fit tout le monde. Ven trouva dans le mur, ou sentit plutôt, comme une bosse qui ne semblez pas être de la même matière que le mur mais qui en revanche était de la même couleur. Il appuya dessus et celui-ci s’enfonça dans la roche. Cela eu pour effet d’envoyer des lance au bout meurtrier vers Midonna et Alexander, mais en même temps ouvrit leur porte. Seulement, une sorte de grille bloqué l’entrée. Midonna et Alexander esquivèrent facilement celle-ci.

Ven : - Oups ! Désolé !

Midonna : - Fait attention ! Tu as failli nous tuer !

Cloud : - Du calme ! Il s’est excusé.

Alexander : - Ou as-tu appuyé ?

Ven montra à Alexander l’endroit où il avait appuyé qui se trouvé juste à côté de la porte. Il passa ses doigts dessus afin de sentir la sensation que cela lui procurer dans le but de mémoriser la texture. Il retourna de son côté et trouva le même près de la porte qu’il voulait prendre.

Alexander : - J’ai trouvé ici aussi. À mon avis, il va falloir appuyer en même temps si l’on ne veut pas recevoir de lance sur nous ! Et se dépêcher de rentrer avant que la porte ne se referme.

Ven et Alexander appuyèrent en même temps sur leur boutons respectif. Les deux porte s’ouvrit sans pour autant projeter des lance à tout va. Une plaque de pression se trouvé juste derrière les deux porte. Celle-ci empêché que celle-ci ne se referme trop vite car, en effet, lorsque les deux hommes lâchèrent en même temps le bouton, la porte se referma sur eu sans leur laisser le temps de rentrer. C’est quand Midonna et Céléna marchèrent en même temps sur leur plaque que les portes se rouvrit pour laisser la possibilité à Alexander et Ven de rentrer. En effet, celle-ci ayant eu peur s’était par instinct précipité vers la porte.

Chacun de leur côté, il avait devant eux une grande pièce avec en face d’eux une nouvelle porte. Mais celle-ci était verrouillé. Ils leurs fallait résoudre l’énigme avant de pouvoir avancer plus. Il y avait du côté de Céléna, Cloud et Ven des armures différente aligné avec des tableaux au-dessus de leurs tête et plein d’armes au milieu de la pièce. Tandis que du côté de Midonna et d’Alexander, ils avaient des armures aligné comme de l’autre côté, mais celle-ci avaient leur armes en mains, mais, tous les tableau étaient au milieu de la pièce.

Les deux groupes avaient un moyen de communiquer entre eux, ce qui allait fortement leur faciliter les échanges. Ils avaient tous autour du poignet un bracelet qui leur permettaient de communiquer. Il suffisait de dire le nom de la personne avec qui on voulait communiquer pour que ça appel celle-ci et qu’un hologramme de la personne apparaisse sous les yeux. C’est de cette façon que communiqué les deux groupes.

Chacun leur tour, ils se mirent à faire la description de leur pièce respective. Ils surent tout de suite que leur tâche serait pour un groupe de remettre à chaque armure leurs armes et pour l’autre le tableau. Ils décidèrent de faire ça dans l’ordre afin de ne pas se perdre et de ne pas faire de bêtise car il ne savait pas quel conséquence cela aurait. Ils décidèrent de procéder ainsi, Alexander et Céléna feraient un côté de la pièce, aidait par Ven, et Midonna et Cloud feraient l’autre. Même si ses deux-là se disputaient souvent, ils savaient se concentrer et être sérieux quand il le fallait.

Du côté de Céléna et d’Alexander.

Céléna à Alexander : - Je suis devant une armure dorée, qui porte un casque ornée de plume rouge. Il est en position accroupie. Il semble pointer quelque chose du doigt en face de lui et il regarde droit devant lui.

Alexander : - D’accord, je vois. Je suis devant lui. Il porte dans sa main une lance simple, au manche dorée et pointe en fer.

Céléna : - C’est bon, j’ai trouvé l’arme. Je viens de la mettre dans sa main opposé à celle qui pointe et cela n’a rien fait. Cette même armure à comme tableau au-dessus de sa tête un majestueux château en flamme avec une population paniqué qui fuit celui-ci. On peut voir une personne en flamme tomber du rempart.

Alexander : - C’est bon, je l’ai. Je viens de le mettre et tout semble normal.

Du côté de Midonna et Cloud.

Midonna : - Alors, je suis devant une armure dorée qui porte un casque avec des plumes vertes. Il est accroupi. Il pointe le sol du doigt et son regard se porte également sur celui-ci.

Cloud : - C’est bon, je l’ai. Je suis devant. C’est celui qui a un tableau comportant un château en train de brûler avec, devant celui-ci une femme, qui semble amuser, une torche à la main.

Midonna : - J’ai trouvé le tableau. Je viens de le mettre et rien ne se passe. L’armure porte comme arme une lance simple avec un manche en fer et une lame doré.

Cloud : - Bien, je viens de trouver l’arme. Je le lui mets. C’est bon, rien ne se passe.

Les deux groupe continuèrent se manège un bon moment. Il y avait en effet de chaque côté de la pièce vingt armure. Ce qui en fessait en tout quarante par pièce. Lorsqu’ils eurent enfin fini de tout compléter, un déclic se fit entendre et la porte s’ouvrit des deux côté. Les deux groupes, chacun de leur côté, entrèrent dans la nouvelle pièce. Le groupe d’Alexander et Midonna se trouvaient dans une grande pièce avec en son centre une table avec dessus, une sorte de puzzle à résoudre. Tandis que Céléna, Cloud et Ven se trouvaient dans une salle avec un grand précipice qui les empêchaient de se rendre à la porte. Ils étaient coincé sans possibilité d’avancer plus.

Alexander : - Qui a-t-il de votre côté ?

Céléna : - Un grand précipice ! On ne peut pas avancer !

Ven : - C’est plutôt étroit ici ! Il faut vraiment faire attention !

Cloud : - Et chez vous, il y a quoi ?

Midonna : - Un puzzle à résoudre !

Céléna : - Je suppose que c’est ça qui va nous permettre d’avancer.

Alexander : - Surement, oui.

Alexander et Midonna se mirent tout de suite à la résolution de celui-ci. Mais à peine l’avait-il touché qu’un chrono se mit en route. Ils avaient un temps impartie pour le résoudre. Du côté de Céléna, ils se rendirent vite compte que la plateforme déjà peu large commencé à s’effondrer petit à petit. Bien entendu, la porte, qu’ils avaient franchie, s’était refermer, leur supprimant la possibilité de se réfugier dans la salle à côté.

Cloud : - Oh, ce n’est pas bon ça !

Ven : - Ne perdez pas de temps ! Ça s’effondre chez nous !

Alexander : - Ce n’est pas vrai !

Midonna : - On fait aussi vite que possible ! Mais ce n’est pas facile, il y a beaucoup de pièce et peu de temps !

Céléna : - Faites de votre mieux !

Midonna et Alexander se concentraient afin de résoudre le plus rapidement possible le puzzle. Le temps défilait et la plateforme du côté de Ven se réduisait comme peau de chagrin. Ça devenait de plus en plus difficile de rester dessus. Cela devenait plus un exercice d’équilibriste qu’autre chose. Le puzzle commençait cependant à se dévoiler. Il montrait une salle avec un grand précipice comme ce qu’avait décrit Céléna. Seulement, celui-ci avait un passage étroit de pierre qui permettait d’accéder de l’autre côté de ce gouffre. Même si celui-ci semblait prêt à s’effondrer, s’était le seul passage. Alexander et Midonna finirent le puzzle à la limite du temps qui leur était accordé. Un peu plus et Céléna, Ven et Cloud faisaient le grand plongeons pour l’éternité. Mais Midonna avait posé la dernière pièce de puzzle juste à temps. Cela provoqua un tremblement chez le groupe de Cloud. La plateforme se reformait sous leur yeux, et un étroit passage de pierre apparut pour leur permettre de rejoindre la porte.

Cloud : - Sympa le passage ! Pas du tout flippant !

Midonna : - Te plain pas et traverse.

Cloud : - Si on ne peut rien dire maintenant. On voit que ce n’est pas Madame qui va devoir traverser !

Midonna : - Je te signale que j’ai fait un Puzzle ou j’avais que peu de temps pour sauver ta peau !

Alexander agacé : - Ça suffit vous deux ! On n’a pas le temps pour vos stupide dispute.

Midonna et Cloud s’arrêtèrent de parler immédiatement. Le groupe de Céléna avancèrent prudemment sur cette étroit passage. Certaine pierres tombaient dans leur avancé. Malgré l’appréhension, tout le monde arriva de l’autre côté sans encombre. Sur les deux salles, il y avait un bouton sur lequel appuyer pour ouvrir la porte. Midonna et Céléna appuyèrent dessus en même temps. Les portes ouvertes, tous passèrent dans les salles suivante.

Midonna et Alexander se retrouvèrent emprisonné dans une salle plus petite que les précédente. Elle devait faire aux alentours des vingt mètre carré. Ils entendirent un déclic et virent des trombes d’eau couler des ouvertures qui se trouvait sur les murs. Du côté de Céléna, Ven et Cloud, c’était une pièce où il y avait de nombreux tuyaux et de nombreuses valve permettant de fermer ou ouvrir l’arrivée d’eau pour que celle-ci prennent un certain chemin. Ils virent rapidement par ou devait passer l’eau pour ouvrir les portes. Mais le croisement des tuyaux était assez complexe. Il était facile de se perdre et de faire une erreur.

Midonna : - Eh, faite vite quelque chose ! L’eau monte rapidement ! On risque de se noyer ! En plus elle est gelée.

Ven : - On fait au plus vite. Mais ses tuyaux s’entremêlent vraiment de façon complexe !

Alexander : - Ne paniquez pas ! Voyez d’où l’eau part et où celle-ci doit arriver. Une fois que vous avez vu ça, faites le chemin pour aller de l’un à l’autre en fermant et ouvrant les bonne valve.

Céléna : - Mais cela ne risque-t-il pas de vous impacter ?

Alexander : - Ne vous préoccupez pas de ça ! Faites juste ce qu’il faut, et vite !

Ils écoutèrent Alexander et procédèrent de cette manière. Parfois tourner une valve faisait couler plus d’eau de l’autre côté, parfois moins. Mais c’était plus souvent plus que moins. L’eau atteignait presque le plafond chez Midonna et Alexander. Ils n’allaient bientôt plus pouvoir respirer. Chez Cloud, tout le monde faisait le plus vite possible en essayant de ne pas faire d’erreur. Alors que l’espace était rempli d’eau chez Midonna et Alexander, Cloud, Céléna et Ven réussir à faire le bon parcourt pour l’eau. Une mécanique se fit entendre montrant l’ouverture des portes. Chez Midonna et Alexander, l’eau se mit à baisser rapidement et les portes s’ouvrirent vers une nouvelle salles.

Dans celle-ci, se trouvait pour les deux salles des labyrinthe. Il y avait un plan dans un cadre sur le mur montrant le chemin à prendre pour atteindre la sortie en évitant tous les pièges. Bien évidemment, le plan correspondait au labyrinthe de la salle voisine et pas celui de la pièce même. Les deux groupe échangeaient afin de pouvoir avancer. Ils y allaient pas à pas afin d’éviter des erreurs. Mais, cela arrivait de temps en temps. Du coup, Cloud accusé toujours Midonna d’être fautif et l’inverse était tout aussi vrai. De se fait, les deux groupes ont dû éviter des fléchette empoisonné, des gouffre s’ouvrant sous les pieds, des couloirs du labyrinthe se refermant sur eu, manquant presque de les écraser entre deux murs.

https://gbf.wiki/Bahamut

En arrivant au centre du labyrinthe, les deux groupes eurent à faire face à un monstre chacun. Ce monstre n’était autre que deux puissant Bahamuts au ailes noire et à la carapace qui semblait infranchissable. Les Bahamuts étant des créatures faisant partie de la race des dragons, le vaincre sera pas de tout repos. Les deux groupes se mirent en position de combat. Du côté d’Alexander, celui-ci donnait des coup des plus puissant au corps à corps avec ses armes tandis que Midonna faisait des sorts puissant contre celui-ci tel que Météore (faisant tomber des « météorite » sur la cible), Destruction (plongeons l’ennemie dans le noir et se faisant attaquer de toute part par des lames très tranchante), Sidérale (formant plusieurs boule lumineuse et très pure autour de l’adversaire qui se reçoit celles-ci de toute part). Mais ses sort prenant beaucoup de temps et beaucoup d’énergie, Midonna alterné entre ses sort puissant provenant de son livre et ses sort habituelle venant de sont bâton tel que les sort d’eau, de glace, de vent, électrique, de feu, de lumière et de ténèbres. Le Bahamut fut vaincu au bout d’une vingtaine de minutes.

Du côté de Cloud, celui-ci le combattait au corps à corps à l’aide de son arme et pouvait lui projeter des jets d’acides lorsque le Bahamut était trop proche. Céléna le combattait à distance à l’aide de son arc ou au corps à corps à l’aide de sa lance suivant la position de l’ennemie. Elle avait jeté un sort à tout le monde, sauf le Bahamut bien sûr, pour les renforcer en leur mettant plus de force, plus de vitesse et de meilleur réflexe. Elle les protégeait aussi à l’aide de bouclier afin de limiter tout risque de blessures. Ven, lui, lançait différent sort de vent tous aussi puissant les uns que les autres, il pouvait aussi lancer des sorts électrique de temps en temps. Ce Bahamut, là aussi, fut vaincu.

Les deux groupes, après quelques instant pour reprendre leur souffle et s’assurer que tout le monde allait bien, reprirent la route dans le labyrinthe jusqu’à atteindre la porte. Celle-ci étant déjà ouverte, ils n’eurent pas besoin d’appuyer sur un bouton. Les deux groupes eurent la bonne surprise de se retrouver derrière cette porte. Ses épreuves-là étaient terminé.

Cloud : - Eh bien, je ne suis pas mécontent que cela se termine !

Midonna : - Quoi ! Je t’ai manqué ?

Cloud : - Pas du tout !

Céléna : - Rien n’est terminé, on n’a pas encore le cristal !

Alexander : - Céléna a raison ! Je ne sais pas ce que nous réserve encore cette femme, cette Kézia !

Kézia : - On parle de moi ?

Ven : - Quand on parle du loup, on en voie la queue.

Kézia : - Je suis impressionné ! Vous avez réussi à passer ses épreuves ! Voyons voir ce que vous valez maintenant contre mes troupes ! Cela sera surement facile pour vous, vu que vous avez vaincu le Bahamut ! Mais, qu’en est-il de votre résistance ? En vous épuisant avant que vous n’arriviez à moi, j’ai toute les chance d’arriver à vous tuer !

Cloud : - Ne nous sous-estime pas !

Kézia avant de couper la communication : - Mais, ce n’est pas le cas ! C’est pour ça que je veux vous épuiser avant ! Ah ! Ah ! Ah !

Cloud soupirant : - Faisons comme si je n’avais rien dit ! Ce n’est pas terminé.

Midonna : - Monsieur parle toujours trop vite.

Cloud : - Ça va, n’en rajoute pas !

Tout le monde reprit la route pour atteindre le cristal. Sur leur chemin, ils croisèrent une grande quantité d’ennemies. Il y avait des Flandaires, des Flantriques, des Flangelès (manies la magie de glace et même type de monstre que les autres flan), des Lévisfaires (sphère de vent), des Lévisftriques (sphère électrique), des Porquanleur, des Lacermos, des Squelettes et des Zombies. Kézia avait mit le paquet afin de ralentir et d’épuiser le plus possible ses futures adversaires.

Après un long moment à arpenter les couloirs et à combattre les troupes de Kézia, Alexander, Cloud, Ven, Midonna et Céléna arrivèrent enfin devant elle dans une salle où il y avait beaucoup de vent. Ils virent que Kézia faisait partie de l’espèce des harpies. Ses bras étaient semblables à des ailes avec des plumes de couleur rouge comme les feuilles d’automne, des hanches au pied elle était comme les oiseaux avec des serres des plus acéré au bout de celle-ci. Son torse et sa tête étaient semblable à ceux des humains à la différence près que ses cheveux étaient des plumes de couleur rousse. Ses yeux étaient marrons, légèrement bridé.

La Grande Bibliotheque de Tamriel - Wiwiland Harpie -

Kézia : - Félicitation ! Vous êtes arrivé jusqu’à moi ! Mais maintenant, vous allez mourir ! Le maître sera tellement content si j’y arrive !

Tout le monde se mit en position pour le combat. Tous étaient assez fatigué de ce qu’ils venaient de faire pour arriver jusqu’ici. De plus, il y avait beaucoup de vent et Ven essayait de protéger tout le monde du mieux qu’il le pouvait. Cela ne serait surement pas facile de la battre ! Késia attaqué avec puissance ! Céléna essayait de protéger avec ses boucliers du mieux qu’elle le pouvait. Alexander et Cloud n’arrivaient pas à la toucher. En effet, celle-ci était beaucoup trop rapide. Elle s’aidait du vent pour accélérer et donner des coups plus puissant. Personne ne savait plus où donner de la tête. Aucun sort que pouvait envoyer Midonna n’arrivait à l’atteindre. Kézia étaient beaucoup trop rapide. Elle n’avait pas de protection pour lui éviter les blessures, mais cela lui était inutile puisque personne n’arrivait à la toucher. Ven essayait bien d’inverser les courants qu’elle prenait pour la ralentir, mais celle-ci en changé tellement rapidement qu’il n’arrivait pas à suivre. Tout le monde se faisait blesser sans réussir une seule fois à être assez rapide pour la contrer. Céléna avait beau soigner au fur et à mesure, cela ne changé pas grand-chose. De plus, elle commençait vraiment à être épuiser. Elle ne tiendrait pas encore longtemps à ce rythme-là. D’ailleurs, personne ne tiendrait encore longtemps si cela continué. Ven analysait les mouvement rapide de Kézia. Il vu que celle-ci formé un schéma. Il attendit le bon moment pour lancer son sort qui ralentit Kézia fortement. Celle-ci fut surprise. Elle n’eut pas le temps de se reprendre que Cloud lui asséna un coup mortel de katana au niveau de l’abdomen. Kézia sous le choc s’effondra sur le sol.

Kézia : - Vous m’avez vaincu ! Je savais que je n’avais que peu de chance de gagner contre le frère du maître.

Céléna : - Vous le saviez, mais vous avez continué quand même. Pourquoi ?

Kézia : - Être celle qui aurait put rapporter la tête du frère ennemie au maître aurait été un tel honneur ! Par amour pour lui, j’aurais fait n’importe quoi !

Midonna : - Vous êtes amoureuse de Vladimir ?

Kézia : - Ça vous choc ? Ah ! Ah ! Vous ne pouvez pas comprendre. Ce n’est pas grave. J’aurais au moins pu accomplir une partie de la mission.

Alexander : - Une partie ? Quelle partie ?

Kézia : - Votre frère sait maintenant à quoi ressemble l’âme brisée. Il sait qui vous aide. Il sait maintenant à l’aide de qui vous passez ses barrières ! Il sait maintenant qui va devenir sa cible principale.

À la fin de sa phrase, Kézia rendit l’âme. Alexander, lui, était inquiet de savoir que son frère savait pour Céléna. Même en sachant que cela arriverait un jour, pour lui, c’était toujours trop tôt. Il allait falloir être très prudent, car maintenant, Céléna allait devenir sa cible. Sur cette pensée, tout le monde retourna au château pour trouver le prochain cristal. Bien sûr, ils avaient pris soins de récupérer celui-ci avant de repartir.

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Vladimir, en colère ressentit que son frère avait de nouveau réussit à prendre un cristal. La table se situant à côté de lui pris un coup violent. Celle-ci s’envola et se brisa sous la force du coup.

Vladimir : - Alors, toi non plus Kézia tu n’as pu l’arrêter !

Ophélia : - Maître, nous avons reçut un message vidéo de la part de Kézia !

Vladimir : - Vraiment ? On vient de recevoir le message d’une morte ?

Ophélia : - Non maître, il est arrivé depuis plus d’un quart d’heure ! Mais certain n’on pas fait leur travail correctement préférant s’amuser. Ne vous inquiété pas, je vais sévèrement les punir avant de les tuer !

Vladimir : - Je te fais confiance de ce côté-là. Montre-moi ce message.

Ophélia fit ce qui faut pour envoyer la vidéo en grand au milieu de la pièce. Vladimir regarda avec la plus grande attention.

Kézia : - Bonjour maître ! Votre frère est entré et je vais tout faire pour l’arrêter. Mais je doute fortement réussir cette tâche. Ils ont passé mes épreuves sans difficulté. J’ai envoyé toute mes troupes sur eux. Cela va me laisser le temps de vous montrer ceci. Vous voyez cette femme humaine sur ses images, c’est elle l’âme brisée. D’ailleurs, elle a cette esprit du vent qui la surveille de près. Si j’échoue dans ma tâche, j’espère au moins vous réconforter en vous donnant la cible que vous désiriez tant. J’espère que vous serait content maître.

La vidéo s’arrêta et Vladimir retrouva le sourire.

Vladimir : - Je suis très content Kézia ! Voilà l’âme brisée que tu protèges mon frère !

Ophélia : - Cette humaine ? Une âme brisée ? Comment est-ce possible ? Je ne pensais pas que les informations étaient vraies sur ce sujet !

Vladimir : - C’est sans importance ! Je veux que tu fasses passer son portrait. Cette femme est notre priorité. Je veux qu’elle meure ! Sans elle, mon frère ne pourra plus rien ! Cette femme est à tuer ! Absolument !

Ophélia : - Bien maître ! Je donne les ordres immédiatement !

Ophélia partie de la pièce pour faire diffuser les images de l’âme brisée afin que celle-ci devienne la cible de tous.

Vladimir : - Tu ne gagneras pas mon frère. J’arriverai à accomplir ce que je désire tant.